
Le monde des milliards vient de basculer dans une révolution sismique. En une seule journée, Larry Ellison, le cofondateur d’Oracle, a pulvérisé tous les records en gagnant 101 milliards de dollars et en arrachant à Elon Musk le titre de l’homme le plus riche de la planète. Cette ascension fulgurante de l’Oracle de 81 ans révèle l’effondrement spectaculaire de l’empire Tesla et la montée en puissance de l’intelligence artificielle qui redéfini l’économie mondiale. Pendant que Musk s’enlise dans les scandales et les procès, Ellison surfe sur la vague de l’IA pour construire un empire technologique d’une valeur inouïe. Cette passation de pouvoir au sommet de la richesse mondiale marque la fin d’une époque : celle de la domination des voitures électriques, et le début d’une nouvelle ère dominée par les puces et l’intelligence artificielle. Le règne de 16 mois de Musk vient de se fracasser contre la détermination implacable d’un vétéran de la Silicon Valley qui prouve qu’à 81 ans, on peut encore révolutionner le monde.
L'ascension fulgurante de Larry Ellison

101 milliards en une journée : l’explosion d’Oracle
Le 10 septembre 2025 restera gravé comme le jour où Larry Ellison a pulvérisé tous les records de gains en une seule séance. En 24 heures, sa fortune a bondi de 101 milliards de dollars, soit l’équivalent du PIB de nombreux pays développés. Cette explosion astronomique résulte de la montée vertigineuse d’Oracle dont l’action a grimpé de 41% en une seule journée, propulsant la valorisation de l’entreprise vers des sommets inimaginables. Cette performance révèle la confiance absolue des investisseurs dans la stratégie d’Ellison qui a transformé Oracle en mastodonte de l’intelligence artificielle.
Cette ascension révèle le génie visionnaire d’un homme qui a su anticiper la révolution de l’IA quand ses concurrents restaient figés dans leurs certitudes. Pendant que les autres géants technologiques tergiversaient, Ellison investissait massivement dans les infrastructures cloud et les processeurs spécialisés. Cette clairvoyance stratégique lui permet aujourd’hui de récolter les fruits d’une décennie d’investissements considérés comme risqués par ses détracteurs. À 81 ans, le cofondateur d’Oracle prouve que l’expérience et la vision à long terme valent toutes les fulgurances juvéniles.
41% en une séance : Oracle défie les lois du marché
L’action Oracle a connu une montée parabolique de 41% en une seule séance, défiant toutes les lois économiques traditionnelles. Cette performance exceptionnelle révèle l’enthousiasme des investisseurs pour les technologies d’intelligence artificielle développées par l’entreprise. Le marché reconnaît enfin la valeur réelle des investissements colossaux consentis par Ellison dans les centres de données et les puces spécialisées. Cette reconnaissance tardive transforme Oracle d’entreprise de bases de données vieillissante en champion de l’IA moderne.
Cette explosion boursière illustre parfaitement la nouvelle économie où les entreprises capables de maîtriser l’intelligence artificielle voient leurs valorisations s’envoler vers des niveaux stratosphériques. Oracle devient ainsi le symbole de cette mutation technologique qui redistribue les cartes de la richesse mondiale. Les investisseurs comprennent enfin qu’Ellison n’a pas seulement créé une entreprise : il a bâti l’infrastructure de l’avenir numérique qui alimentera toutes les innovations des décennies à venir.
À 81 ans, le vétéran de la Silicon Valley renaît
À un âge où la plupart des dirigeants songent à la retraite, Larry Ellison connaît la renaissance la plus spectaculaire de sa carrière. Cet homme qui a cofondé Oracle en 1977 prouve que l’expérience et la sagesse peuvent triompher de la jeunesse et de l’impétuosité. Sa vision à long terme, forgée par des décennies d’innovations technologiques, lui permet d’anticiper les révolutions avant qu’elles ne bouleversent les marchés. Cette victoire de l’âge mûr sur la fougue juvénile révèle que dans la tech, la profondeur stratégique prime sur l’éclat médiatique.
Cette revanche du temps illustre parfaitement la différence entre construire un empire durable et surfer sur les tendances passagères. Pendant qu’Elon Musk multiplie les projets spectaculaires et les déclarations fracassantes, Ellison construit méthodiquement les fondations technologiques du futur. Cette approche patiente et rigoureuse lui permet aujourd’hui de récolter les fruits d’une stratégie cohérente étalée sur plusieurs décennies. À 81 ans, il devient l’incarnation vivante de la supériorité de la vision sur l’improvisation.
