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Trump orchestre un « sommet de paix historique » entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan
Credit: Adobe Stock

L’air vibre encore des conséquences. Donald Trump, depuis le Bureau ovale, vient de lâcher un séisme politique : vendredi, Arménie et Azerbaïdjan, ennemis irréconciliés, signeront pour la première fois un accord de paix sous l’égide américaine. Il y a dans cette scène quelque chose de théâtral, de brutalement déterminé, un écho sauvage d’histoire qui claque — car derrière la poignée de main attendue à Washington, ce sont des décennies de sang, de larmes, d’exodes qui pourraient s’effondrer d’un bloc. Mais à quel prix, sur quelles concessions, avec quels acteurs vraiment gagnants ? Le sommet, habillé d’une rhétorique de « paix historique », s’impose en coup de tonnerre, alors que la région est encore hantée par la mémoire du Haut-Karabakh et les chocs du passé proche. L’urgence est palpable, l’effet domino menaçant, et toute la planète scrute ce rendez-vous où la paix vire au pari sur l’avenir du Caucase.

L’énergie nerveuse de cette annonce traverse frontières et consciences. Les plus grands du monde diplomatique s’agitent dans l’ombre. Des corridors s’ouvrent, littéralement, au sein de chaînes montagneuses verrouillées par la méfiance, poussés par les intérêts énergétiques et stratégiques de la puissance américaine. Ce vendredi soir, dans la lumière survoltée de la Maison-Blanche, trois dirigeants tenteront d’enterrer l’enfer. Rêve ou mirage ? La réponse commence ici, dans l’œil brûlant d’une tempête géopolitique.

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