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Ce qui compte, ce n’est pas la force des coups que tu donnes, c’est le nombre de coups que tu encaisses tout en continuant d’avancer.

La vie est un éternel combat.

Et je crois que nous avons tous été là.

À la croisée des chemins.

Entre le rêve et la réalité.

Entre son cœur et sa tête.

Entre ses émotions et la raison.

Se questionnant.

S’interrogeant sur la vie, sur notre existence ou même sur notre place dans l’univers.

Essayer de lire notre destin.

Essayer de comprendre pourquoi.

Essayer de chercher des réponses à des questions, qui trop souvent n’en ont pas.

Car si la vie est un éternel combat, la vie est aussi très difficile, très dure.

Nous vivons à une époque, ou la vie est devenue une tragédie.

Un calvaire quotidien pour beaucoup trop de gens.

Les gens ne croient plus en l’Amour,

Les gens n’ont plus de valeur.

Et ils ne savent plus la valeur qu’ils ont.

Ils se regardent dans le miroir et ne voient plus que leur défaut.

Quand on compare on se console, dit-on, mais il faut faire attention à qui nous nous comparons.

Un proverbe chinois dit : «Méfier, vous de ce que vous souhaitez, car ça pourrait se réaliser».

De nos jours, on rêve d’amour, mais nous ne sommes prêts qu’à donner du sexe.

De nos jours, on voudrait croire, on voudrait espérer, faire confiance, mais comment faire confiance quand on a été si déçu, même par les propres siens.

On regarde devant, mais avec un œil sur son passé.

Pas pour ne jamais oublier d’où nous venons, mais pour essayer de le revivre ou le ravoir.

Mais on oublie le moment et l’instant présent.

On n’oublie que les plus belles choses, n’est pas derrière nous, mais bien en avant de nous.

On parle, pour ne rien dire.

On écoute, pour répondre et non comprendre.

Je crois que nous nous perdons.

On est si humnibuler par l’apparence, que l’on oublie que l’essentiel est invisible pour les yeux, et qu’on ne voit bien qu’avec le cœur.

On voudrait avoir le parfait, mais la beauté se trouve dans chaque petite imperfection, ou défaut.

Car endurer des qualités c’est facile, mais des défauts, il faut que cette personne aie se petit quelque chose en plus.

Il n’y a rien d’extraordinaire à aimer le beau, le parfait.

Mais aimer ce qui est laid, ce qui est imparfait, c’est être humble envers la vie, et se dire que personne ne l’est.

On regarde vers l’avenir avec l’attitude de perdant, de défaite. Comme si c’était perdu d’avance.

On ne rêve plus de grande chose.

On ne désire plus, l’amour avec un grand A.

On ses résigné.

Nous avons arrêté de nous battre.

Nous battre pour notre couple, pour la personne que l’on aime.

On s’est résigné, à ne mettre que des efforts, que si la récompense, fini dans un grand crie de jouissance.

Entre 2 tape sur une fesse, ou tirage de cheveux.

Mais où sont ceux qui lisent des sonnets de Pablo Neruda, ou les livres de Nicholas Sparks et y croient encore et toujours.

Mais le problème est là, on lit des livres, on regarde des films, parfait, qui finissent toujours bien.

Mais la vie est une catastrophe contrôlée.

Ou il faut naviguer entre les tempêtes pour profiter du calme plat.

Ou les histoires ne se terminent pas bien pour tout le monde.

Ou l’ont rencontré des gens, qui sont si méchants et si pauvres, qu’ils n’ont rien d’autre à offrir que le pire d’eux même.

On se demande si tout cela à un sens.

On veut croire que oui.

On veut se rassurer, se déculpabiliser.

On veut se pardonner.

Ses pires coups, en espérant que les bons balanceront le tout.

Les gens vivent avec d’énormes regrets, d’énormes cicatrices et blessures.

Ils ont trop souvent le cœur à l’envers et des nœuds dans la tête.

On se prépare au pire, dès le début, en espérant le mieux.

On se fait couper les ailes en plein vol.

On porte des poids, si lourds sur les épaules.

Nous transportons tous un fardeau, qui traine tel un boulet derrière nous, mais combien auront le courage de s’en libérer?

De s’en défaire.

De s’en sortir.

On voudrait tant de choses, on aimerait tant le «ils vécurent heureux, et eurent beaucoup d’enfants».

Mais trop de gens n’ont pas d’amour pour eux, s’oublient.

Comment aimer une autre personne, si nous n’arrivons même pas à nous aimer nous-mêmes?

Certains acceptent même d’être un second choix ou une option.

On dit qu’on ne choisit pas qui l’on aime, mais on choisie quand même qui rentre ou bien qui reste dans sa vie.

On est libre d’ouvrir son cœur ou non.

De donner de son amour.

De ce laisser-aller à cet amour ou non.

Certaines personnes sont victimes de l’Amour.

Mais d’autre l’on choisit consciemment.

Au final nous sommes qui nous sommes, mais soyez quelqu’un qui s’aime assez pour ne plus tolérer d’être aimé à moitié, ou que pour une chose, n’accepter rien de moins, qu’un amour total et complet.

Et surtout choisissez-vous, en toute circonstance, toujours, en tout temps.

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