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L’assassinat de Charlie Kirk : l’Amérique respire enfin, Trump annonce « Nous l’avons attrapé »
Credit: Adobe Stock

12h20, mercredi 11 septembre 2025. Une balle unique traverse le cou de Charlie Kirk sous la tente de l’Université Utah Valley. Le fondateur de Turning Point USA, père de deux enfants, âgé de 31 ans, s’effondre devant 3000 spectateurs terrifiés. L’assassin politique — car c’est bien de cela qu’il s’agit — vient d’abattre l’une des voix conservatrices les plus influentes de sa génération d’une balle tirée à 200 mètres depuis le toit du Centre Losee.

Ce vendredi 12 septembre, Donald Trump annonce sur Fox News avec « un haut degré de certitude » que le suspect a été capturé. « Nous l’avons », déclare le président américain, révélant qu’une personne très proche du tueur l’avait dénoncé. Cette arrestation, orchestrée grâce à un pasteur qui a impliqué le père du suspect, met fin à 72 heures de traque fébrile menée par le FBI, la police d’Orem, le Département de sécurité publique de l’Utah et la police universitaire.

L’assassinat politique en plein jour

Les images de sécurité révèlent la méticulosité glaçante de cette exécution. À 11h52, le tireur pénètre sur le campus d’Orem, grimpe méthodiquement les escaliers jusqu’au toit, positionne son fusil à verrou haute puissance, vise, tire une seule fois, puis s’évapore dans la nature. Cette précision chirurgicale révèle un assassin entraîné, déterminé, qui connaissait parfaitement sa cible et l’agencement du campus universitaire.

Charlie Kirk répondait justement à une question sur les fusillades de masse impliquant des individus transgenres quand la balle l’a frappé au cou. Cette ironie macabre — mourir en parlant de violence armée — souligne la dimension politique assumée de cet assassinat. Le tireur n’a pas choisi sa victime au hasard : il visait délibérément l’homme qui avait mobilisé des millions de jeunes électeurs républicains.

La fuite organisée du sniper

Les vidéos de surveillance dévoilent la fuite parfaitement orchestrée de l’assassin. Après avoir tiré, il traverse le toit en courant, saute dans le vide, atterrit au sol, traverse une rue fréquentée et disparaît dans une zone boisée adjacente au campus. Cette route d’évasion préméditée révèle une planification minutieuse qui ne laisse rien au hasard.

Sur son parcours de fuite, le tireur abandonne volontairement son arme — un fusil à verrou haute puissance récupéré par les enquêteurs dans la zone boisée. Cette décision tactique suggère qu’il disposait d’un véhicule d’évasion ou d’un réseau de soutien pour faciliter sa fuite. Les empreintes de paume, de pied et d’avant-bras qu’il laisse derrière lui trahissent néanmoins sa précipitation finale.

L’identité du tueur révélée

Les images du FBI révèlent un jeune homme d’apparence étudiante : casquette de base-ball, lunettes de soleil, t-shirt noir orné d’un drapeau américain et d’un aigle, jean, chaussures Converse, sac à dos noir. Cette tenue délibérément banale lui permettait de se fondre parfaitement dans la population universitaire, rendant sa détection quasi impossible.

Trump suggère que l’arrestation s’est déroulée grâce à la confession d’un proche, impliquant un pasteur qui a contacté un ami maréchal fédéral, puis le père du suspect. « Il s’est rendu au commissariat de police », révèle le président, laissant entendre que l’assassin a fini par craquer sous la pression psychologique de cette traque massive. Cette reddition volontaire contraste étrangement avec la planification méticuleuse de l’attaque.

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