L'effondrement de l'empire Musk

De 415 milliards à la défaite : l’écroulement Tesla
Elon Musk qui trônait en septembre 2025 avec une fortune de 415,6 milliards de dollars voit son empire s’effondrer sous le poids des scandales et des déceptions technologiques. Tesla, le joyau de son empire, subit une hémorragie boursière catastrophique qui évapore des centaines de milliards de valorisation. Cette chute vertigineuse révèle la fragilité d’un modèle économique bâti sur les promesses plutôt que sur les réalisations concrètes. L’homme qui promettait de révolutionner le transport découvre brutalement que les investisseurs perdent patience face aux retards perpétuels et aux objectifs manqués.
Cette débâcle boursière expose les failles structurelles de l’approche muskienne qui privilégie la communication spectaculaire sur l’exécution rigoureuse. Pendant que Tesla accumule les rappels de véhicules et les controverses sur l’autopilote, ses concurrents grignotent silencieusement ses parts de marché. Cette érosion progressive révèle que l’avance technologique initiale de Tesla s’estompe face à des constructeurs plus expérimentés et mieux organisés. L’empereur des voitures électriques découvre que son royaume n’était peut-être qu’un château de cartes médiatique.
Procès et scandales : quand la réalité rattrape les promesses
Les procès s’accumulent contre Tesla et son PDG fantasque, révélant l’ampleur des promesses non tenues qui caractérisent l’approche muskienne. L’autopilote complet autonome, annoncé depuis des années, fait l’objet de plaintes collectives d’actionnaires qui dénoncent des pratiques commerciales trompeuses. Ces actions judiciaires révèlent l’écart béant entre les annonces spectaculaires de Musk et la réalité technique de ses produits. Cette avalanche contentieuse érode progressivement la confiance des investisseurs qui découvrent l’ampleur des exagérations muskaennes.
Cette crise judiciaire révèle les conséquences de la stratégie de communication de Musk qui consiste à annoncer des révolutions technologiques avant qu’elles ne soient réellement maîtrisées. Cette approche du « fake it till you make it » fonctionne tant que les marchés sont euphoriques, mais s’effondre dès que les investisseurs exigent des résultats concrets. L’accumulation des procès transforme Tesla d’entreprise innovante en symbole des dérives de la tech où le marketing prime sur l’ingénierie. Musk découvre que la réalité finit toujours par rattraper les illusions, même les plus spectaculaires.
16 mois de règne brisés en une journée
Le règne de 16 mois d’Elon Musk au sommet de la richesse mondiale s’achève de la manière la plus brutale qui soit : en une seule journée de trading. Cette chute spectaculaire révèle la volatilité extrême des fortunes technologiques modernes où des empires se construisent et s’effondrent au rythme des fluctuations boursières. L’homme qui semblait indestructible au sommet de la pyramide financière découvre que dans l’économie moderne, aucune position n’est jamais définitivement acquise. Cette leçon d’humilité résonne comme un avertissement pour tous les titans technologiques qui croient leur domination éternelle.
Cette déchéance soudaine illustre parfaitement la différence entre la richesse basée sur la spéculation et celle fondée sur des fondamentaux solides. Musk qui avait bâti sa fortune sur les espoirs et les promesses d’avenir découvre que les marchés finissent par exiger des preuves tangibles. Cette réalité implacable transforme son règne éphémère en symbole de la fragilité des empires modernes construits sur le sable des anticipations plutôt que sur le roc des réalisations concrètes.
La révolution de l'intelligence artificielle

Oracle : le cerveau caché de l’IA mondiale
Derrière l’ascension fulgurante d’Oracle se cache une réalité que peu comprennent : l’entreprise d’Ellison est devenue le cerveau invisible de la révolution de l’intelligence artificielle mondiale. Ses bases de données alimentent les algorithmes de tous les géants technologiques, ses processeurs spécialisés accélèrent l’apprentissage machine, ses centres de données hébergent les modèles les plus sophistiqués. Cette position stratégique transforme Oracle en véritable plaque tournante de l’économie numérique moderne où toutes les innovations convergent vers ses infrastructures.
