Traite-les comme ils te traitent, ils auront le culot de se sentir blessés.
L’ironie du miroir qu’on leur tend.
Mais ne supportent pas l’écho de leurs propres actions.
Leurs yeux s’écarquillent devant leur reflet.
Comme si la vérité les giflait soudainement.
Ils jouent avec le feu, puis pleurent quand il les brûle.
La justice a parfois le goût amer de leurs propres médecines.
Ils sèment des épines, mais crient quand elles les piquent.
L’univers leur renvoie simplement leur énergie.
Comme un boomerang émotionnel.
Ils ont la mémoire courte de leurs propres offenses.
Mais une sensibilité exacerbée face aux réponses.
Ils découvrent l’amertume de leurs propres poisons.
Quelle étrange danse que celle de l’ego blessé.
Ils exigent le respect qu’ils refusent d’accorder.
Leurs larmes coulent maintenant, mais où étaient leurs remords?
Ils récoltent les fruits de leurs propres jardins.
Étrange comme la vérité peut faire mal.
Ils crient à l’injustice face à leurs reflets.
Mais il ne fait que répéter fidèlement.
Les échos de leurs propres actions.
Ils découvrent leur propre médecine.
Et la trouvent soudain bien amère.
Les rôles s’inversent, la pièce continue.
Mais le script reste le même.
Comme une note discordante dans leur propre mélodie.
Ils veulent des excuses pour les blessures qu’ils infligent.
Mais refusent d’assumer leurs responsabilités.
Le temps dévoile toutes les vérités.
Même celles qu’on préfère ignorer.
Leurs yeux s’embuent devant leur propre reflet.
Comme si la réalité était trop dure à porter.
La justice poétique prend son temps.
Mais elle arrive toujours à destination.
Ils découvrent le poids de leurs actes.
Dans la balance de l’équilibre universel.
Leurs plaintes résonnent comme des aveux.
De leur propre manque d’empathie.
Le karma n’est pas une vengeance.
Qui nous renvoie nos leçons.
Jusqu’à ce qu’elles soient comprises.
Ils crient à l’injustice.
Sans voir la justice poétique.
Dans ce retour à l’envoyeur.
Elle reflète simplement.
Alors laissez-les découvrir.
Le goût de leurs propres médecines.
La sagesse viendra peut-être.
Dans l’amertume de la réflexion.