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L’Ukraine brutalise la Russie : 17% du raffinage russe anéanti, une hémorragie lente, sale et impossible à juguler
Credit: Adobe Stock

Le masque est tombé. La Russie, qui aimait se peindre comme une forteresse éternelle bardée de missiles et d’ogives hypersoniques, vient de recevoir une baffe historique dans son orgueil d’acier. L’Ukraine, par une série de frappes chirurgicales, a découpé son talon d’Achille : le raffinage pétrolier. Résultat ? Près de 17% de la capacité nationale réduite en cendres. C’est énorme, disproportionné, catastrophique. Ce n’est pas une simple perte industrielle, mais une hémorragie longue, brutale, impossible à contenir. Le Kremlin peut mentir, minimiser, censurer : le peuple voit la fumée, sent les flammes, et paie plus cher son essence. La vérité est là, crue, nue, indiscutable : la Russie saigne, et ce sang noir s’appelle pétrole.

Regardez bien : il ne s’agit plus d’une bataille lointaine dans le Donbass, mais d’une guerre nouvelle, subversive, qui frappe à la jugulaire économique de Moscou. Ce que l’Ukraine a réussi est impensable : attaquer non pas l’armée ou les villes, mais les poumons énergétiques d’un empire. Le dragon de feu que se croyait la Russie est en train de s’asphyxier dans ses propres flammes. Et cette lente agonie, Kiev la contrôle, méthodique, patiente, implacable. Une hémorragie noire et toxique que Moscou n’arrête pas, que Moscou ne peut pas arrêter. Voilà le vrai champ de bataille du futur : non pas les chars dans les tranchées, mais les flammes industrielles qui étouffent les empires de l’intérieur.

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