Elle va vous manquer, même si vous croyez que ce que vous faites est pour son mieux, même si vous croyez que ça sera «cool» et «chill», ça ne le sera pas.
Pour être honnête, c’est l’inverse, elle vous manquera, elle vous manquera plus que tout, sans elle c’est comme si vous suffoquiez.
En premier, vous aller vous sentir libérer, vous aller allez dans des bars, voir de vieux amis, dire à quel point elle ne vous entraine plus vers le fond, vers la tristesse et la peine, de votre séparation.
Vous allez penser que vous avez manqué votre vie, durant votre relation.
Vous allez même tenir de nouvelle main, embrasser de nouvelle lèvre, coucher dans un autre lit que le sien.
Vous allez sortir, reprendre gout à la vie, à qui vous êtes réellement. Cette personne… cette personne qui l’a perdu.
Car après l’effet de ce renouveau, de cette liberté gagnée, vous vous retrouverez plus souvent seul qu’autre chose.
Face à vous même, face à toutes vos actions, les bonnes jusqu’aux pires, face à vos anges et démons, face à face avec vous…
Et après un temps, vous allez réaliser ce que vous avez perdu, ce que vous avez détruit, à quoi vous avez tourné le dos et dit au revoir.
Ce sentiment d’être invincible va s’évanouir, comme neige au soleil.
Après tant de plaisir, tant d’excitations, un soir en premier, puis une nuit après l’autre, vous voudrez vous ranger, avec une personne, celle que vous aviez, celle que vous avez perdue.
Et après quelque temps, les baisers et câlins de ces étrangères ne vous émoustillera plus comme avant, vous aller chercher, essayer de retrouver ce plaisir, que vous aviez auprès de celle que vous avez abandonnée, avec qui vous avez tout gâché, vous aller vouloir serrer qu’une seule pairs de foufounes, embrasser qu’une seuls pairs de lèvres et aimer une seule personne, un seul cœur…
L’excitation, le plaisir, ce sentiment d’invincibilité, va simplement se transformer en poussière.
Car pendant qu’elle était loyale et qu’elle vous aimait, vous aviez peur, pendant qu’elle croyait en vous, vous n’aviez pas assez de courage, assez dans le pantalon, pour faire face à vos émotions, à vos sentiments, et pendant qu’elle vous offrait son cœur, son âme, vous détourner le regard pour en admirer d’autre, pour lui faire sentir que vous vous sentiez emprisonner dans cette relation, comme un oiseau en cage.
Car pendant qu’elle n’attendait que vous, vous seules, vous fussiez occuper à trouver l’amour, la passion, l’intensité ailleurs, avec une autre ou même pire, avec vous même, trop lâche pour assumer vos désirs, trop lâche pour vous laisser aller a l’amour avec elle, trop lâche pour simplement être humain et lui parler, lui dire ce que vous ressentiez, ce que vous viviez, ce qui vous habitait.
Mais tout ceci n’est plus que passé… le temps, la distance, à fait son œuvre, trop de journées sans votre voix, trop de jours sans vos faux je t’aime, et votre fausse présence, on eu raison de votre relation.
Elle aurait pu être, être la seule, l’unique, peut-être qu’elle pourrait encore l’être, mais ne retourner pas la détruire une seconde fois, agissez en homme, en vrai cette fois, regardez un autre se levez, pendant que vous vous assoyez, et regardez-le l’aimer, comme il se doit, comme vous auriez du le faire, lors du premier instant, lors du dernier, du début, jusqu’a la fin, entièrement, simplement totalement.
Ne la faites pas revenir vers vous, laissez le destin s’en charger, car ce qui doit arriver arrivera.
Ne la perturbez pas, ne la blessez pas plus qu’elle ne l’a déjà été.
Vous aller vivre avec cette douleur, ce regret, de ne plus sentir sa main, son parfum, son odeur, de ne plus gouter ses lèvres, de ne plus, la ressentir.
Vous aller vivre avec la souffrance, de ne plus entendre un de ces «je t’aime» de ne plus vivre sa passion, son intensité, son TROP ou son ne pas ASSEZ.
Car vous savez, vous êtes convaincu, maintenant, à présent, que c’était elle, elle la bonne, elle qu’il vous fallait.
Mais agissez comme vous l’avez toujours fait, en lâche, n’ayez aucun courage comme d’habitude, et laissez-la vivre sa vie.
Car même si un matin après que cette étrangère, ce numéro soit partie de votre vie, vous vous souvenez de la façon que elle restait au lit, après une nuit torride d’amour, après avoir été si bien, si rempli de vous, de votre amour, elle vous manquait, laissez-la avancer, sans vous dans sa vie.
Laissez-la aimer de nouveau, se faire mal, se relever, et surtout assumer de savoir que vous avez détruit ce que vous aviez de plus beaux, d’avoir ruiner, ce que vous aviez de plus grand, et c’est pour ça qu’elle va vous manquer, mais que pour elle d’ici quelque temps, vous ne lui manquerez plus une seule seconde.