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Colère présidentielle : Trump fulmine alors que ses alliés s’apprêtent à reconnaître l’État palestinien
Credit: Adobe Stock

Sous haute tension, l’Amérique gronde face à ses alliés historiques

Brusquement, la géopolitique mondiale s’est embrasée. L’annonce de plusieurs alliés majeurs des États-Unis — France, Royaume-Uni et surtout Canada — prêts à reconnaître un État palestinien, a jeté Washington dans une tempête de fureur. La diplomatie de Donald Trump, toujours prompte à transformer l’irritation en offensive, a franchi un nouveau cap. Cette fois, il ne s’agit plus de menaces voilées ni de simples rappels à l’ordre : il exige, tape du poing sur la table, dégaine le levier du commerce pour faire plier ses partenaires récalcitrants. Faire tomber l’unité occidentale sur la Palestine ? Un enjeu qui, subitement, devient vital pour l’identité même de l’axe atlantique.

Le choix risqué du Canada, catalyseur d’une crise inédite

C’est du nord que la secousse est venue. Ottawa sort de sa réserve, et le premier ministre Mark Carney annonce — contre toute prudence — que le Canada reconnaîtra la souveraineté palestinienne. Pour Trump, ce geste « frise la provocation ». Dans l’instant, le président américain brandit une double menace : négociations commerciales gelées, droits de douane sur les produits canadiens revus à la hausse. Le spectre d’un bras de fer économique plane, tendu à l’extrême, alors même que la région nord-américaine sort à peine d’une turbulence commerciale historique.

Paris et Londres emboîtent le pas : l’effet domino diplomatique

Paris, puis Londres, en appellent à une riposte internationale pour construire la paix sur les ruines de Gaza, arguant que reconnaître la Palestine est aujourd’hui un impératif moral face aux excès israéliens. Trump, de plus en plus amer, y voit un abandon de l’allié clé Israël, et même une « prime donnée à la violence ». Pourtant, la dissension s’enracine : pour les Européens, l’heure n’est plus à la neutralité passive, mais à l’action décisive – quitte à heurter les intérêts américains. Les nerfs lâchent, les canaux diplomatiques saturent, la fracture s’élargit.

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