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Washington incendiée : le Chef du Sénat Américain Johnson force l’Amérique à regarder l’abîme Epstein en face
Credit: Adobe Stock

Il souffle sur Washington un vent plus dangereux qu’un ouragan. Ce matin, la capitale se réveille la nuque raide, prise en otage par un mot : transparence. Mike Johnson, speaker de la Chambre, vient de jeter un pavé dans la mare glacée : « Publions tout, les dossiers Epstein, les zones d’ombre, les rapports scellés, la justice inexplorée. » Le nom d’Epstein, pourri d’un siècle d’influences, suinte à nouveau partout. Les couloirs du Congrès se remplissent d’échos, de regards poreux, d’inquiétudes qu’aucun costume n’arrive plus à étouffer. Plus question de relativiser, de temporiser. Toute une classe dirigeante sent le sol vaciller sous ses propres non-dits. Ce n’est plus du journalisme : c’est un coup de poing sur le front du pouvoir, une sommation à l’humanité de regarder sa propre part d’ombre en face.

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