Trump président avec 34 condamnations : l’Amérique sombre dans un chaos constitutionnel inédit
Auteur: Maxime Marquette
Un criminel condamné à la Maison Blanche
Le 10 janvier 2025, l’Amérique a franchi un seuil historique d’une gravité constitutionnelle inouïe lorsque Donald Trump a été condamné pour ses 34 chefs d’accusation criminels, quelques jours seulement avant de reprendre ses fonctions présidentielles. Cette condamnation, bien qu’épargnant à Trump la prison grâce à un « unconditional discharge », transforme à jamais la nature de la présidence américaine et plonge la nation dans un territoire constitutionnel inexploré où un criminel reconnu coupable dirigera la première puissance mondiale. Cette situation sans précédent révèle l’effondrement moral et institutionnel d’une démocratie jadis exemplaire.
Cette condamnation pour falsification de documents commerciaux liés aux paiements de 130 000 dollars à Stormy Daniels constitue un séisme politique d’une ampleur cataclysmique qui questionne la légitimité même du système démocratique américain. Jamais dans l’histoire de la République, un président n’avait accédé au pouvoir avec un casier judiciaire, transformant la Maison Blanche en résidence surveillée morale pour un délinquant en col blanc. Cette dégradation institutionnelle révèle l’ampleur de la crise démocratique qui ronge l’Amérique de l’intérieur et menace l’équilibre des pouvoirs établi par les Pères fondateurs.
La justice américaine humiliée par le système
Le juge Juan Merchan, contraint de prononcer cette sentence symbolique face à un accusé devenu intouchable par sa fonction présidentielle, a incarné la capitulation pathétique d’un système judiciaire américain révélant son impuissance face au pouvoir politique suprême. Cette mascarade judiciaire, où la justice plie devant l’opportunisme électoral, démontre l’érosion complète de l’État de droit américain et transforme les tribunaux en théâtres d’une comédie constitutionnelle grotesque. Cette abdication judiciaire révèle que l’Amérique a abandonné ses principes fondateurs pour sombrer dans un népotisme institutionnel digne des républiques bananières.
Cette sentence vide de substance – aucune prison, aucune amende – constitue un camouflet historique pour un système judiciaire qui prétendait démontrer que personne n’est au-dessus des lois américaines, révélant au contraire que le pouvoir présidentiel confère une immunité de fait même face aux condamnations criminelles. Cette immunité présidentielle informelle mais réelle transforme la fonction suprême en licence de criminalité légalisée et établit un précédent constitutionnel terrifiant pour l’avenir démocratique américain. Cette perversion institutionnelle révèle que l’Amérique de 2025 a renoncé à ses idéaux juridiques fondamentaux.
L’effondrement moral de la fonction présidentielle
Cette situation inédite transforme la présidence américaine en symbole de décadence constitutionnelle où la plus haute fonction de l’État est occupée par un criminel reconnu coupable, dégradant définitivement l’aura morale et l’autorité internationale de cette institution vénérable. Cette souillure institutionnelle révèle l’acceptation collective d’une corruption normalisée qui aurait été impensable dans l’Amérique des générations précédentes. Cette banalisation du crime en politique marque l’entrée définitive des États-Unis dans l’ère post-démocratique où la morale cède devant l’efficacité électorale.
Cette dégradation s’accompagne d’une désacralisation complète de la fonction présidentielle qui perd sa dimension symbolique pour devenir un simple poste administratif accessible aux délinquants pourvu qu’ils disposent du soutien populaire nécessaire. Cette trivialisation révèle la transformation de la démocratie américaine en démagogie pure où les considérations morales disparaissent devant les calculs électoraux. Cette mutation constitutionnelle annonce peut-être la fin de l’exceptionnalisme américain et l’avènement d’une République corrompue à l’image de ses dirigeants.
Les 34 chefs d'accusation qui ternissent l'Amérique

Une falsification systématique révélée
Les 34 chefs d’accusation pour falsification de documents commerciaux révèlent une criminalité organisée au plus haut niveau de l’État américain, transformant l’élection présidentielle de 2016 en fraude électorale systémique dissimulée par des manipulations comptables sophistiquées. Cette architecture criminelle, méthodiquement construite pour cacher les paiements de 420 000 dollars destinés à acheter le silence de Stormy Daniels, démontre une préméditation et une organisation qui dépassent largement le cadre d’une simple irrégularité administrative. Cette criminalité en col blanc révèle l’ampleur de la corruption qui gangrène les plus hautes sphères du pouvoir américain.
