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Règle numéro 7 : Ne jamais réintégrer les gens du passé dans ta vie.
Crédit: Adobe Stock

Ne jamais réintégrer les gens du passé dans ta vie

Le passé est un cimetière où reposent les promesses brisées.

Ces personnes sont parties pour une raison.

Les excuses d’hier ne méritent pas les chances de demain.

Tu as déjà donné assez de secondes chances.

Les gens ne changent pas, ils deviennent juste meilleurs acteurs.

Le temps qui passe ne guérit pas la toxicité.

Ces «je suis différent maintenant» sont des mirages dans le désert.

Tu as reconstruit tes murs brique par brique.

Ne laisse pas les fantômes du passé les démolir à nouveau.

Les regrets sont des chaînes qui t’empêchent d’avancer.

Ces «une dernière fois» sont des pièges mortels.

La nostalgie est une sirène qui cherche à te noyer.

Tu as cicatrisé avec le temps.

Ne laisse personne rouvrir tes blessures.

Les souvenirs heureux sont des appâts empoisonnés.

Ces «j’ai changé» sont des loups déguisés en agneaux.

La solitude est préférable à la compagnie toxique.

Tu mérites mieux que des recyclages émotionnels.

Ces «pardonne-moi» sont des clés rouillées.

Elles n’ouvrent plus les portes de ton cœur.

Le passé est un livre déjà lu.

Ne relis pas les chapitres qui t’ont fait pleurer.

Ces «je te promets» sont des échos vides.

Tu as payé trop cher les leçons apprises.

La vie avance, pas en arrière.

Ces «reprenons à zéro» sont des mensonges doux.

Le zéro n’existe pas dans les relations brisées.

Tu as construit un nouveau jardin.

Ne laisse pas les mauvaises herbes d’hier l’envahir.

Ces «donnons-nous une chance» sont des pièges à ours.

La confiance brisée est un vase qui ne se recolle jamais parfaitement.

Tu as appris à danser seul.

Ne laisse personne interrompre ta danse.

Ces «je regrette» sont des gouttes d’eau sur un désert.

Le pardon n’oblige pas à la réconciliation.

Tu as gagné ta paix intérieure.

Ne la sacrifie pas sur l’autel des secondes chances.

Ces «je pense encore à toi» sont des poisons sucrés.

La distance n’est pas un accident, c’est une protection.

Tu as construit de nouvelles fondations.

Ne laisse pas les tremblements du passé les fissurer.

Ces «tu me manques» sont des miroirs déformants.

La nostalgie embellit ce qui était laid.

Tu es devenu plus fort dans la solitude.

Ne deviens pas faible dans les retrouvailles.

Le futur t’attend avec des pages blanches.

Ne les tache pas avec l’encre du passé.

Ces «recommençons» sont des impasses déguisées en autoroutes.

Tu mérites des nouvelles histoires, pas des rééditions.

Le passé est un musée.

Admire-le de loin, mais n’y habite plus.

Car ta vie est maintenant.

Et demain t’appartient.

Sans eux.
Sans regrets.
Sans retour.

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