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L’Iran nucléaire : l’effondrement du monde dans le silence des bombes
Credit: Adobe Stock

Il y a, au cœur du Moyen-Orient, un volcan qui gronde. Un volcan qui n’est ni de feu ni de lave, mais d’atomes, de secrets, de menaces. Le programme nucléaire iranien n’est plus une affaire de diplomatie : c’est une épée de Damoclès suspendue au-dessus du monde, un compte à rebours silencieux dont chaque seconde rapproche l’humanité du précipice. L’urgence est absolue, la peur sourde, l’apathie un luxe interdit. Derrière les discours, les résolutions, les frappes, il y a une réalité brutale : la stabilité mondiale tient à un fil. Un fil que l’on tente de renforcer, mais que l’on sait prêt à céder à tout instant. Chaque décision, chaque silence, chaque geste peut faire basculer la planète dans l’inconnu.

Je me sens perdu dans ce vertige. Je me demande ce que signifie, aujourd’hui, la notion de sécurité, dans un monde où la menace nucléaire est devenue une réalité quotidienne. Je me demande si nous ne sommes pas tous devenus des otages d’une logique de la peur, d’une mécanique infernale où chaque camp justifie ses actes par la nécessité de survie, d’où la confiance a disparu, où le dialogue est mort. Je me demande si nous ne sommes pas en train de vivre une nouvelle ère, une ère de l’incertitude, de la méfiance, de la peur, une ère où l’avenir n’a plus de visage, où la vie elle-même est devenue fragile, précaire, incertaine. Je ressens, au fond de moi, une immense tristesse, mais aussi une détermination farouche à ne pas accepter l’inacceptable, à ne pas baisser les bras, à ne pas renoncer à l’espoir, à la paix, à la vie.

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