Cette falsification systématique s’étend sur toute l’année 2017 avec des paiements mensuels camouflés en frais juridiques fictifs, révélant une machination criminelle d’une sophistication qui témoigne de l’habitude de Trump dans ce type d’opérations illégales. Cette régularité dans la criminalité révèle un mode opératoire rodé qui suggère que les 34 chefs d’accusation ne représentent que la partie émergée de l’iceberg criminel Trump. Cette systématisation du crime révèle un délinquant récidiviste qui a transformé l’illégalité en méthode de gouvernement.
L’achat du silence qui corrompt la démocratie
Ces paiements destinés à corrompre le processus électoral de 2016 révèlent une manipulation de la démocratie américaine par l’argent sale et transforment l’élection présidentielle en marché noir de l’information où se négocient les secrets compromettants. Cette commercialisation de la vérité électorale démontre l’effondrement des standards démocratiques américains et révèle comment l’argent peut littéralement acheter une présidence. Cette corruption électorale systémique transforme la démocratie américaine en ploutocratie où les plus riches peuvent manipuler l’information pour conquérir le pouvoir.
Cette stratégie du « catch and kill » – acheter les témoignages gênants pour les enterrer – révèle une industrie de la manipulation électorale qui transforme les médias en complices involontaires d’une fraude démocratique majeure. Cette perversion informationnelle démontre comment l’argent peut litteralement réécrire la réalité électorale et priver les citoyens de l’information nécessaire à un choix démocratique éclairé. Cette manipulation révèle que l’élection de 2016 constitue peut-être la première présidence achetée de l’histoire américaine.
Michael Cohen, le témoin qui accable son ancien patron
Le témoignage de Michael Cohen, ancien avocat personnel de Trump devenu témoin à charge de son ancienne idole, révèle l’ampleur de la criminalité trumpienne et démontre comment l’entourage présidentiel était impliqué dans cette falsification systématique des documents financiers. Cette trahison de l’ancien fidèle révèle l’atmosphère toxique qui régnait dans l’entourage Trump et transforme chaque proche collaborateur en complice potentiel d’activités criminelles. Cette criminalité d’entourage révèle que l’administration Trump était structurellement corrompue dès son origine.
Les calculs manuscrits d’Allen Weisselberg détaillant le remboursement des 420 000 dollars constituent des preuves accablantes qui révèlent la préméditation et l’organisation de cette fraude financière, démontrant que cette criminalité n’était pas accidentelle mais parfaitement planifiée par l’organisation Trump. Ces documents révèlent une comptabilité parallèle destinée à dissimuler des activités illégales et transforment l’Trump Organization en entreprise criminelle déguisée. Cette comptabilité de l’ombre révèle l’ampleur de la corruption structurelle de l’empire Trump.
Un jury populaire face à l'histoire

Douze citoyens contre l’impunité présidentielle
Le 30 mai 2024, douze citoyens new-yorkais ont accompli un acte historique de courage civique en déclarant unanimement Donald Trump coupable des 34 chefs d’accusation, bravant les pressions politiques et les menaces pour affirmer que même un ancien président reste soumis à la loi commune. Cette unanimité révèle que les preuves étaient si accablantes que même les potentiels sympathisants républicains du jury n’ont pu nier l’évidence criminelle. Cette victoire de la justice populaire sur l’impunité politique constitue l’un des derniers sursauts démocratiques d’une Amérique en décomposition institutionnelle.
Ces jurés ordinaires ont incarné l’idéal démocratique américain en démontrant que la justice populaire peut encore triompher de la corruption élitaire, offrant un dernier espoir à une démocratie agonisante rongée par la corruption de ses dirigeants. Cette résistance civique révèle que l’Amérique profonde conserve encore des réflexes démocratiques sains face à la dérive autoritaire de ses élites politiques. Cette conscience civique constitue peut-être le dernier rempart contre l’effondrement complet du système démocratique américain.
