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Trump dégaine l’ultimatum : tarifs de guerre contre la Russie dans 10 jours, l’Amérique à bout de nerfs
Credit: Adobe Stock

Le compte à rebours a-t-il vraiment commencé ?

Le compte à rebours est lancé, brutal, inéluctable. Donald Trump, président aux gestes toujours plus féroces, proclame depuis l’Écosse le 29 juillet 2025 : la Russie n’a plus que dix jours pour céder ou l’Amérique lancera ses foudres tarifaires. Dix jours, ni plus ni moins, pour que le Kremlin mette fin à la guerre en Ukraine. Sinon, la sanction tombera. Dure, totale. Pluie noire d’une économie vouée à la strangulation, véritable mur de taxes et de mesures punitives. Et personne n’écoute le hurlement des marchés. Il n’est question que de lignes rouges, de calculs tranchants, de menaces qui s’empilent — devant la scène, des journalistes incrédules, derrière, des armées fantômes, des familles qui tremblent, du pétrole qui bout sous terre, et l’angoisse qui monte comme des vapeurs grises sur un monde asphyxié.

L’Ukraine, champ de ruines, enjeu planétaire

Dans les rues éventrées de Kyiv, ce sont des pleurs, des sirènes, la poussière blanche du chaos. La guerre dure depuis plus de trois ans. Les chiffres, durs, brutaux : des milliers de morts, des millions de déplacés. Le Président ukrainien acclame la « force par la fermeté », mais à quel prix. La poussière grise ne retombe jamais. L’Europe s’alarme mais renâcle, la Chine joue aux équilibristes sur le fil du commerce. L’Inde achète son pétrole. La Turquie se tait. On table, on négocie, on s’arrache les chiffres, mais la guerre repart chaque nuit en déflagrations impitoyables.

Trump, le coup de massue diplomatique

Le président américain serre le poing, l’ultimatum tord l’agenda des diplomates — parce que plus personne ne veut attendre. « Si je sais déjà la réponse, pourquoi attendre encore ? », lâche Trump aux journalistes. Lui qui se targuait, lors de sa réélection, d’être capable « d’arrêter la guerre en un jour », hausse le ton comme jamais. La patience est broyée, l’exaspération grimpe jusqu’à la nausée. Il ne s’agit plus d’ouvrir une table de négociation, il veut terrasser la Russie à coups de taxes — des tarifs douaniers « jusqu’à 100% » pour tous ceux qui persistent à faire affaire avec Moscou, menace-t-il. La planète retient son souffle dans le sillage de cette déclaration qui explose comme une météorite sur le ciel de la diplomatie mondiale.

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