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Et lorsque vous aurez besoin de nous, rappelez vous que nous sommes mauvais , comme vous l’avez dit aux gens.
Crédit: Adobe Stock

Les mots. Ils coupent plus profondément que les lames.

Ils laissent des cicatrices invisibles, mais durables.

Vous nous avez appelés «mauvais». Pourquoi ?

Par colère ? Par peur ? Par ignorance ?

Ces mots, ils résonnent encore dans nos oreilles.

Ils brûlent comme du sel sur une plaie ouverte.

Nous sommes «mauvais», dites-vous.

Mais qu’est-ce que la bonté, alors ?

Est-elle dans les jugements hâtifs ?

Dans les étiquettes collées à la légère ?

Vous nous avez peints en noir.

Mais le monde n’est pas en noir et blanc.

Il est fait de nuances, de gris, de couleurs.

Comme nous. Comme vous.

Nous sommes humains, imparfaits.

Capables du meilleur comme du pire.

Tout comme vous. Exactement comme vous.

Mais vous avez choisi de ne voir que le pire.

Vos mots ont créé un fossé entre nous.

Un gouffre que vous avez creusé vous-même.

Et maintenant, vous vous tenez au bord.

Seul. Isolé. Ayant besoin d’aide.

Ironique, n’est-ce pas ?

La vie a un sens de l’humour cruel parfois.

Vous nous avez rejetés, et maintenant…

Vous avez besoin de nous.

Que ferez-vous ? Que direz-vous ?

Les mots ont du pouvoir, vous savez.

Ils peuvent construire des ponts.

Ou ériger des murs.

Vous avez choisi les murs. Et maintenant ?

Allez-vous les abattre ? Ou rester prisonnier ?

La balle est dans votre camp.

Le choix vous appartient.

Nous sommes là, de l’autre côté.

Pas aussi mauvais que vous le pensiez.

Juste humains. Avec nos forces et nos faiblesses.

Prêts à aider, malgré vos mots blessants.

Car voyez-vous, la vraie bonté…

C’est pardonner même quand c’est difficile.

C’est tendre la main à ceux qui nous ont blessés.

C’est voir au-delà des apparences et des préjugés.

Alors, que ferez-vous maintenant ?

Resterez-vous enfermé dans votre jugement ?

Ou oserez-vous admettre votre erreur ?

Le courage, c’est aussi savoir dire «Je me suis trompé».

Nous ne sommes pas parfaits, c’est vrai.

Mais qui l’est ? Certainement pas vous.

La perfection n’existe pas en ce monde.

Seulement des êtres imparfaits essayant de faire de leur mieux.

Vos mots nous ont blessés, c’est indéniable.

Mais ils ne nous ont pas définis.

Nous sommes plus que vos jugements.

Plus forts. Plus résilients. Plus compatissants.

Et c’est pourquoi nous sommes encore là.

Prêts à vous aider si vous le demandez.

Non pas parce que nous avons oublié.

Mais parce que nous avons choisi de pardonner.

C’est ça, la vraie force. La vraie bonté.

Pas l’absence de faiblesse ou d’erreur.

Mais la capacité de se relever.

De pardonner. De grandir. D’aimer malgré tout.

Alors, quand vous aurez besoin de nous…

Rappelez-vous non pas vos mots blessants.

Mais notre capacité à pardonner.

Notre humanité. Notre compassion.

Car c’est cela qui nous définit vraiment.

Pas vos étiquettes. Pas vos jugements.

Mais nos actions. Notre cœur. Notre âme.

Nous sommes là. Nous serons toujours là.

Non pas parce que nous sommes parfaits.

Mais parce que nous sommes humains.

Capables d’erreur. Capables de pardon.

Capables d’amour inconditionnel.

C’est à vous de voir maintenant.

Oserez-vous franchir le fossé que vous avez creusé ?

Oserez-vous nous voir tels que nous sommes vraiment ?

Imparfaits, mais aimants. Faillibles, mais forts.

Le choix vous appartient.

Mais sachez une chose : nous serons là.

Prêts à vous accueillir. À vous pardonner.

À vous montrer ce qu’est la vraie bonté.

Car au final, c’est cela qui compte.

Pas les mots prononcés dans la colère.

Mais les actions posées dans l’amour.

C’est cela qui nous rend vraiment humains.

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