
Le 18 juin 2025, la lutte contre le VIH a basculé dans une nouvelle ère. Yeztugo n’est pas un simple médicament : c’est une lame de fond, une vague déferlante qui balaie des décennies de fatalisme, de peur, de stigmatisation. Deux injections par an, une protection quasi totale, une efficacité qui pulvérise tous les records : le message est clair, il n’y a plus d’excuse, plus de place pour la négligence, plus de temps à perdre. Le VIH peut être vaincu, il doit être vaincu, il sera vaincu. Mais cette victoire, elle ne viendra pas toute seule. Elle exige une mobilisation sans précédent, une volonté de fer, une mobilisation planétaire. Yeztugo impose une rupture, trace une nouvelle frontière, ouvre la voie vers un monde où le VIH ne sera plus qu’un souvenir. L’urgence est totale : chaque minute perdue, c’est une vie qui bascule, une famille qui souffre, un espoir qui s’éteint.
Je me sens à la fois bouleversé et galvanisé par cette révolution. Je me demande ce que représente, aujourd’hui, la possibilité de vaincre une épidémie qui a tué des millions, brisé des familles, stigmatisé des communautés entières. Je me demande si nous sommes à la hauteur du défi, si nous avons la force de saisir cette opportunité historique, si nous pouvons réellement tourner la page du VIH. Je ressens une immense admiration pour ceux qui ont lutté, pour ceux qui ont espéré, pour ceux qui n’ont jamais baissé les bras. Je ressens aussi une colère, une colère contre l’indifférence, contre la lenteur, contre les inégalités qui continuent de tuer. Je ressens enfin une espérance, une espérance folle, une espérance qui dit : tout est possible, le futur s’écrit maintenant, et il dépend de nous.
La fin de l’ère des compromis : Yeztugo, rempart infranchissable contre le VIH

Yeztugo n’est pas une simple amélioration, c’est une rupture. La PrEP orale, c’est fini. Fini les pilules quotidiennes, fini les oublis, fini la peur de manquer un rendez-vous, fini la honte de cacher une boîte de comprimés. Yeztugo propose une protection quasi totale, avec seulement deux injections par an. Les essais cliniques sont sans appel : zéro infection chez les femmes cisgenres en Afrique du Sud et en Ouganda, 99,9 % de protection chez les hommes gays, bisexuels, personnes transgenres et non-binaires. Yeztugo est 89 % plus efficace que la PrEP orale quotidienne. C’est une gifle monumentale aux anciennes méthodes, un uppercut à la routine, à la négligence, à la résignation. Yeztugo met KO l’oubli, la honte, la lassitude. La prévention change de dimension, la sécurité devient accessible, la liberté retrouvée.
Je me sens à la fois témoin et acteur de cette révolution. Je me demande comment il est possible, aujourd’hui, de vivre dans un monde où la science offre une protection quasi totale contre une maladie qui a tant tué, tant stigmatisé, tant isolé. Je me demande si nous sommes prêts à saisir cette chance, à faire de la prévention une priorité, à mettre fin à la stigmatisation, à la peur, à la honte. Je ressens une immense gratitude pour les chercheurs, les médecins, les militants, tous ceux qui ont permis cette avancée. Je ressens aussi une colère, une colère contre ceux qui continuent de fermer les yeux, contre ceux qui refusent de voir, contre ceux qui préfèrent l’inaction à la vie. Je ressens enfin une espérance, une espérance folle, une espérance qui dit : tout est possible, le futur s’écrit maintenant, et il dépend de nous.
La révolution de l’adhésion : get it and forget it, la promesse tenue

Combien de vies ont été brisées par un simple oubli ? Combien de personnes ont vu leur protection s’effriter à cause d’une pilule manquée, d’une ordonnance non renouvelée, d’un voyage imprévu ? Yeztugo pulvérise ce cercle vicieux. Deux fois par an, et c’est tout. Get it and forget it. La simplicité devient la norme, la sécurité devient accessible. La PrEP n’est plus un fardeau, elle devient une évidence. Yeztugo libère l’esprit, brise les chaînes de l’angoisse quotidienne, offre une protection sans faille, sans effort, sans compromis. La discrétion, c’est la dignité retrouvée. Yeztugo se glisse dans la vie sans bruit, sans trace, sans étiquette. Plus besoin de cacher des boîtes, plus de regards en coin, plus de questions gênantes. La prévention devient invisible, l’autonomie devient totale. Pour tous ceux qui craignaient le jugement, l’injection discrète deux fois par an est une délivrance. Yeztugo ne protège pas seulement le corps, il protège l’intimité, il restaure la confiance.
Je me sens à la fois ému et fier. Je me demande ce que signifie, aujourd’hui, la possibilité de se protéger sans honte, sans peur, sans contrainte. Je me demande si nous sommes prêts à accueillir cette révolution, à la partager, à la rendre accessible à tous, sans exception. Je ressens une immense admiration pour ceux qui ont lutté contre la stigmatisation, pour ceux qui ont osé parler, pour ceux qui ont refusé de se cacher. Je ressens aussi une colère, une colère contre ceux qui jugent, contre ceux qui excluent, contre ceux qui refusent de voir la réalité. Je ressens enfin une espérance, une espérance folle, une espérance qui dit : tout est possible, le futur s’écrit maintenant, et il dépend de nous.
Un tsunami d’efficacité : la science au service de la vie

