La religieuse qui a bouleversé le Vatican : l’adieu bouleversant de Sœur Geneviève à son ami, le pape François

Sœur Geneviève, l’amie fidèle du pape

Le 23 avril, alors que la dépouille du pape François était exposée à la basilique Saint-Pierre, Sœur Geneviève a franchi la corde qui séparait le public de l’espace réservé aux cardinaux, prêtres et évêques. Soutenue par un officiel, elle s’est approchée du cercueil, a posé la main sur son visage et a laissé couler ses larmes, sans qu’aucun garde ne vienne l’interrompre. Ce moment rare, réservé d’ordinaire à l’élite du clergé, a bouleversé la planète entière.

Une histoire qui traverse les continents

La rencontre entre Sœur Geneviève et le futur pape remonte à 2005, lors de l’enterrement de sa tante, Léonie Duquet, religieuse française disparue sous la dictature argentine. À l’époque, Jorge Mario Bergoglio – futur François – avait permis la réinhumation de Léonie. Depuis, une amitié sincère s’est nouée, faite de visites hebdomadaires, de messages et d’un engagement commun auprès des plus vulnérables, notamment la communauté LGBTQ+.

Des millions de personnes touchées par la sincérité d’un chagrin

La photo de Sœur Geneviève, en larmes devant le cercueil, main sur le visage, a été vue plus de 10 millions de fois sur les réseaux sociaux. Les commentaires affluent : “Ce n’est pas seulement une religieuse qui pleure un pape, c’est une amie qui dit adieu à un frère.” Son émotion a transcendé les croyances, touchant aussi bien les catholiques que les non-croyants, et rappelant la dimension profondément humaine du deuil.

Une religieuse au service des oubliés

Connue pour son engagement auprès des personnes LGBTQ+, Sœur Geneviève accompagnait régulièrement des membres de la communauté lors de ses visites au Vatican. “J’écrivais toujours un petit mot au pape pour lui dire qui viendrait”, confie-t-elle. Un geste simple, mais porteur d’un message d’ouverture et d’inclusion, fidèle à l’esprit du pape François.

Le deuil d’un pape qui a marqué l’histoire

Le deuil de Sœur Geneviève incarne celui de millions de personnes à travers le monde. “Même ceux qui ne sont pas croyants ont été touchés par la bonté et la compassion du pape François”, confie une étudiante présente dans la file. La cérémonie, suivie par des chefs d’État, des anonymes et des exclus, a montré l’universalité du message de François : “accueillir, aimer, pardonner”.

Le deuil d’un pape qui a marqué l’histoire

Le deuil de Sœur Geneviève incarne celui de millions de personnes à travers le monde. “Même ceux qui ne sont pas croyants ont été touchés par la bonté et la compassion du pape François”, confie une étudiante présente dans la file. La cérémonie, suivie par des chefs d’État, des anonymes et des exclus, a montré l’universalité du message de François : “accueillir, aimer, pardonner”.

Quand l’amour dépasse les règles

En brisant le protocole, Sœur Geneviève n’a pas seulement dit adieu à un pape, mais à un ami, un frère, un complice de lutte. Son geste restera gravé dans les mémoires comme le symbole d’un amour plus fort que les conventions, d’une fidélité qui traverse les épreuves et d’une foi qui s’incarne dans l’action.

L’image de Sœur Geneviève pleurant devant le cercueil du pape François restera comme l’un des moments les plus forts de l’année. Plus qu’un simple hommage, c’est un rappel bouleversant que derrière chaque figure publique, il y a des liens d’amitié, de tendresse et d’engagement. Par son geste, Sœur Geneviève nous rappelle que l’humanité, la compassion et le courage d’aimer sont parfois plus puissants que tous les protocoles du monde.