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Les gens ne font pas semblant d’être déprimés. Ils font semblant que tout va bien. Souvenez-vous de ça.
Crédit: Adobe Stock

Derrière les sourires se cachent parfois des tempêtes.

Derrière les «ça va» se dissimulent des océans de larmes.

Derrière les «tout va bien» se terrent des montagnes de douleur.

Les gens ne simulent pas la dépression.

Ils simulent le bonheur.

Comme des acteurs sur la scène de la vie.

Portant des masques de joie.

Cachant leurs blessures sous des costumes de normalité.

Ils sourient pour ne pas inquiéter.

Ils rient pour ne pas pleurer.

Ils avancent pour ne pas sombrer.

Les batailles les plus dures se livrent en silence.

Dans les chambres vides.

Dans les cœurs lourds.

Dans les esprits tourmentés.

Personne ne choisit l’obscurité.

Personne ne désire la tempête intérieure.

Personne ne veut de cette prison invisible.

Ils disent «je suis juste fatigué».

Mais la fatigue est dans l’âme.

Ils disent «ça passera».

Mais le temps semble figé.

Ils disent «ne t’inquiète pas».

Mais l’inquiétude est leur compagne fidèle.

Regardez au-delà des apparences.

Écoutez les silences.

Observez les absences.

Car la douleur se cache.

Derrière les posts joyeux sur les réseaux sociaux.

Derrière les «tout est parfait».

Derrière les «je vais bien».

La dépression ne porte pas de pancarte.

Elle porte un masque de normalité.

Un costume de quotidienneté.

Une façade de banalité.

Les plus blessés sont souvent les plus silencieux.

Les plus torturés sont parfois les plus souriants.

Les plus seuls sont fréquemment les plus entourés.

Alors tendez l’oreille.

Aux mots non-dits.

Aux appels muets.

Aux cris silencieux.

Car personne ne joue à être brisé.

Mais beaucoup jouent à être intacts.

Personne ne simule l’orage.

Mais beaucoup simulent le beau temps.

La vraie force n’est pas dans le silence.

Elle est dans le partage.

Dans l’aveu de faiblesse.

Dans la main tendue.

Alors souvenez-vous.

Quand quelqu’un dit que tout va bien.

Parfois tout s’écroule.

Quand quelqu’un sourit toujours.

Parfois il pleure à l’intérieur.

Car les plus grands combats.

Se livrent souvent.

Dans le plus grand silence.

Et les plus profondes blessures.

Se cachent derrière.

Les plus beaux sourires.

Tendez la main.

Ouvrez votre cœur.

Écoutez vraiment.

Car derrière chaque «ça va».

Se cache peut-être.

Un appel à l’aide.

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