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Après la France, l’Ultimatum de l’Angleterre : la reconnaissance de la Palestine secoue le Royaume-Uni et Israël
Credit: Adobe Stock

Le soleil pâle de Londres n’a jamais aussi lourdement pesé sur le Parlement. En ce 29 juillet 2025, le Premier ministre britannique Keir Starmer place les nerfs de la diplomatie mondiale sous tension : « Sauf engagement concret d’Israël, le Royaume-Uni reconnaîtra l’État de Palestine en septembre ». Derrière l’annonce, l’onde de choc. L’équilibre diplomatique lézarde, les chancelleries frémissent, les marchés s’agitent. Westminster prend le monde à témoin, avertit Jérusalem – et fait peser sur l’histoire immédiate des conséquences que nul ne pourra rebrousser. Un mois, une échéance, une épée suspendue au-dessus de l’espoir ou de l’effroi. J’y vois la marque d’une époque qui n’a plus ni faux-fuyants ni patience. Soudain, chaque mot, chaque engagement, chaque tractation secrète, s’habille en compte à rebours collectif.

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