Je n’ai entièrement confiance en personne et chaque jour me prouve que j’ai raison
Auteur: Maxime MarquetteLa méfiance n’est pas une faiblesse, c’est une armure forgée par l’expérience.
Chaque trahison a laissé une cicatrice, une leçon gravée dans ma mémoire.
J’observe, j’analyse, je décortique chaque mot, chaque geste.
La vie m’a appris que la prudence n’est pas de la paranoïa, mais de la sagesse.
Dans ce monde où les masques tombent un à un, je reste vigilant.
Les années m’ont enseigné que la solitude est préférable à la fausse compagnie.
Je ne regrette pas cette carapace, elle me protège des déceptions.
Comme un loup solitaire, j’ai appris à compter sur mes propres forces.
Chaque jour apporte sa confirmation : la méfiance est ma meilleure conseillère.
Les promesses s’envolent comme des feuilles mortes dans le vent d’automne.
Je préfère la vérité brutale aux douces illusions.
La sincérité est devenue une denrée rare, précieuse comme l’or.
Dans ce jeu des apparences, je refuse d’être un pion.
Ma force réside dans ma capacité à voir au-delà des façades.
Les déceptions d’hier ont construit ma résilience d’aujourd’hui.
Je ne cherche plus l’approbation des autres, je suis mon propre guide.
La solitude m’a appris que je suis ma meilleure compagnie.
J’ai appris à lire entre les lignes, à décoder les non-dits.
La confiance se mérite, elle ne se donne pas gratuitement.
Chaque trahison a renforcé mes convictions.
Je ne suis pas cynique, je suis réaliste.
La vie m’a montré que la prudence est une vertu.
Les apparences sont trompeuses, les intentions souvent cachées.
Je préfère être seul que mal accompagné.
Ma méfiance est mon bouclier contre les déceptions.
L’expérience m’a enseigné que peu de personnes méritent ma confiance totale.
Je ne regrette pas cette distance que j’impose.
La vérité se révèle toujours, tôt ou tard.
Je préfère être préparé que déçu.
Cette méfiance m’a rendu plus fort, plus lucide.
Elle m’a appris à me connaître, à m’accepter.
Je ne cherche plus l’approbation des autres.
Ma force réside dans cette indépendance acquise.
Je préfère la certitude de ma solitude aux doutes de la confiance mal placée.
Cette méfiance n’est pas une fin, mais un commencement.
Elle m’a appris à mieux choisir mes batailles, mes relations.
Je ne suis pas seul, je suis sélectif.
Cette prudence m’a préservé de nombreuses déceptions.
Je ne regrette pas ce chemin, il m’a rendu plus sage.
La vie continue de me prouver que j’ai raison de rester vigilant.
Mais cette vigilance n’est pas une prison, c’est une libération.
Et finalement, n’est-ce pas là la plus grande des libertés ?