Très peu me suffit.
Mais ce peu doit être authentique comme l’or pur.
Sincère comme le premier rayon du soleil.
Je ne demande pas des océans d’attention.
Une goutte suffit si elle vient du cœur.
Je ne réclame pas des forêts de promesses.
Une seule graine de vérité peut faire fleurir mon âme.
Les mots n’ont pas besoin d’être nombreux.
Ils doivent simplement résonner juste.
Je préfère un regard vrai.
À mille sourires de façade.
Une étreinte sincère.
À cent embrassades vides.
À des années de faux-semblants.
La vie m’a appris la valeur de la simplicité.
La beauté de l’essentiel.
La richesse du minimalisme émotionnel.
Je cultive les connexions véritables.
Qui préfère une seule rose épanouie.
À un champ de fleurs artificielles.
Les vérités murmurent.
J’ai appris à écouter les silences.
À lire entre les lignes.
À sentir les vibrations de l’authenticité.
Un simple «je suis là» sincère.
Vaut plus que mille promesses d’éternité.
Une présence vraie dans la tempête.
Dépasse toutes les déclarations par beau temps.
Je ne cherche pas la quantité.
La qualité est ma seule mesure.
La sincérité, ma seule exigence.
L’authenticité, mon seul luxe.
Les petits gestes portent les grandes vérités.
Les petits moments créent les grands souvenirs.
Je préfère la simplicité qui parle vrai.
À la complexité qui ment bien.
La vie m’a enseigné.
Que l’essentiel tient dans un souffle.
Dans un silence partagé.
L’authenticité ne se mesure pas au volume.
Elle se ressent dans les détails.
Dans les gestes spontanés.
Dans les mots non calculés.
Très peu me suffit.
Mais ce peu doit être pur.
Comme l’eau de source.
Comme l’air des montagnes.
Comme l’amour d’une mère.
Juste une étoile qui brille vrai.
Je ne cherche pas l’infini.
Juste un instant d’éternité sincère.
J’ai choisi le juste assez.
Dans ce monde de paraître.
J’ai choisi l’être.