La délibération de 9h30 qui scelle l’Histoire
Ces neuf heures et demie de délibération révèlent la gravité exceptionnelle avec laquelle ces citoyens ont abordé leur mission historique, pesant chaque preuve avec un sérieux qui honore la tradition judiciaire américaine malgré les pressions politiques considérables. Cette méticulosité révèle que la condamnation ne résulte pas d’un parti pris partisan mais d’une analyse rigoureuse des faits présentés au tribunal. Cette conscience professionnelle des jurés contraste avec l’irresponsabilité des élites politiques qui ont permis cette situation grotesque.
Cette unanimité obtenue après des heures de débat révèle l’impossibilité de contester les preuves accumulées contre Trump et démontre que sa culpabilité ne souffrait aucune ambiguïté pour des citoyens impartiaux ayant examiné les faits. Cette évidence criminelle rend encore plus scandaleuse l’absence de conséquences réelles de cette condamnation et révèle l’impunité de fait dont jouissent les puissants américains. Cette injustice à deux vitesses révèle que l’Amérique a définitivement renoncé à l’égalité devant la loi.
L’émotion du verdict historique
Le moment où le président du jury a prononcé 34 fois le mot « guilty » restera gravé dans l’histoire judiciaire américaine comme l’instant où la justice populaire a momentanément triomphé de l’impunité présidentielle, révélant que même les plus puissants peuvent être jugés par leurs pairs. Cette répétition litanique du verdict révèle l’ampleur de la criminalité trumpienne et transforme ce moment en liturgie judiciaire de la démocratie américaine. Cette solennité judiciaire contraste tragiquement avec la farce constitutionnelle qui suivra.
Cette émotion collective lors de l’énoncé du verdict révèle l’importance symbolique exceptionnelle de ce moment historique pour une Amérique en quête de justice face à la corruption de ses dirigeants, offrant un bref espoir de renaissance morale avant la rechute institutionnelle. Cette catharsis judiciaire révèle les attentes profondes du peuple américain envers ses institutions et sa déception face à leur défaillance systémique. Cette frustration populaire pourrait nourrir des tensions sociales majeures dans une Amérique divisée.
L'impunité présidentielle révélée

Une condamnation sans conséquences
Cette condamnation sans prison ni amende révèle l’existence d’une impunité présidentielle de facto qui transforme la fonction suprême en licence de criminalité légalisée, démontrant que l’Amérique a secrètement instauré un système de castes judiciaires où les puissants échappent aux conséquences de leurs crimes. Cette immunité informelle mais réelle révèle que la justice américaine est définitivement à deux vitesses et que l’égalité devant la loi n’est plus qu’un slogan démagogique destiné à masquer une réalité oligarchique. Cette perversion judiciaire transforme l’Amérique en république bananière déguisée en démocratie.
Cette sentence symbolique constitue une capitulation judiciaire qui révèle l’impuissance structurelle du système judiciaire face au pouvoir politique suprême et transforme les tribunaux en théâtres de représentations démocratiques sans substance réelle. Cette comédie judiciaire révèle que l’indépendance de la justice américaine n’est qu’une façade destinée à masquer sa subordination réelle aux considérations politiques. Cette soumission institutionnelle annonce peut-être la fin de l’État de droit américain et l’avènement d’un régime autoritaire déguisé.
Le juge Merchan face à l’impossible
Le juge Juan Merchan, contraint de prononcer cette sentence vide face à un criminel devenu intouchable par sa réélection, incarne la tragédie d’une magistrature américaine réduite à l’impuissance par un système politique corrompu qui protège ses criminels élus. Cette humiliation judiciaire révèle l’effondrement de la séparation des pouvoirs américaine et transforme les juges en figurants d’une démocratie de façade. Cette dégradation institutionnelle révèle que l’Amérique a secrètement basculé dans un système où le pouvoir politique domine complètement le pouvoir judiciaire.
Cette impuissance judiciaire révèle également les limites constitutionnelles d’un système démocratique inadapté aux défis posés par des démagogues criminels élus démocratiquement, révélant les failles structurelles de la Constitution américaine face aux dérives autoritaires contemporaines. Cette inadéquation constitutionnelle révèle que les Pères fondateurs n’avaient pas anticipé la possibilité qu’un criminel reconnu puisse être élu président par un peuple indifférent à la moralité de ses dirigeants. Cette obsolescence constitutionnelle annonce peut-être la nécessité d’une refondation démocratique américaine.
