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Trump nomme Stephen Miran par intérim à la tête de la banque centrale des États-Unis : un choc pour l’économie mondiale
Credit: Adobe Stock

Dans un climat économique déjà incandescent, Donald Trump frappe une nouvelle fois un grand coup en annonçant la nomination par intérim de Stephen Miran à la présidence de la Réserve fédérale américaine, la banque centrale des États-Unis. Cette décision brutale, inattendue, détonne, brutalise. Miran, économiste de formation prestigieuse – diplômé d’Harvard – et ancien conseiller économique de Trump, est connu pour ses positions tranchées, son approche disruptive et sa critique virulente de la politique monétaire actuelle. Cette nomination n’est pas qu’un simple jeu de chaises musicales au sommet de la Fed. C’est un signal d’alerte majeur pour le système financier mondial, une secousse qui va résonner bien au-delà de Washington.

Aux commandes par intérim, Miran pourrait bien initier une rupture profonde dans la gestion de la politique monétaire américaine, avec des implications immédiates et futures pour la stabilité économique globale. Le monde observe, autant sidéré que préoccupé, ce tournant risqué, au moment même où les tensions économiques et géopolitiques sont à leur paroxysme. Rien n’est désormais plus sûr, plus prévisible.

Cette décision est à la fois un pari audacieux et une bombe à retardement. Trump ne choisit pas un technocrate classique, mais un stratège provocateur, un homme qui a déjà secoué le cadre institutionnel à travers ses idées ambitieuses sur la réforme des marchés et la lutte contre la suprématie du dollar. Stephen Miran prend la barre… Et la tempête s’annonce violente.

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