Aller au contenu
Dire non sans culpabilité : le coup de tonnerre qui révèle toute la vérité sur votre manière d’aimer
Credit: Say No white speech bubble isolated on blue background.

Il flotte dans l’air un parfum de culpabilité, douceâtre et poisseuse, sitôt qu’on ose articuler le mot interdit : non. Deux lettres, une rupture, parfois un raz-de-marée intérieur. Dire non n’est pas un acte anodin : c’est souvent la première scène d’un drame intime, le point de bascule là où s’affrontent l’envie d’être aimé et l’angoisse de décevoir. Derrière la difficulté à refuser, il y a bien plus que la simple crainte du conflit ou une vague question de politesse. Il y a, cachée sous la peur, une vision blessée – ou sur-adaptée – de l’amour. Pour certains, refuser devient une trahison, une marque d’égoïsme, le tremplin d’un rejet possible. Mais ce refus, ce “non” balbutié ou avalé, dit tout de notre manière d’aimer : trop, mal, en déséquilibre. Oser dire “non”, c’est rouvrir la question la plus intime : de qui, de quoi, pour qui – et pourquoi – donne-t-on ?

facebook icon twitter icon linkedin icon
Copié!
More Content