L' »unconditional discharge » ou l’art de l’impunité
Cette formule juridique d' »unconditional discharge » constitue un euphémisme judiciaire destiné à masquer une impunité pure et simple derrière une terminologie technique, révélant l’hypocrisie d’un système qui prétend punir tout en pardonnant complètement. Cette novlangue juridique révèle la perversion du langage judiciaire américain transformé en outil de propagande destiné à masquer l’effondrement de l’État de droit. Cette manipulation linguistique révèle que même le vocabulaire judiciaire est désormais au service de la désinformation institutionnelle.
Cette impunité déguisée en clémence judiciaire révèle l’art consommé de l’hypocrisie institutionnelle américaine qui maintient les apparences démocratiques tout en vidant les institutions de leur substance, transformant la justice en spectacle destiné à bercer les illusions populaires. Cette comédie institutionnelle révèle que l’Amérique a perfectionné l’art de la manipulation démocratique en préservant les formes tout en corrompant le fond. Cette sophistication dans la tromperie révèle peut-être l’aboutissement ultime de la décadence démocratique occidentale.
L'onde de choc internationale

L’Amérique déshonorée devant le monde
Cette situation inédite d’un criminel condamné dirigeant la première puissance mondiale provoque une onde de choc géopolitique majeure qui dégrade définitivement l’image de l’Amérique et remet en question sa légitimité morale à diriger le monde libre. Cette déchéance morale révèle aux yeux du monde entier que l’Amérique a renoncé aux valeurs qu’elle prétendait incarner et transforme le pays de la liberté en symbole de corruption politique légalisée. Cette chute symbolique pourrait précipiter la fin de l’hégémonie morale américaine et ouvrir la voie à de nouveaux leaderships géopolitiques.
Cette humiliation internationale révèle l’ampleur de la crise de crédibilité américaine qui fragilise toutes les alliances occidentales et encourage les puissances autoritaires à contester ouvertement un ordre international dirigé par une nation corrompue. Cette délégitimation géopolitique révèle que l’Amérique criminalisée perd progressivement son soft power et sa capacité d’influence morale mondiale. Cette érosion pourrait accélérer la recomposition géopolitique mondiale au détriment de l’Occident.
Les alliés occidentaux dans l’embarras
Les dirigeants européens, contraints de travailler avec un partenaire criminel condamné, découvrent l’embarras diplomatique d’une alliance avec une puissance dirigée par un délinquant reconnu, révélant les limites de la solidarité atlantique face aux dérives morales américaines. Cette situation grotesque transforme chaque sommet international en exercice d’équilibrisme moral pour des dirigeants contraints de serrer la main d’un criminel. Cette compromission morale collective révèle l’effondrement des standards éthiques occidentaux face aux impératifs géopolitiques.
Cette complicité forcée avec la criminalité présidentielle révèle la subordination pathétique de l’Europe face à une Amérique dégradée et démontre l’incapacité occidentale à maintenir des standards moraux face aux considérations stratégiques. Cette capitulation éthique révèle que l’Occident a définitivement renoncé à ses prétentions morales pour sombrer dans un pragmatisme cynique qui le rapproche des régimes qu’il prétend combattre. Cette convergence morale révèle peut-être la fin de l’exceptionnalisme occidental.
Les dictateurs jubilent face à cette déchéance
Les régimes autoritaires mondiaux exploitent avec jubilation cette déchéance démocratique américaine pour légitimer leurs propres dérives et démontrer que l’Occident démocratique n’est pas moralement supérieur aux autocraties qu’il condamne habituellement. Cette instrumentalisation révèle comment la corruption américaine devient un argument de légitimation pour toutes les dictatures mondiales qui peuvent désormais relativiser leurs crimes en pointant la criminalité présidentielle américaine. Cette relativisation morale généralisée pourrait précipiter une régression démocratique mondiale.
Cette aubaine propagandiste pour les ennemis de la démocratie révèle les dommages collatéraux considérables de la crise morale américaine sur l’ensemble du mouvement démocratique mondial, fragilisant toutes les oppositions démocratiques face à des régimes autoritaires désormais légitimés par l’exemple américain. Cette délégitimation démocratique généralisée révèle que la corruption américaine pourrait précipiter un recul démocratique planétaire. Cette responsabilité historique de l’Amérique dans la régression mondiale révèle l’ampleur des conséquences géopolitiques de sa décadence morale.