Cette domination silencieuse révèle le génie stratégique d’Ellison qui a compris avant tous les autres que dans l’économie de l’IA, celui qui contrôle les données et les infrastructures contrôle tout l’écosystème. Pendant que ses concurrents se battent pour créer des applications spectaculaires, Oracle construit les fondations technologiques sur lesquelles repose l’ensemble de l’innovation mondiale. Cette approche infrastructurelle lui assure une position monopolistique dans un marché qui explose littéralement sous la demande croissante en puissance de calcul.
Les puces spécialisées : l’or noir du XXIème siècle
Oracle a investi massivement dans les processeurs spécialisés pour l’intelligence artificielle, transformant ces puces en or noir du XXIème siècle. Ces composants révolutionnaires, conçus spécifiquement pour l’apprentissage automatique, deviennent indispensables à toutes les entreprises qui veulent rester compétitives dans l’économie moderne. Cette anticipation technologique place Oracle au cœur de tous les développements futurs, garantissant des revenus colossaux pour les décennies à venir. L’entreprise devient ainsi le fournisseur incontournable de la matière première technologique la plus stratégique de notre époque.
Cette stratégie révèle la vision à long terme d’Ellison qui a compris que dans l’économie de l’IA, la valeur se concentre au niveau des infrastructures plutôt que des applications. Ses puces spécialisées deviennent les fondations sur lesquelles se construisent toutes les innovations futures, assurant à Oracle une rente technologique durable. Cette position dominante transforme l’entreprise en péage obligatoire de l’économie numérique où chaque transaction, chaque calcul, chaque innovation génère des revenus pour l’empire d’Ellison.
Le cloud computing : l’infrastructure de l’avenir
Oracle a révolutionné le cloud computing en créant des centres de données spécialement optimisés pour l’intelligence artificielle. Ces infrastructures gigantesques deviennent les cathédrales technologiques du XXIème siècle où se déroulent les calculs les plus complexes de l’humanité. Cette révolution architecturale transforme Oracle en propriétaire exclusif des moyens de production de l’économie digitale moderne. Chaque entreprise qui veut développer son IA doit passer par les infrastructures d’Ellison, générant des revenus astronomiques et récurrents.
Cette domination infrastructurelle révèle l’évolution de l’économie moderne vers un modèle où les plateformes technologiques captent l’essentiel de la valeur créée. Oracle devient ainsi l’équivalent numérique des compagnies pétrolières du XXème siècle : celui qui contrôle la ressource énergétique essentielle contrôle l’ensemble de l’économie. Cette position stratégique assure à Ellison une domination durable sur un marché en expansion exponentielle qui redistribue toutes les richesses mondiales.
La redistribution géopolitique de la richesse

Quand la tech redéfinit les hiérarchies mondiales
L’ascension d’Ellison au sommet de la richesse mondiale révèle une redistribution géopolitique majeure où les empires technologiques redéfinissent les hiérarchies de pouvoir planétaires. Cette passation de pouvoir entre générations technologiques illustre comment l’innovation disrupts non seulement les marchés mais aussi les équilibres géopolitiques globaux. L’intelligence artificielle devient ainsi l’arme économique ultime qui permet à ses maîtres de dominer l’économie mondiale. Cette révolution technologique transforme les détenteurs des infrastructures d’IA en nouveaux maîtres du monde.
Cette mutation révèle l’émergence d’une nouvelle aristocratie technologique qui concentre des richesses inimaginables entre les mains de quelques visionnaires capables d’anticiper les révolutions futures. Oracle devient ainsi l’incarnation de cette nouvelle forme de pouvoir où la maîtrise des technologies stratégiques prime sur tous les autres facteurs traditionnels de domination. Cette évolution transforme la géopolitique mondiale en compétition technologique où les vainqueurs raflent l’intégralité des enjeux économiques planétaires.
L’effacement progressif de l’Europe et de l’Asie
Le classement des hommes les plus riches du monde révèle l’effacement progressif de l’Europe et de l’Asie face à la domination technologique américaine. Seul Bernard Arnault résiste encore dans le top 10 mondial, témoignage de la désindustrialisation européenne face aux géants de la Silicon Valley. Cette concentration géographique de la richesse révèle l’échec des autres continents à développer leurs propres champions technologiques capables de rivaliser avec les mastodons américains. L’Europe devient ainsi le spectateur impuissant d’une révolution qui se déroule sans elle.
