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Traite les comme ils te traitent, ils auront le culot de se sentir blessé.
Crédit: Adobe Stock

Traite-les comme ils te traitent, ils auront le culot de se sentir blessés.

L’ironie du miroir qu’on leur tend.

Ils distribuent des coups sans compter.

Mais ne supportent pas l’écho de leurs propres actions.

Leurs yeux s’écarquillent devant leur reflet.

Comme si la vérité les giflait soudainement.

Ils jouent avec le feu, puis pleurent quand il les brûle.

La justice a parfois le goût amer de leurs propres médecines.

Ils sèment des épines, mais crient quand elles les piquent.

L’univers leur renvoie simplement leur énergie.

Comme un boomerang émotionnel.

Ils ont la mémoire courte de leurs propres offenses.

Mais une sensibilité exacerbée face aux réponses.

Les masques tombent quand le miroir se dresse.

Ils découvrent l’amertume de leurs propres poisons.

Quelle étrange danse que celle de l’ego blessé.

Ils exigent le respect qu’ils refusent d’accorder.

Leurs larmes coulent maintenant, mais où étaient leurs remords?

La roue tourne, implacable justice du karma.

Ils récoltent les fruits de leurs propres jardins.

Étrange comme la vérité peut faire mal.

Quand elle porte nos propres couleurs.

Ils crient à l’injustice face à leurs reflets.

Comme si le miroir mentait.

Mais il ne fait que répéter fidèlement.

Les échos de leurs propres actions.

La vie est une chambre aux miroirs.

Chaque geste revient vers son auteur.

Ils découvrent leur propre médecine.

Et la trouvent soudain bien amère.

Les rôles s’inversent, la pièce continue.

Mais le script reste le même.

Leur indignation sonne faux.

Comme une note discordante dans leur propre mélodie.

Ils veulent des excuses pour les blessures qu’ils infligent.

Mais refusent d’assumer leurs responsabilités.

Le temps dévoile toutes les vérités.

Même celles qu’on préfère ignorer.

Leurs yeux s’embuent devant leur propre reflet.

Comme si la réalité était trop dure à porter.

Ils cherchent des coupables dans le miroir.

Sans voir leurs propres mains qui accusent.

La justice poétique prend son temps.

Mais elle arrive toujours à destination.

Ils découvrent le poids de leurs actes.

Dans la balance de l’équilibre universel.

Leurs plaintes résonnent comme des aveux.

De leur propre manque d’empathie.

Le karma n’est pas une vengeance.

Juste un professeur patient.

Qui nous renvoie nos leçons.

Jusqu’à ce qu’elles soient comprises.

Ils crient à l’injustice.

Sans voir la justice poétique.

Dans ce retour à l’envoyeur.

La vie est un miroir parfait.

Qui ne fait pas de faveurs.

Ni ne garde de rancunes.

Elle reflète simplement.

Ce que nous projetons.

Alors laissez-les découvrir.

Le goût de leurs propres médecines.

La sagesse viendra peut-être.

Dans l’amertume de la réflexion.

Car le plus grand professeur.

Est souvent notre propre reflet.

Dans le miroir de la vie.

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