Les conséquences constitutionnelles catastrophiques

Une Constitution mise à l’épreuve de l’impensable
Cette situation inédite révèle les limites constitutionnelles d’un système démocratique conçu au XVIIIe siècle et inadapté aux défis posés par des démagogues criminels capables de manipuler le processus électoral, démontrant l’obsolescence partielle de la Constitution américaine face aux dérives contemporaines. Cette inadéquation révèle que les Pères fondateurs n’avaient pas anticipé qu’un peuple puisse élire consciemment un criminel reconnu à la présidence. Cette faille constitutionnelle majeure révèle la nécessité d’une refondation démocratique pour adapter les institutions aux réalités contemporaines.
Cette crise révèle également l’absence de mécanismes constitutionnels pour gérer la criminalité présidentielle avérée, transformant cette situation exceptionnelle en précédent constitutionnel dangereux qui légalise de facto la présidence criminelle. Cette lacune institutionnelle révèle que la Constitution américaine ne prévoyait pas la possibilité d’une corruption présidentielle aussi systématique et normalisée. Cette impréparation constitutionnelle révèle les limites de la sagesse des Fondateurs face aux défis de la démagogie moderne.
La séparation des pouvoirs en question
Cette impunité présidentielle de facto révèle l’effondrement de la séparation des pouvoirs américaine où le pouvoir exécutif échappe complètement au contrôle judiciaire, transformant le système démocratique en autocratie déguisée où le président règne au-dessus des lois. Cette concentration du pouvoir révèle la dérive autoritaire d’un système qui abandonne progressivement ses garde-fous démocratiques. Cette évolution révèle peut-être l’impossibilité structurelle de maintenir l’équilibre des pouvoirs face à un exécutif déterminé à les contourner.
Cette subordination judiciaire au pouvoir politique révèle également la fragilité intrinsèque des institutions démocratiques face à des dirigeants qui refusent d’en respecter l’esprit, démontrant que la démocratie ne peut survivre sans l’adhésion morale de ses dirigeants aux valeurs qu’elle incarne. Cette dépendance morale révèle la vulnérabilité existentielle des systèmes démocratiques face aux sociopathes politiques. Cette fragilité constitutionnelle révèle peut-être l’impossibilité de concevoir des institutions parfaitement résistantes à la corruption humaine.
Un précédent terrifiant pour l’avenir
Cette normalisation de la présidence criminelle établit un précédent constitutionnel terrifiant qui légitimera toutes les dérives futures et transformera la Maison Blanche en refuge potentiel pour tous les délinquants politiques capables de conquérir le pouvoir électoral. Cette dérive révèle que l’Amérique vient peut-être d’institutionnaliser la corruption présidentielle en démontrant son impunité pratique. Cette institutionnalisation pourrait transformer définitivement la nature de la présidence américaine en fonction criminogène.
Cette acceptation collective de la criminalité présidentielle révèle l’effondrement moral d’une société qui renonce à exiger l’exemplarité de ses dirigeants et se résigne à être gouvernée par des délinquants pourvu qu’ils soient efficaces électoralement. Cette décadence morale collective révèle peut-être la fin de l’idéal démocratique américain et l’avènement d’une république corrompue assumée. Cette mutation civilisationnelle révèle l’ampleur de la crise morale qui ronge l’Amérique contemporaine.
La société américaine face à sa propre corruption

Un peuple qui accepte ses criminels
L’élection d’un criminel reconnu coupable révèle l’effondrement moral d’une société américaine qui a renoncé à exiger l’exemplarité de ses dirigeants et préfère l’efficacité supposée à la probité morale, démontrant une décadence civique qui dépasse largement le simple opportunisme électoral. Cette acceptation collective révèle que l’Amérique a secrètement abandonné ses valeurs fondatrices pour sombrer dans un cynisme généralisé qui normalise la corruption. Cette mutation morale révèle peut-être la fin de l’exceptionnalisme américain et l’avènement d’une nation ordinaire gouvernée par des délinquants ordinaires.
Cette complaisance envers la criminalité politique révèle l’infantilisation d’un électorat américain incapable de distinguer entre efficacité présumée et moralité élémentaire, transformant la démocratie en spectacle où les considérations morales disparaissent devant les promesses démagogiques. Cette immaturité civique révèle l’échec du système éducatif américain à former des citoyens capables de jugement moral autonome. Cette régression civique révèle peut-être l’impossibilité de maintenir une démocratie avec un peuple moralement défaillant.
