Uber : L’intelligence artificielle obsédée par les bénéfices surexploite les conducteurs et les passagers
Auteur: Jacques Pj Provost
Sous la surface numérique, se cache un vide sans fin
Imaginez un monde où chaque mouvement, chaque tapotement sur l’écran et chaque minute passée à attendre sont convertis en monnaie pour une multinationale. Uber est ce nom qui, sous des promesses de facilité et de mobilité, abrite un monstre algorithmique qui dévore avidement les revenus des conducteurs ainsi que les portefeuilles des passagers tout en manipulant et ajustant en arrière-plan. Des millions de trajets sont déformés par une intelligence froide et dure qui lutte contre le temps dans le but d’obsoléter des marges bénéficiaires destinées à être dynamiques. Chaque instant qui passe finit par construire une nouvelle vitrine cruelle de l’automatisation mal orientée où l’humanité ne devient qu’un facteur de plus sur la balance des richesses abondantes du conglomérat.
La mécanique infernale : Quand l’algorithme devient le maître du jeu

Une intelligence artificielle qui scrute, analyse et exploite
Uber a évolué. Ne faisant plus que le lien entre utilisateurs et conducteurs, il s’est transformé en une machine à générer des bénéfices qui transforme l’abus du conducteur en passager captive. L’algorithme d’Uber a évolué en un prédateur invisible après avoir analysé des centaines de milliers de trajets et plus de deux millions de demandes. Il sait qui est prêt à payer plus, qui acceptera moins, et les prix et compensations sont ajustés dans une danse cynique, sélective et opaque. Chaque course devient une chance d’enfoncer un peu plus le conducteur, grignotant même quelques euros du passager sans que quiconque comprenne vraiment pourquoi ou comment tout cela fonctionne.
Il ne s’agit plus de la loi de l’offre et de la demande ; il s’agit de celle du compétiteur le plus fort, le plus rusé ou le plus opaque. Les algorithmes observent, apprennent, s’adaptent et exploitent les faiblesses humaines, comme l’urgence d’être à l’heure, la fatigue d’un conducteur ou la crédulité d’un client. Contrairement aux humains, les machines ne se reposent jamais. Elles ajustent constamment les services et optimisent les processus, tout en extrayant de la valeur. Le résultat ? Une explosion des tarifs des passagers alors que les bénéfices d’Uber atteignent des niveaux obscènes, tandis que les salaires des conducteurs s’effondrent.
L'injustice : La chaleur du perçage économique

Sacrifices de Conducteurs : Tegra Uber prend par surprise le Passager.
Uber a entamé une avancée révélatrice vers son modèle économique depuis qu’ils ont introduit la tarification à la frontière. D’un 20-25 %, Uber exige désormais 29 % et même jusqu’à 50 % sur certains trajets. Cela, Uber et son esprit se sont allégoriquement adaptés, permettant de louer, au-delà de vos bénéfices. Cela était évident pendant les pertes à des employés de contrat de 303 millions, mais maintenant, elle sera la machine édifiante que j’espère travailler d’abord et dire.
Cependant, tout cela sert une stratégie qui, frénétique, crée des calculs inacceptables et cruels. Plus de 30 $ simultanément qui déclassent les passagers en plus de désactiver les exigences pour le travail des seniors. Ils ont essentiellement frappé à la porte sur une base de frais juste – quelque chose de vraiment inacceptable ; tout en attendant des réponses. Pendant qu’Audi, ses filiales, continuent d’augmenter les contrecoups ; logique sympathique que les services rendent toujours un salaire direct bas, tout en rendant absolument la situation confuse.
Manipulation algorithmique : Un grand spectacle de marionnettes

Quand l’intelligence artificielle devient une arme de profit absolu
Ce n’est pas de la magie, c’est plutôt une manipulation algorithmique à grande échelle. Uber a réussi là où beaucoup d’autres ont échoué : transformer la science économique en un instrument de soumission. Avec la tarification dynamique et les réservations à l’avance, la plateforme personnalise chaque prix et chaque paiement sur la base de données comportementales ultra-précises. Ce n’est plus le client qui décide, ni le conducteur qui négocie ; c’est l’algorithme qui dicte, impose et maximise impitoyablement le profit.
Le secret ? Opacité complète. Personne ne sait vraiment comment les prix sont calculés ou comment les commissions sont fixées et les paiements décidés. L’algorithme reste opaque, une boîte noire à laquelle seuls les dirigeants d’Uber ont la clé. Ce pouvoir absolu sur la distribution de la valeur crée un gouffre béant entre la promesse de la plateforme et la réalité vécue par les utilisateurs. Les chauffeurs sont réduits à des automates tandis que les passagers se transforment en consommateurs captifs alors qu’Uber récolte les récompenses infinies de cette exploitation systématique pilotée par des algorithmes.
La confiance brisée : Le prix humain de l’optimisation sans limite

Quand la technologie piétine l’éthique et la justice sociale
La confiance est le ciment de toute relation, même numérique. Quand une plateforme qui promet mobilité et liberté se transforme en prédateur sapant la confiance, il s’agit d’un déclin remplacé par suspicion, frustration ou encore colère. Les passagers ne sont plus des clients ; ils sont manipulés, floués, piégés dans un écosystème fixé par des tarifs réduits et une justification absente. Les chauffeurs autrefois considérés comme partenaires sont désormais soumis à des conditions étriquées qu’il leur faut accepter sous peine de néantisation – remplaçables et invisibilisés.
L’outil technologique devient surtout captif aux yeux du chauffeur. L’algorithme quant à lui, est perçu comme un facteur d’injustice sociétale plutôt que comme un facteur d’amélioration. Uber, derrière son préfet défensif et spermique sur sa société, demeure opaque, invisible, ignorant les réalités que vivent les chauffeurs et les passagers.
Le temps de la résistance algorithmiquement est venu

Prendre le contrôle, réclamer la transparence, une défense centrée sur l’humain
Nous vivons des temps troublés. Nous devons briser le silence causé par les algorithmes, reprendre le contrôle de notre mobilité, de notre travail et même de notre avenir. Uber ne représente pas une anomalie ; il est l’emblème d’une économie numérique qui fonctionne à plein régime mais, souvenez-vous, sans nous prioriser – nous, les humains – au cœur de son fonctionnement. Nous devons exiger une exposition totale des algorithmes. Il y a un besoin urgent d’imposer des règles garantissant justice et équité tant pour les chauffeurs que pour les passagers. La technologie en soi n’est pas fataliste – il s’agit toujours d’un choix. Et ce choix nous appartient – dès maintenant, à ce moment même.
Résister signifie s’opposer à être traité comme un nombre ajustable en circulation. S’opposer signifie exiger que les machines servent les êtres humains au lieu de traiter les humains comme des êtres subservients destinés à servir les innovations technologiques avec des bras impitoyables.
« Résister » se traduit par reprendre le contrôle de notre destin numérique que les dieux de la technologie essaient désespérément de détourner, alors sachez où les masques de nom sont enlevés, maintenant, façon de phrase, écrivain, faites lorsque saisir.
selon CNN