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L’univers t’appelle, il t’attire, il conspire, pour toi.
Il existe en nous un endroit.

Un endroit qui sommeille.

Qui dort si profondément que l’on pourrait l’oublier.

Qu’on pourrait faire comme s’il n’avait jamais existé !

Un endroit…

Ou les rêves rencontre nos désires et nos espoirs.

Ou notre cœur gagne enfin contre notre raison.

Ou nous pouvons nous épanouir.

Nous transformer, nous améliorer.

En nous sommeil le souhait profond, de s’accomplir, de se parfaire.

La fin dépend toujours du commencement.

Et nous sommes ce que nous faisons à répétition.

Assurons-nous donc de faire les bonnes choses.

Celles qui nous rendent heureux.

Celles qui nous font rêver.

Celles qui nous font voyager.

Celles qui nous font nous sentir, enfin bien.

Enfin nous-mêmes.

La vie est un mystère à découvrir.

Le présent un cadeau, qu’il faut s’empresser de déballer.

Hier est passé, demain n’existera peut-être jamais.

C’est pourquoi il faut se concentrer sur l’instant présent.

C’est pourquoi il faut se concentrer sur ce qu’on fait de mieux.

Sur ce qui fait de toi, toi.

Dans la vie tu ne peux jouer qu’un seul rôle, le tien, car toutes les autres sont déjà pris.

On dit que le doute tue.

Que la peur, mène à la colère, que la colère mène à la haine, et que la haine malheureusement mène à la souffrance.

On ne subit pas l’échec, on le conditionne, on le cultive.

Avec nos pensées négatives.

Avec nos émotions qui deviennent si lourdes, qu’elle pèse même sur les plus belles idées.

Avec tout ce qui nous retient en arrière.

Comme notre passé.

Comme nos souvenirs.

Comme nos peurs et nos craintes.

Comme nos souffrances et douleurs.

Comme nos blessures encore ouvertes.

Comme nos cicatrices qui cicatrisent.

Car trop souvent, car trop de gens, se regarde et ne voit que ce qui les enlaidies plutôt que ce qui les rend plus jolies.

Nous nous regardons dans un miroir et nous ne voyons plus le brillant avenir qui s’ouvre à nous, mais nous contemplons le poids du temps, des années et de toutes nos mauvaises décisions.

Nous regardons, toutes nos erreurs, tous nos échecs.

Mais pourtant un échec n’est pas fatal.

Et ceux qui réussissent sont ceux qui essaient.

Qui tombe, mais qui se relèvent, à chaque fois, tout le temps, en tout temps.

La positivité, ça se travaille comme tout et n’importe quoi.

Le succès ça se prépare, un pied devant l’autre, un petit pas, une étape à la fois.

Tout comme la réussite.

Nous sommes par définition, capable du mieux, mais combien se laissent aller au pire ?

Car nous sommes capable, de toucher les étoiles, franchir les barrières, de faire de l’inconnu du connu.

Nous sommes de géant, mais qui trop souvent ont des rêves de l’illipucien, si petit que l’on croirait inexistant.

À notre époque.

Ici et maintenant, pourquoi avons-nous si peur de réussir, de nous en sortir ?

Pourquoi avons-nous la frousse, du succès, d’y parvenir ?

Pourquoi nous empêchons-nous, nous-mêmes, d’atteindre nos objectifs, nos buts ?

Part peur, celle de sortir de notre zone de confort.

De perdre nos repères.

Nos guides, notre voie.

Mais s’il existe une vérité, c’est que pour se retrouver, il faut se perdre.

Et que si l’on veut avancer, ouvrir le chemin, être un pionnier, il faut oser.

Oser un petit pas, oser quelque chose.

Car la fortune sourit toujours à l’audacieux, et est si cruelle envers ceux qui se répètent à l’infini.

La vie c’est naviguer entre les tempêtes pour profiter du calme plat.

La vie s’est surmonté les pires épreuves, les pires combats, pour devenir plus fort.

Pour devenir un peu plus ce que nous sommes et qui nous sommes.

Oui il existe en nous un endroit.

Un endroit qui sommeille.

Qui dort si profondément que l’on pourrait l’oublier.

Qu’on pourrait faire comme s’il n’avait jamais existé !

Il existe en nous un endroit qui peut nous guider comme un phare.

Ou nous couler comme un mirage.

Il suffit d’y croire.

Il suffit de garder confiance en la vie.

Et surtout en nous.

Un endroit…

Ou les rêves rencontre nos désires.

Mais faut-il être prêt ?

À s’élever.

À s’améliorer.

À grandir.

À oser.

À devenir.

À être tout ce que l’on peut.

Car l’univers conspire, toujours.

Pour nous offrir ce que l’on a de besoin.

Ce qui nous est nécessaire.

Ce qui nous revient.

Ce que nous attirons.

Quelqu’un quelque part te cherche.

Quelque chose souhaite te trouver.

Ce que tu cherches t’appelle aussi.

IL ne murmure pas en silence.

Il crie et hurle ton nom.

Il crie et hurle ta grandeur.

Il crie et hurle je suis ici.

Comme le rugissement du lion.

Comme le grondement d’un volcan.

Ou comme la rage d’un ouragan.

Il est temps de renaitre.

Comme un phénix.

Il est temps de devenir.

Comme seules les personnes d’exception le peuvent.

Il est temps d’avoir le courage.

De respirer, profondément.

De gonfler ses poumons, de toute la force qui t’habite depuis toujours.

Il est temps, de laisser-aller tout ce qui a été pour accueillir tout ce qui peut être.

Car la réponse n’est pas dans un passé lointain, ou dans un futur qui n’existera probablement jamais.

Car ce que tu veux !

Est ici et maintenant.

Car la somme de tout ce que tu as fait, ta guider, à cet instant.

Car si les étoiles brillent, elles le font un peu plus pour toi.

Car les bourdes, que tu as faites, tout ce que tu as aimé et qui ta blessée.

Tout ce que tu as laissé t’affecter n’a plus d’emprise sur toi.

Tout ce qui t’a anéantie, et brisée.

Est à ce moment si insignifiant, qu’il n’a plus d’empreinte sur toi.

Sa marque n’est plus là.

Même si tu ressens sa présence.

Tout ce que tu étais a disparu, pour laisser place à ce que tu seras.

Et c’est être la meilleure version de toi-même.

C’est être tout ce que tu peux.

Et surtout tout ce que tu veux.

Car combien n’auront pas le privilège, la chance, d’avoir plus de temps.

Car combien ne sont pas nées au bon endroit, au bon moment !

Car combien ont ton talent unique, mais ne pourront jamais l’exploiter !

L’univers t’attire à elle, le succès aussi.

Comme la terre vers le soleil.

Comme la marée vers le rivage.

Le monde ne tourne pas autour de toi, mais il faut être le centre de ton univers.

Car pour vraiment aimer, il faut d’abord s’apprécier.

Car chaque chance que l’on ne prend pas est une occasion, manquez.

Car tout ce que tu n’essaies pas ne réussira jamais.

Si tu devais te définir.

Serais-tu à la hauteur ?

Si tu devais me parler de toi.

Serais-tu le héros de ta propre histoire ?

À 3, fait, un vœu.

Et à go, réalise-le.

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