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Intel secoué : le gouvernement exige une entrée au capital en échange des milliards de subventions
Credit: Adobe Stock

Dans l’univers feutré de la techno-industrie mondiale, une onde de choc résonne. Le géant américain Intel, jadis symbole d’innovation et de domination sur le marché des semi-conducteurs, se heurte à la volonté inflexible d’un État qui ne veut plus seulement octroyer des milliards de subventions, mais réclame aussi une part du gâteau, une entrée directe au capital. La manœuvre du gouvernement est sans précédent par son audace : transformer une aide destinée à stimuler la production de puces électroniques critiques en un levier de contrôle stratégique. Il ne s’agit plus simplement de soutenir une entreprise clé pour la souveraineté technologique, mais de lier son destin financier à celui de l’État, en dur, en clair, sans ambiguïté. Derrière les discours policés de soutien à l’industrie, se cache désormais une stratégie agressive de nationalisation partielle. L’information, confirmée par plusieurs sources industrielles, met à nu une nouvelle réalité : les règles du jeu changent radicalement. Pour Intel, cette condition est un séisme. Pour le marché, une alerte rouge. Pour les citoyens, c’est la preuve que la bataille des semi-conducteurs est devenue un champ de guerre économique mondial où l’argent public ne s’offre plus à fonds perdus, mais exige des parts solides, un droit de regard, un pouvoir de peser.

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