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Zelensky et Kellogg frappent fort : intensifier la pression sur Moscou et rapatrier les enfants ukrainiens volés
Credit: Adobe Stock

Dans l’ombre des bombes et du vacarme des batailles, une conversation stratégique résonne avec une intensité particulière. Volodymyr Zelensky, le président ukrainien, et le général américain à la retraite Keith Kellogg, conseiller influent dans le cercle trumpien, ont discuté de la double nécessité cruciale : accentuer la pression sur la Russie et accélérer le retour des milliers d’enfants ukrainiens déportés par Moscou. Ces paroles ne sont pas neutres. Elles viennent charger une guerre déjà infernale d’une dimension encore plus atroce : le sort de l’innocence arrachée, kidnappée, instrumentalisée. Et dans cette équation, le calcul politique s’entrelace au drame humain. Car chaque enfant volé est une arme que le Kremlin retourne contre Kiev, une cicatrice nationale transformée en otage vivant.

Cette discussion n’est pas un simple dialogue diplomatique. C’est un signal stratégique : les États-Unis, ou du moins une part de leur machine politique, comprennent qu’il ne suffit pas de soutenir militairement l’Ukraine. Il faut aussi raviver le brasier politique autour du crime le plus insoutenable de la Russie : l’enlèvement systématique des enfants. Ce sujet, explosif, possède le potentiel unique de rallier des opinions divisées et de transformer la guerre d’Ukraine en cause universelle. Car au-delà des frontières, qui peut tolérer un tel crime ?

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