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Une goutte de joie peut guérir une mer de tristesse.
Crédit: Adobe Stock

J’ai envie.

D’un nous qui respire.

Large comme un océan.

Étroit comme un secret.

J’ai envie d’un célibataire à deux.

Un amour qui bouge.

Qui pulse.

Qui hésite.

Qui se pose.

Puis repart.

J’imagine nos soirées.

Séparées.

Mais reliées.

Tu disparais.

Je t’attends.

Tu reviens.

Avec des histoires.

Des regards.

Des sourires en coin.

J’ai envie que tu sois libre.

Totalement libre.

Dangereusement libre.

Et que cette liberté me traverse.

Me transperce.

M’appartienne.

Un amour qui ne s’enferme pas.

Qui respire.

Qui laisse de l’air.

Entre nous.

Autour de nous.

En nous.

J’ai envie de nos silences.

De nos rires.

De nos corps.

Qui se cherchent.

Qui se trouvent.

Qui s’évitent.

Puis se retrouvent.

Un amour comme un continent.

Vaste.

Imprévisible.

Avec des territoires inexplorés.

Des chemins secrets.

Des horizons mouvants.

J’ai envie de toi.

Pas tout le temps.

Pas n’importe comment.

Mais intensément.

Profondément.

Franchement.

Un amour qui ne se définit pas.

Qui se vit.

Qui s’invente.

À chaque respiration.

À chaque regard.

À chaque silence.

J’ai envie que tu sois mon ailleurs.

Et moi ton ici.

Ensemble.

Mais libres.

Ensemble.

Mais séparés.

Un amour qui ne se raccroche pas.

Qui ne s’impose pas.

Qui propose.

Un espace.

Un souffle.

Une danse.

J’ai envie de nous.

Comme on a envie de vivre.

Profondément.

Dangereusement.

Absolument.

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