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Trump voulait la frontière et le mur noire : quand la couleur devient une arme psychologique
Credit: Adobe Stock

On croyait tout avoir entendu sur Donald Trump : le mur, les cages à migrants, les tweets hurlés en pleine nuit… Et pourtant, la vérité continue de grincer. Ce que révèlent aujourd’hui certains témoignages paraît presque trop grotesque pour être vrai : l’ancien président aurait demandé à ce que le mur et la frontière mexicaine soit peinte en noir. Pas un caprice esthétique, mais un calcul glacial. Car pour Trump, la couleur devient outil de domination, un réservoir de symbolique primitive. Il savait que le noir absorbe la chaleur, brûle les mains, décourage les escalades. Mais au-delà du fonctionnel, c’est l’imaginaire qu’il cherchait à tordre : transformer la frontière en une cicatrice d’ombre, brutale, intimidante, comme un clivage existentiel entre deux humanités.

La frontière n’était plus seulement un mur, elle devenait un théâtre de peur. Une mise en scène de puissance, un monument de rejet. L’Amérique, selon Trump, devait montrer ses crocs non seulement par le béton et l’acier, mais par une noirceur imposée, une teinte qui évoque la mort, l’aridité, l’impasse. Peindre le mur en noir n’était pas une lubie : c’était la cristallisation de sa vision du monde. Le mur devenait sa Bible de béton, son apocalypse chromatique.

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