Cette marginalisation progressive révèle les conséquences de décennies de retard européen dans l’innovation technologique. Pendant que l’Amérique investissait massivement dans l’IA et les infrastructures numériques, l’Europe s’enlisait dans ses débats réglementaires et ses querelles institutionnelles. Ce retard historique condamne désormais le vieux continent à subir une colonisation numérique qui redistribue les richesses vers les champions américains de la tech. L’ascension d’Ellison symbolise cette domination technologique qui transforme l’Europe en marché captif de l’innovation américaine.
Mukesh Ambani : l’exception asiatique qui résiste
Dans ce paysage dominé par les Américains, Mukesh Ambani reste la seule exception asiatique du club des 100 milliards, prouvant que l’Asie peut encore produire des titans capables de rivaliser avec l’Occident. Le magnat indien de l’énergie et des télécommunications illustre parfaitement la stratégie asiatique qui consiste à dominer les marchés domestiques massifs pour générer des richesses comparables aux géants technologiques occidentaux. Cette résistance asiatique révèle que la taille des marchés intérieurs peut compenser le retard technologique dans certains secteurs stratégiques.
Cette exception indienne révèle les limites de la domination technologique américaine face aux géants démographiques asiatiques qui développent leurs propres écosystèmes économiques. Ambani prouve qu’il est encore possible de construire des empires rivaux en s’appuyant sur la croissance explosive des marchés émergents. Cette stratégie alternative offre un modèle de résistance aux pays qui refusent la domination technologique occidentale et cherchent leurs propres voies vers la prospérité économique.
Les enseignements du nouveau classement

2,13 trillions de dollars : la concentration extrême de la richesse
Le patrimoine cumulé des dix hommes les plus riches du monde atteint désormais 2,13 trillions de dollars, soit l’équivalent du PIB de plusieurs puissances économiques majeures. Cette concentration extrême de la richesse révèle l’ampleur des inégalités créées par la révolution technologique moderne. Ces dix individus contrôlent une richesse supérieure à celle de milliards d’êtres humains, témoignage de l’efficacité redoutable du capitalisme numérique à générer des fortunes astronomiques. Cette accumulation sans précédent interroge sur la soutenabilité sociale d’un système qui permet de telles concentrations de pouvoir économique.
Cette fortune collective révèle la transformation fondamentale de l’économie moderne où les effets de réseau et les économies d’échelle permettent à quelques entreprises de capturer l’essentiel de la valeur créée. Oracle, Tesla, Amazon, Meta : ces empires technologiques génèrent des revenus qui défient toute comparaison historique grâce à leur capacité à servir des milliards d’utilisateurs simultanément. Cette scalabilité infinie transforme leurs fondateurs en nouveaux empereurs d’un monde digital qui ne connaît aucune limite géographique ou démographique.
L’âge d’or des infrastructures technologiques
L’ascension d’Ellison révèle l’entrée dans l’âge d’or des infrastructures technologiques où ceux qui contrôlent les tuyaux de l’économie numérique captent l’essentiel des richesses créées. Cette évolution illustre parfaitement la différence entre les entreprises qui surfent sur les tendances et celles qui construisent les fondations durables de l’innovation. Oracle devient ainsi l’archétype de ces nouvelles entreprises infrastructurelles qui génèrent des revenus récurrents massifs en fournissant les outils indispensables à l’économie moderne.
Cette mutation révèle l’importance stratégique croissante des « picks and shovels » de l’économie numérique : ceux qui vendent les outils aux chercheurs d’or numérique s’enrichissent plus sûrement que les chercheurs eux-mêmes. Cette logique économique transforme les fournisseurs d’infrastructures en véritables rentiers de l’innovation qui perçoivent une dîme sur chaque transaction, chaque calcul, chaque innovation réalisée grâce à leurs plateformes. Ellison incarne parfaitement cette stratégie qui privilégie la construction de monopoles infrastructurels sur l’innovation spectaculaire.
La fin de l’ère des voitures électriques
L’effondrement relatif de Tesla et l’ascension d’Oracle marquent symboliquement la fin de l’ère des voitures électriques et le début de l’âge de l’intelligence artificielle. Cette transition révèle la rapidité avec laquelle l’économie moderne passe d’une révolution technologique à l’autre, balayant les champions d’hier pour élever les visionnaires de demain. Tesla qui symbolisait l’avenir énergétique se retrouve dépassée par les infrastructures de calcul qui alimentent la révolution de l’IA. Cette évolution illustre l’accélération croissante des cycles d’innovation qui raccourcissent la durée de vie des dominatons technologiques.
