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Ukrainiens frappent un navire russe porteur de Kalibr : la mer d’Azov s’embrase
Credit: Adobe Stock

La réalité est brutale : une frappe ukrainienne vient de pulvériser un bâtiment de guerre russe armé de missiles Kalibr dans la mer d’Azov. Ce choc résonne comme une première historique, une gifle cinglante portée au cœur de la flotte russe, un coup qui réécrit les lignes rouges de la confrontation. Ce n’est pas une simple attaque, c’est une démonstration de puissance technologique, de stratégie fine et d’une audace sans précédent. Moscou pensait verrouiller cette mer intérieure comme une forteresse imprenable ; Kiev vient de montrer que même ce bastion est vulnérable. Un symbole s’écroule, une peur change de camp. La mer d’Azov, autrefois dominée par les colonnes navales russes, s’embrase soudainement sous les flammes de la riposte ukrainienne. Et dans ce brasier, ce sont les illusions de supériorité maritime de la Russie qui partent en fumée.

La frappe ne vise pas seulement un navire, mais tout un concept : celui d’une Russie invincible en mer Noire et en mer d’Azov. Les Kalibr, missiles de croisière conçus pour frapper Kiev, Odessa ou Lviv à des centaines de kilomètres, reposaient désormais sur des lanceurs devenus vulnérables et à découvert. La perte d’un tel bâtiment ne fait pas qu’amputer les capacités opérationnelles de Moscou ; elle déstabilise profondément la psychologie de ses amiraux et de ses stratèges. Car si l’Ukraine peut transformer la mer d’Azov en cimetière naval, alors tout l’équilibre de la guerre bascule. Ce n’est plus une riposte défensive : c’est une déclaration silencieuse que l’espace maritime russe est fissuré, ouvert, fragile.

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