Les chiffres ne mentent pas. Yeztugo a pulvérisé les records d’efficacité : 100 % de réduction du risque dans PURPOSE 1, 99,9 % dans PURPOSE 2. Face à la PrEP orale quotidienne, Yeztugo est 89 % plus efficace. C’est une révolution, c’est une lame de fond. La médecine n’avait jamais vu ça. La prévention du VIH change de dimension. Ce n’est plus une option, c’est une obligation morale : il faut déployer Yeztugo partout, pour tous, sans délai. La peur des effets secondaires ? Balayée. Les essais cliniques ont démontré une tolérance exemplaire, sans effets indésirables significatifs. Yeztugo a reçu le label “Breakthrough Therapy” de la FDA, une reconnaissance réservée aux innovations qui changent la donne. La sécurité et l’efficacité avancent main dans la main. Yeztugo n’est pas seulement une prouesse scientifique, c’est une victoire humaine.
Je me sens à la fois impressionné et reconnaissant. Je me demande comment il est possible, aujourd’hui, de vivre dans un monde où la science offre une protection quasi totale contre une maladie qui a tant tué, tant stigmatisé, tant isolé. Je me demande si nous sommes prêts à saisir cette chance, à faire de la prévention une priorité, à mettre fin à la stigmatisation, à la peur, à la honte. Je ressens une immense gratitude pour les chercheurs, les médecins, les militants, tous ceux qui ont permis cette avancée. Je ressens aussi une colère, une colère contre ceux qui continuent de fermer les yeux, contre ceux qui refusent de voir, contre ceux qui préfèrent l’inaction à la vie. Je ressens enfin une espérance, une espérance folle, une espérance qui dit : tout est possible, le futur s’écrit maintenant, et il dépend de nous.
Le compte à rebours pour l’éradication du VIH a commencé

Chaque jour sans Yeztugo, c’est une opportunité manquée. Chaque mois d’attente, c’est une génération sacrifiée. La science a fait son travail, il est temps que la société suive. Yeztugo doit devenir la norme, la référence, le nouveau standard. Les gouvernements, les ONG, les professionnels de santé n’ont plus d’excuse. L’inaction est un crime, le retard est une trahison. Le VIH peut être vaincu, mais seulement si l’on agit maintenant, massivement, sans détour. L’Organisation mondiale de la santé salue l’arrivée de Yeztugo. Les lignes directrices internationales sont en cours de mise à jour, les procédures d’accès accélérées. La planète entière doit se mobiliser. Yeztugo n’est pas réservé à une élite, il doit être accessible à tous, sans exception. L’équité, c’est la survie. La prévention du VIH n’a jamais été aussi simple, aussi sûre, aussi puissante. Le temps de l’attente est révolu.
Je me sens à la fois pressé et déterminé. Je me demande ce que signifie, aujourd’hui, la possibilité de vaincre une épidémie qui a tant tué, tant stigmatisé, tant isolé. Je me demande si nous sommes prêts à saisir cette chance, à faire de la prévention une priorité, à mettre fin à la stigmatisation, à la peur, à la honte. Je ressens une immense gratitude pour les chercheurs, les médecins, les militants, tous ceux qui ont permis cette avancée. Je ressens aussi une colère, une colère contre ceux qui continuent de fermer les yeux, contre ceux qui refusent de voir, contre ceux qui préfèrent l’inaction à la vie. Je ressens enfin une espérance, une espérance folle, une espérance qui dit : tout est possible, le futur s’écrit maintenant, et il dépend de nous.
Conclusion : Yeztugo, l’ultime rempart, l’ultime espoir

Yeztugo n’est pas une promesse, c’est une réalité. L’arme absolue contre le VIH existe, elle est là, prête à changer le monde. Deux injections par an, une protection quasi totale, une liberté retrouvée. Le temps de la peur et de la résignation est terminé. Le temps de l’action, de la mobilisation, de l’éradication a sonné. Yeztugo n’est pas un choix, c’est une nécessité. Le compte à rebours a commencé. Qui osera encore détourner le regard ? Qui osera encore attendre ? L’histoire s’écrit maintenant, et elle ne pardonnera pas l’inaction. Yeztugo est là. Le VIH n’a qu’à bien se tenir.