À toi qui a bon cœur, qui a une âme sublime, tu ne peux sauver tout le monde.

La vie, le destin, le karma.

On rêve de sauver nos proches.

Qu’ils se réveillent enfin.

Je sais qu’au plus profond de toi, mes paroles vont te parler.

Je sais qu’au plus profond de toi, mes actes vont raisonner.

On souhaite tout sauver, ceux qui nous envoûtent, ceux qui nous touchent au plus profond de nous.

On voudrait qu’ils s’en sortent, qu’ils y arrivent.

Comme nous on s’en est sortie.

On aimerait leur montrer le chemin.

On voudrait tant qu’ils s’aiment comme nous on l’ai aiment.

On aimerait qu’ils se voient au travers de nos yeux.

Qu’ils oublient leur cœur déchiré.

Leurs âmes esseulées.

Leur cœur en lambeaux.

Leur âme déchirée, entre le cœur et la raison.

Qu’ils laissent enfin aller tous ce qui les détruit et les anéantit.

Qu’ils laissent venir à eux tout ce qu’il y a de plus beau.

La vie est une suite sans fins de choix.

La vie est le résultat et la somme fatidique de tout ce que nous faisons.

Nous sommes notre propre destin.

Nous sommes ce qui peut nous sauver.

Il n’y a pas de miracle ni d’intervention divine.

Il n’y a pas de coup de pouce de la vie.

Au contraire, la vie ne devient pas de plus en plus facile.

Il faut relever le niveau.

Il faut élever ses standards et sa force.

On doit tôt ou tard se réveiller.

Ouvrir les yeux, car c’est la chose la plus nécessaire.

On doit enfin s’apprécier, on doit s’aimer et briller.

On doit changer et évoluer.

Devenir la meilleure version de soi-même.

Je sais que tu aimerais tendre la main à toutes ces personnes que tu aimes, et les aider.

Je sais que tu aimerais choisir pour eux.

Je sais que tu voudrais sauver tous ceux qui ont le mal de vivre.

Tous ceux pour qui la vie est un fardeau.

Tous ceux pour qui la vie signifie, tristesse et douleur.

Pour qui la souffrance est sur le régulier ?

Mais il est temps d’apprendre qu’on ne peut sauver que ceux qui veulent être sauvés.

Tous les autres sont perdus, jusqu’à tant qu’ils se retrouvent et parfois le chemin soit très long et ardu.

Je sais que tu voudrais, enlever le chagrin que tes amies vivant après une rupture.

Que tu voudrais retirer la peine de tous ceux qui ont perdu un proche et la remplacer par une paix intérieure !

Je sais que tu voudrais aider à se relever tous ceux qui ont chuté.

Mais parfois certaines personnes doivent apprendre à se relever seules.

On dit qu’au final nous tous à la fin seule.

Et ses biens vrais.

Il ne faut pas forcer les choses, tout arrive pour une raison, et à point, toujours.

Il ne faut pas tenter d’obliger les choses, car elles arrivent toujours au bon moment.

Pour certains, la vie arrivera en temps, pour d’autres trop tard.

Je sais que tu voudrais éviter l’irréparable pour ceux que tu aimes le plus profondément.

Mais pour être sauvé, il faut vouloir être trouvé.

Et certains sont si bons à cache-cache, que parfois il se cache d’eux même.

Tomber est humain, se relever est divin.

Dans la vie, il n’y a pas de miracles.

On doit travailler fort à réaliser son bonheur.

Travailler dur sur soi.

Afin de se réaliser, afin de devenir tout ce qu’on désire, tout ce que l’on souhaite.

La vie est cruelle pour ceux qui n’ont pas l’envie de se battre pour eux-mêmes.

La vie est difficile pour ceux qui ont abandonné, car il ne faut jamais en arriver là.

Car « Ce qui compte, ce n’est pas la force des coups que tu donnes, c’est le nombre de coups que tu encaisses tout en continuant d’avancer. Ce que t’arrives à endurer tout en marchant la tête haute. »

Nous devons tous endurer des souffrances si profondes pour nous.

Nous devons tous endurer des peines si Lourdes qu’elle nous brise nous déchire.

La douleur ne se compare pas.

Chacun la vie à sa propre façon, certains s’en sortiront en murissant, d’autre jamais, en pourrissant.

Je sais que toi aussi tu t’es retrouvé à la croisée des chemins.

Sur l’autoroute de la vie, brisée, cassée, anéantie et défaite.

Je sais que toi aussi, tu as vécu des choses que tu n’aurais jamais du vivre ou ressentir.

Que des gens t’ont abusé, que des personnes t-on laissé sur le bord du chemin de la vie pour morte.

Je sais que tu t’es retrouvé dans des situations qui t-on laissé sans voix.

Que c’est pour ça qu’aujourd’hui tu rêves tant d’aider les autres, d’aider tout le monde !

Mais il y a des gens qui ne veulent pas être sauvés.

Qui est incapable de se relever.

Qui est incapable de s’aimer suffisamment pour se tenir debout.

On m’a toujours dit de me battre même avec un genou par terre.

Qu’il fallait mieux manger !

Et « Je vais te dire un truc que tu sais déjà. : le soleil et les arcs-en-ciel, ce n’est pas le monde. Il n’y a pas de vraies tempêtes, de lourdes épreuves. Aussi grand et fort que tu sois, la vie te mettra à genoux et te laissera comme ça en permanence si tu la laisses faire. Toi, moi, n’importe qui, personne ne frappe aussi fort que la vie. Ce n’est pas d’être un bon cogneur qui compte, l’important c’est de se faire cogner et d’aller quand même de l’avant. C’est de pouvoir encaisser sans jamais flancher. C’est comme ça qu’on gagne. »

Hésiter sa vie, sans jamais l’oser.

Refuser d’aimer par peur de souffrir c’est comme refuser de vivre par peur de mourir.

Je sais que c’est difficile de voir les gens que tu aimes, que tu adores le plus souffrir, avoir mal, être blessé.

De les voir par terre incapables de respirer tellement la vie leur a coupé le souffle.

Je sais que c’est tragique de voir des gens pour qui ont veut le mieux, dévaster.

Mais n’oublie pas que dans la vie le sucré n’est jamais aussi sucré sans l’amertume et que vous connaissez tant l’amertume, donc cela vous permet d’apprécier le sucré.

Je sais que c’est inacceptable de voir quelqu’un dans sa merde et ne pouvoir rien faire, être impuissant.

D’avoir le cœur défait, de rester comme un témoin de la vie de quelqu’un sans pouvoir intervenir.

Mais chacun à la responsabilité de s’aimer, de se sauvé, de s’élever.

On ne peut pas être le premier rôle dans la vie de quelqu’un d’autre.

On ne peut pas vivre la vie à la place d’une autre.

Nous devons tous être notre propre super héros, notre propre sauveur.

Et je sais qu’aider est chez toi une seconde nature.

Qu’aider chez toi est l’une de tes plus grandes qualités !

Mais aider tout le monde, ça revient à n’aider personne.

Aider tout le monde s’est s’oublier soi-même.

C’est se perdre alors qu’il a déjà été si difficile de te retrouver, de revenir à qui tu étais.

Tu as mis tant de temps, d’énergie pour te trouver.

Tu as été si loin pour savoir enfin qui tu étais.

Que tu dois laisser aller ce qui s’en va et laisser venir ce qui te cherche !

Il est temps d’être égoïste pour toi, pour ton bonheur.

Avant de vouloir guérir une personne demandez lui si elle est prête a abandonné les choses qui le rendent malade.

Et surtout, n’oubliez pas de garder un peu d’amour pour vous-même.