La polarisation qui tue la morale commune
Cette polarisation extrême de la société américaine a détruit toute morale commune et transformé les considérations éthiques en armes partisanes, révélant l’impossibilité pour une nation divisée de maintenir des standards moraux partagés face à la corruption de ses élites. Cette fragmentation morale révèle que l’Amérique n’est plus une nation unie par des valeurs communes mais un agrégat de tribus hostiles incapables de s’accorder sur les critères élémentaires de la moralité publique. Cette balkanisation éthique révèle peut-être l’impossible maintien de la démocratie dans une société moralement fractionnée.
Cette guerre civile froide transforme chaque considération morale en manipulation partisane et empêche tout jugement objectif sur la criminalité politique, révélant comment la polarisation détruit la capacité collective de discernement éthique. Cette relativisation généralisée révèle que l’Amérique a perdu sa boussole morale et dérive dans un nihilisme politique où tout devient permis selon l’appartenance partisane. Cette dérive révèle peut-être l’impossibilité de réconcilier démocratie et polarisation extrême.
Les médias complices de la normalisation
Les médias américains, contraints de normaliser l’anormal par souci d’équilibre journalistique, deviennent involontairement complices de cette banalisation de la criminalité présidentielle en traitant comme un fait divers politique ce qui constitue une rupture civilisationnelle majeure. Cette complaisance médiatique révèle l’incapacité du journalisme contemporain à distinguer entre information et désinformation institutionnelle. Cette confusion révèle peut-être l’impossibilité pour les médias traditionnels de remplir leur mission démocratique dans une époque post-vérité.
Cette normalisation médiatique de l’exceptionnel révèle comment l’industrie de l’information devient complice de la dégradation démocratique en refusant de nommer clairement la gravité de la situation par crainte d’accusations de partialité. Cette lâcheté journalistique révèle l’effondrement de l’esprit critique médiatique face aux défis démocratiques contemporains. Cette abdication révèle peut-être l’impossibilité pour le journalisme contemporain de jouer son rôle de garde-fou démocratique.
L'Amérique à l'aube d'une ère post-démocratique

Cette condamnation de Donald Trump pour 34 chefs d’accusation criminels, suivie de son retour triomphant à la Maison Blanche, marque l’entrée définitive de l’Amérique dans une ère post-démocratique où la criminalité devient compatible avec l’exercice du pouvoir suprême, révélant l’effondrement moral et institutionnel d’une démocratie jadis exemplaire. Cette normalisation de la corruption présidentielle constitue peut-être la rupture civilisationnelle la plus importante depuis la guerre civile américaine et annonce une transformation radicale de la nature même de la République américaine. Cette mutation révèle que l’Amérique de 2025 a définitivement tourné le dos aux idéaux des Pères fondateurs pour embrasser un pragmatisme cynique qui sacrifie la morale à l’efficacité électorale.
Cette acceptation collective d’un président criminel révèle l’ampleur de la crise de civilisation qui traverse l’Amérique contemporaine et questionne la viabilité même du modèle démocratique occidental face aux défis du XXIe siècle. Cette déchéance morale, loin d’être accidentelle, révèle peut-être l’aboutissement logique d’une société de consommation qui a transformé la politique en spectacle et les citoyens en consommateurs d’émotions partisanes. Cette marchandisation de la démocratie révèle l’incompatibilité croissante entre capitalisme avancé et exigence démocratique authentique.
L’avenir dira si cette rupture constitutionnelle marque le début d’une refondation démocratique américaine ou l’acceptation définitive d’une république corrompue gouvernée par des délinquants élus. Cette alternative tragique révèle l’ampleur des enjeux civilisationnels qui se jouent aujourd’hui aux États-Unis et dont les conséquences dépasseront largement les frontières américaines pour influencer l’évolution de la démocratie mondiale. Cette responsabilité historique de l’Amérique dans l’avenir démocratique planétaire révèle que cette crise constitutionnelle pourrait déterminer le sort de la liberté humaine pour les générations futures. L’Histoire jugera sévèrement une génération qui aura choisi la facilité de la corruption plutôt que l’exigence de la probité démocratique.