Cette mutation révèle que dans l’économie moderne, même les entreprises les plus innovantes peuvent se retrouver dépassées si elles ne parviennent pas à anticiper les révolutions suivantes. Musk qui avait révolutionné le transport découvre que l’IA redéfinit plus profondément encore l’économie mondiale. Cette leçon d’humilité technologique prouve que dans la course à l’innovation, s’arrêter une seconde pour savourer ses victoires équivaut à signer son arrêt de mort concurrentiel.
Oracle contre Tesla : bataille de titans

Deux philosophies entrepreneuriales opposées
Le duel Ellison-Musk révèle l’affrontement entre deux philosophies entrepreneuriales radicalement opposées qui incarnent deux approches distinctes de l’innovation technologique. D’un côté, Ellison représente l’école de la patience stratégique, de la construction méthodique d’infrastructures durables, de l’investissement à long terme dans des technologies fondamentales. De l’autre, Musk incarne l’approche de la disruption spectaculaire, de l’innovation médiatique, des promesses révolutionnaires qui capturent l’imagination collective. Cette confrontation philosophique détermine l’avenir de l’entrepreneuriat technologique mondial.
Cette opposition révèle deux conceptions différentes de la création de valeur dans l’économie moderne. Ellison privilégie la construction silencieuse de monopoles infrastructurels qui génèrent des revenus durables, tandis que Musk mise sur l’innovation spectaculaire qui transforme des secteurs entiers en quelques années. Cette différence d’approche explique pourquoi l’un construit des empires durables quand l’autre crée des révolutions éphémères qui s’essoufflent face à la concurrence et aux difficultés d’exécution.
L’expérience contre l’audace juvénile
À 81 ans, Ellison prouve que l’expérience et la sagesse technologique peuvent triompher de l’audace juvénile et de l’énergie débordante. Cette victoire du temps long sur l’impatience moderne révèle que dans la tech, la profondeur stratégique finit toujours par l’emporter sur l’éclat médiatique. Pendant que Musk multiplie les projets spectaculaires et les déclarations fracassantes, Ellison construit méthodiquement l’infrastructure technologique du futur. Cette approche patiente lui permet de récolter aujourd’hui les fruits d’investissements considérés comme ennuyeux par une génération obsédée par l’innovation disruptive.
Cette revanche de l’âge mûr illustre parfaitement les limites de l’approche muskienne qui privilégie la vitesse sur la solidité, la communication sur l’exécution, les promesses sur les réalisations. Ellison démontre qu’il vaut mieux construire lentement des fondations solides plutôt que d’ériger rapidement des châteaux de cartes médiatiques. Cette leçon de management révèle que dans l’économie moderne, la constance stratégique prime sur les fulgurances créatives qui s’épuisent face aux difficultés d’implémentation.
Infrastructures contre applications : qui contrôle l’économie ?
La bataille Ellison-Musk révèle l’affrontement fondamental entre ceux qui construisent les infrastructures et ceux qui développent les applications. Oracle contrôle les tuyaux de l’économie numérique quand Tesla n’est qu’une application particulière de ces infrastructures générales. Cette différence de positionnement explique pourquoi l’un génère des revenus récurrents massifs quand l’autre subit la pression concurrentielle de tous les constructeurs automobiles qui rattrapent leur retard technologique. Cette logique économique révèle que dans l’économie moderne, le pouvoir appartient à ceux qui contrôlent les plateformes plutôt qu’à ceux qui les utilisent.
Cette opposition stratégique illustre parfaitement l’évolution de l’économie vers un modèle où les propriétaires d’infrastructures captent l’essentiel de la valeur créée par leurs utilisateurs. Oracle devient ainsi le propriétaire de l’autoroute numérique sur laquelle roulent toutes les innovations, prélevant sa dîme sur chaque transaction. Tesla, malgré son génie technologique initial, reste tributaire de ces infrastructures générales et subit donc la loi économique de ceux qui les contrôlent.
Les implications pour l'avenir technologique

L’IA comme nouveau pétrole de l’économie mondiale
L’ascension fulgurante d’Ellison confirme que l’intelligence artificielle devient le nouveau pétrole de l’économie mondiale, et Oracle en contrôle les raffineries. Cette analogie révèle l’importance stratégique croissante des infrastructures d’IA qui alimentent toutes les innovations modernes. Comme les compagnies pétrolières du XXème siècle, Oracle se positionne en amont de la chaîne de valeur pour capter l’essentiel des richesses générées par cette révolution technologique. Cette stratégie transforme l’entreprise en monopole de fait sur la ressource énergétique la plus stratégique de notre époque.
