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Xi et Poutine gifflent l’Amérique et déclenchent une guerre économique totale contre l’Occident devant 20 dictateurs réunis
Credit: Adobe Stock

ianjin se transforme en quartier général de la résistance planétaire

Dans les rues fermées de Tianjin, une révolution géopolitique vient d’exploser à la face du monde occidental. Ce lundi 1er septembre 2025, plus de 20 dirigeants non-occidentaux se sont rassemblés pour porter un coup fatal à l’hégémonie américaine. Xi Jinping et Vladimir Poutine, main dans la main, ont orchestré la plus violente attaque diplomatique jamais menée contre les États-Unis et leurs alliés. Cette assemblée du Shanghai Cooperation Organisation (SCO) n’est plus un simple sommet régional : c’est devenu le tribunal populaire mondial qui condamne définitivement la domination occidentale.

L’atmosphère était électrique dans cette ville portuaire chinoise, jadis symbole des humiliations imposées à l’Empire du Milieu par les puissances coloniales. Aujourd’hui, Tianjin devient l’épicentre de la revanche historique de l’Asie contre ses anciens maîtres. Narendra Modi, Alexander Lukashenko, Masoud Pezeshkian, Recep Tayyip Erdoğan : une coalition de géants régionaux déterminés à en finir avec un système international qu’ils jugent obsolète et injuste. Cette convergence de volontés anti-occidentales marque un point de non-retour dans la recomposition de l’ordre mondial.

Xi Jinping lance sa déclaration de guerre idéologique

« Nous devons fermement nous opposer à l’hégémonisme et à la politique de force », a déclaré Xi Jinping avec une détermination glaciale qui a fait frémir les chancelleries occidentales. Le président chinois n’y va plus par quatre chemins : il dénonce ouvertement les « pratiques d’intimidation » américaines et appelle à rejeter la « mentalité de Guerre froide » de Washington. Cette attaque frontale contre l’administration Trump révèle l’ampleur de la fracture qui se creuse entre l’Orient et l’Occident.

Mais Xi va encore plus loin en proposant une alternative concrète au système occidental. « Les règles de quelques pays ne doivent pas être imposées aux autres », martèle-t-il devant une assemblée conquise. Cette phrase, apparemment anodine, constitue en réalité une déclaration de guerre totale contre l’ordre juridique international dominé par les États-Unis depuis 1945. Beijing ne se contente plus de critiquer : elle propose un modèle alternatif de gouvernance mondiale « plus juste et équitable ».

Poutine enfonce le clou avec une brutalité inouïe

Vladimir Poutine n’a pas laissé passer l’occasion d’asséner ses vérités les plus brutales à l’Occident honni. « Cette crise n’a pas été déclenchée par l’attaque russe contre l’Ukraine, mais résulte d’un coup d’État en Ukraine, soutenu et provoqué par l’Occident », lance-t-il sans sourciller. Cette rééécriture de l’Histoire, prononcée devant les caméras du monde entier, témoigne de l’arrogance décomplexée du maître du Kremlin face à ses accusateurs occidentaux.

Le président russe poursuit son offensive idéologique en dénonçant « les tentatives constantes de l’Occident d’attirer l’Ukraine dans l’OTAN ». Cette accusation, maintes fois répétée par Moscou, prend une dimension nouvelle quand elle est proférée devant une assemblée de dirigeants représentant près de la moitié de l’humanité. Poutine transforme ainsi sa guerre d’agression en guerre de légitime défense contre l’expansionnisme occidental.

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