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Trump défie Big Pharma : les prix des médicaments dans l’œil du cyclone
Credit: Adobe Stock

Des menaces inédites secouent l’industrie pharmaceutique mondiale

Dans un climat survolté, Donald Trump a frappé un grand coup : ordre brutal, quasi impératif, il somme les géants de la pharmacie de baisser sans délai les prix des médicaments. Sinon ? Il promet de s’acharner, d’écraser leurs marges sous le poids de représailles économiques titanesques. Jamais, depuis la Seconde Guerre mondiale, la planète n’a vu un tel clash entre politique et industrie. Les décorations dorées des couloirs de Wall Street vacillent : les investisseurs, d’habitude si confiants, s’agitent, oscillent entre peur, défiance, et un brin d’électrochoc salvateur. Trump, le bulldozer implacable, cible ouvertement la cherté des traitements, dont le coût phagocyte les économies domestiques, et veut “négocier comme personne”. Cette offensive, plus qu’une simple manœuvre électorale, s’inscrit dans une réalité : jamais les Américains n’ont déboursé autant pour se soigner.

Une onde de choc immédiate dans l’économie mondiale

Les places boursières plongent, le Nasdaq tremble, des noms mythiques comme Pfizer, Novartis, Sanofi perdent des milliards en quelques heures. Qui aurait anticipé cette déroute instantanée ? Les analystes s’emmêlent. Un vent froid, glaçant, parcourt les open spaces des groupes pharmaceutiques. La menace : non seulement faire chuter les prix US de 50 à 80%, mais aussi imposer de nouvelles surtaxes sur toutes les importations — jusqu’à 200% sur certains génériques. Un couperet, ou une délivrance pour ces millions qui peinent, chaque mois, à remplir leurs prescriptions faute d’argent ? Le grand bluff, ou l’aube d’une révolution sanitaire ?

Du chaos sous contrôle à l’appel à la mobilisation citoyenne

Car Trump ne s’arrête pas à des déclarations fracassantes. Il brandit déjà des décrets, ordonnant que les prix américains s’alignent sur les plus bas mondiaux. Il insinue que tout retard, toute résistance, sera puni. Dans la rue, la colère gronde contre des molécules vitales inaccessible, parfois 10 fois plus chères qu’en Europe. D’un revers, le président fragilise le modèle vieux d’un demi-siècle où la recherche pharmaceutique s’appuie sur des profits étasuniens colossaux. Maintenant, la bataille pour la santé devient un bras de fer géopolitique. Les laboratoires paniquent, le citoyen retient son souffle. Jusqu’où ira-t-on, qui cédera, et à quel prix ?

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