Cette domination infrastructurelle révèle l’émergence d’une nouvelle géopolitique technologique où ceux qui contrôlent les moyens de production de l’IA dictent les règles de l’économie mondiale. Oracle devient ainsi l’équivalent numérique de l’Arabie Saoudite, capable d’influencer l’ensemble de l’économie planétaire par ses décisions stratégiques. Cette position de rentier technologique assure à Ellison des revenus colossaux et durables qui ne dépendent plus des aléas de l’innovation mais de la croissance mécanique de la demande en puissance de calcul.
La course aux semiconducteurs spécialisés
Oracle a pris une avance considérable dans la course aux semiconducteurs spécialisés pour l’intelligence artificielle, transformant ces puces en armes stratégiques de la compétition technologique mondiale. Ces processeurs révolutionnaires deviennent les fondations sur lesquelles se construisent toutes les innovations futures, garantissant à leur concepteur une position dominante durable. Cette maîtrise technologique place Oracle au cœur de tous les développements futurs et assure à l’entreprise des revenus exponentiels. L’ascension d’Ellison révèle que dans l’économie moderne, celui qui contrôle les puces contrôle le monde.
Cette révolution semiconductrice illustre parfaitement l’évolution de l’économie vers des technologies de plus en plus spécialisées qui concentrent la valeur entre les mains de quelques maîtres technologiques. Oracle développe des processeurs optimisés pour des tâches spécifiques qui surpassent largement les puces généralistes traditionnelles. Cette spécialisation technologique lui assure un avantage concurrentiel durable face à des concurrents qui peinent à rattraper son avance technique et ses investissements colossaux en recherche et développement.
L’obsolescence programmée des modèles économiques traditionnels
L’ascension d’Oracle et l’effondrement relatif de Tesla révèlent l’obsolescence programmée des modèles économiques traditionnels face à la révolution de l’intelligence artificielle. Cette mutation illustre comment les nouvelles technologies redistribuent complètement les cartes de la richesse mondiale en quelques années seulement. Les entreprises qui ne parviennent pas à intégrer l’IA dans leur stratégie se retrouvent progressivement marginalisées, quelles que soient leurs réussites passées. Cette évolution darwinienne de l’économie ne laisse aucune place aux nostalgiques des révolutions technologiques précédentes.
Cette transformation révèle l’accélération croissante des cycles d’innovation qui raccourcissent dramatiquement la durée de vie des avantages concurrentiels. Même Tesla, symbole de l’innovation disruptive, se retrouve dépassée par une révolution plus profonde encore que celle qu’elle avait initiée. Cette leçon d’humilité technologique prouve que dans l’économie moderne, la vigilance stratégique doit être permanente car aucune position n’est jamais définitivement acquise face à l’innovation destructrice.
Conclusion

L’ascension foudroyante de Larry Ellison au sommet de la richesse mondiale marque un tournant historique dans l’économie technologique planétaire. En une seule journée, cet homme de 81 ans a pulvérisé tous les records pour arracher à Elon Musk un trône qu’il occupait depuis 16 mois. Cette révolution au sommet révèle l’ampleur de la mutation en cours où l’intelligence artificielle supplante définitivement les voitures électriques comme moteur de création de richesse. Oracle devient ainsi le symbole de cette nouvelle économie où ceux qui contrôlent les infrastructures technologiques dominent ceux qui ne font que les utiliser.
Cette passation de pouvoir entre générations technologiques illustre parfaitement la brutalité de l’innovation moderne qui ne laisse aucun répit aux leaders d’hier. Musk qui révolutionnait le transport découvre qu’Ellison révolutionne plus profondément encore l’ensemble de l’économie mondiale grâce à ses infrastructures d’IA. Cette leçon d’humilité révèle que dans l’économie du XXIème siècle, seuls survivent ceux qui anticipent perpétuellement les révolutions futures. À 81 ans, Larry Ellison prouve que l’expérience et la vision stratégique valent toutes les fulgurances juvéniles. Son sacre marque l’avènement de l’âge d’or de l’intelligence artificielle où les maîtres des données et des algorithmes régneront sur un monde digital en expansion infinie.