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Trump joue avec l’apocalypse : une menace grotesque qui réveille le spectre de la troisième guerre mondiale
Credit: Adobe Stock

Parfois, il suffit d’un mot. Pas d’un missile. Pas d’un char. Juste un mot jeté au chaos, un mot soufflé par une bouche habituée à faire trembler. Donald Trump, en s’engageant dans l’ultime provocation, a menacé de rebaptiser un département crucial du gouvernement américain. Oui, juste cela. En apparence, un détail administratif, une petite bravade de tribun. Mais cette phrase stupide a ouvert une faille titanesque : les alliés effrayés, les adversaires excités, les marchés paniqués. La peur, jamais loin, s’est ravivée — la peur sourde et primitive d’un conflit mondial. Une menace cosmétique ? Non. Une étincelle sous un baril de poudre géopolitique.

Le monde entier a retenu son souffle. Si même les symboles, si même les noms sacrés des institutions américaines peuvent être jetés à la poubelle au détour d’une phrase, alors tout peut vaciller. Car derrière l’acte absurde se cache une logique : celle du chaos volontaire. Trump n’est pas un président classique. Il ne bâtit pas. Il détruit. Et chaque phrase de ce type n’est pas une erreur, mais une arme. Car l’arme du 45e président, ce n’est pas seulement l’économie ou les armées. C’est sa capacité à déstabiliser par son souffle. Un souffle qui fait trembler le monde entier.

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