L’IA prédit combien de temps la Troisième Guerre mondiale mettrait à conduire à l’extinction de l’humanité
Auteur: Maxime Marquette
À l’heure où les tensions internationales s’intensifient et où les dépenses militaires explosent, la question de la possibilité d’une Troisième Guerre mondiale inquiète de plus en plus. Avec l’essor de l’intelligence artificielle, certains experts et outils comme ChatGPT tentent d’évaluer non seulement les risques d’un tel conflit, mais aussi ses conséquences ultimes pour l’humanité. Une récente analyse révèle des prédictions troublantes sur la rapidité avec laquelle une guerre mondiale pourrait mener à l’extinction de notre espèce.
Une extinction en semaines, années ou décennies ?

Selon ChatGPT, si la Troisième Guerre mondiale éclatait et impliquait l’utilisation massive d’armes nucléaires et de technologies dévastatrices, des millions de morts pourraient survenir en quelques jours ou semaines. Cette première vague de destruction entraînerait l’effondrement total de la société, avec des conséquences comme un hiver nucléaire, des famines et des pandémies. L’IA estime que l’extinction humaine ne serait pas forcément immédiate : elle pourrait s’étaler sur plusieurs années, voire des décennies, si aucune reprise mondiale significative n’intervenait.
Les facteurs aggravants selon l’IA

L’ampleur de l’extinction dépendrait de plusieurs éléments : la quantité d’armes déployées, la capacité des sociétés à s’adapter, et la survenue d’autres catastrophes globales comme un effondrement écologique ou de nouvelles pandémies. L’IA souligne que la résilience et l’adaptabilité humaine pourraient offrir une chance de survie, mais que sans une réponse coordonnée, la population mondiale déclinerait inexorablement.
Probabilité et risques d’une guerre mondiale

Interrogée sur la probabilité d’un tel conflit, l’IA estime que le risque de voir éclater une Troisième Guerre mondiale dans les 10 à 20 prochaines années se situe entre 10 et 15 %. Ce chiffre, bien que relativement faible, reste préoccupant. Les principaux facteurs de risque identifiés sont les tensions géopolitiques, l’émergence de nouvelles formes de guerre (cyberattaque, guerre économique, militarisation de l’IA) et les conflits non résolus dans des zones sensibles comme la mer de Chine, Taïwan, la péninsule coréenne ou le Moyen-Orient.
L’adaptabilité humaine, dernier espoir

Malgré ces prédictions alarmantes, ChatGPT rappelle que l’humanité a déjà démontré une grande capacité d’adaptation face aux crises majeures. Si une guerre mondiale devait survenir, la survie dépendrait de la rapidité à organiser une réponse mondiale, à reconstruire des infrastructures essentielles et à éviter d’autres catastrophes en chaîne. L’avenir n’est donc pas totalement sombre, mais il dépendra de notre capacité collective à anticiper, prévenir et réagir aux menaces globales.
Conclusion

Les simulations de l’intelligence artificielle montrent que la Troisième Guerre mondiale pourrait, dans le pire des cas, conduire à l’extinction humaine en quelques décennies. Si la perspective est inquiétante, elle souligne l’importance de la diplomatie, de la coopération internationale et de l’innovation pour éviter le pire. La résilience et l’intelligence collective restent nos meilleures armes pour préserver l’avenir de l’humanité.