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Zelensky dévoile la vérité brutale : Poutine veut TOUTE l’Ukraine, pas juste le Donbass
Credit: Adobe Stock

12 septembre 2025. Volodymyr Zelensky vient de lâcher la bombe qui anéantit trois années d’illusions occidentales sur les « objectifs limités » de Vladimir Poutine : « L’objectif de Poutine est l’occupation de toute l’Ukraine. Quoi qu’il dise à qui que ce soit, c’est clair : il a tellement remonté sa machine de guerre qu’il veut nous occuper totalement. » Ces mots, prononcés avec la lucidité implacable d’un homme qui a regardé l’apocalypse en face, pulvérisent définitivement le mythe du « conflit territorial limité » que l’establishment occidental s’obstine à entretenir.

Cette déclaration présidentielle ukrainienne intervient au moment précis où les efforts de Washington pour imposer un cessez-le-feu s’enlisent face à l’intransigeance russe. Pendant que Donald Trump rêve encore de « deals » avec Poutine et que ses émissaires négocient des « échanges territoriaux », Zelensky révèle la réalité que personne ne veut voir : Moscou ne veut pas une partie de l’Ukraine, elle veut TOUTE l’Ukraine. Cette vérité, aussi brutale qu’incontestable, transforme chaque négociation de paix en capitulation déguisée et chaque compromis territorial en étape vers l’anéantissement total de l’État ukrainien.

L’aveu qui détruit la rhétorique russe

Les révélations de Zelensky démontent méthodiquement la propagande russe des « objectifs militaires spéciaux » et de la « dénazification » limitée. Quand Poutine annonce publiquement vouloir « finir » avec les forces ukrainiennes et installer une « administration transitoire » à Kiev, il révèle enfin ses véritables intentions : l’effacement pur et simple de l’Ukraine en tant qu’État souverain. Cette radicalisation des objectifs russes transforme rétrospectivement toute l’invasion en projet génocidaire déguisé en « opération militaire spéciale ».

Cette escalation rhétorique russe révèle également l’échec cuisant de la stratégie de guerre éclair de février 2022. Incapable de prendre Kiev en 72 heures comme prévu, Poutine radicalise ses objectifs pour justifier trois années de guerre totale. Cette fuite en avant idéologique transforme un échec militaire en croisade existentielle, rendant impossible tout compromis négocié qui laisserait subsister un État ukrainien indépendant.

Le calendrier apocalyptique révélé par les services ukrainiens

Les services de renseignement ukrainiens ont intercepté les communications russes qui révèlent le calendrier précis de cette conquête totale : Poutine a annoncé à la Maison-Blanche et à l’émissaire trumpiste Steve Witkoff qu’il comptait s’emparer du Donbass « en trois à quatre mois maximum ». Cette confidence stratégique transforme les négociations de paix en écran de fumée destiné à gagner le temps nécessaire à la conquête militaire totale.

Cette révélation temporelle explique l’urgence désespérée des attaques russes de septembre 2025 : 450 drones en une seule nuit, violation de l’espace aérien polonais, intensification des bombardements civils — tout indique une Russie qui mise tout sur une offensive finale avant l’hiver. Cette course contre la montre révèle un Poutine conscient que ses ressources s’amenuisent et qui joue son va-tout sur une victoire militaire rapide.

L’illusion des « garanties de sécurité » occidentales

Face à ces révélations, les « garanties de sécurité » brandies par l’Occident apparaissent dans toute leur dérisoire insuffisance. Comment des « accords de sécurité » européens pourraient-ils protéger l’Ukraine contre un ennemi qui refuse d’admettre son existence même ? Cette naïveté occidentale révèle l’incapacité chronique des démocraties à comprendre la mentalité totalitaire qui ne connaît que la soumission ou l’anéantissement.

Les propositions de « zones démilitarisées », de « statut neutre » ou de « fédéralisation » ukrainienne révèlent leur véritable nature : des étapes intermédiaires vers la disparition programmée de l’Ukraine. Poutine acceptera temporairement ces solutions transitoires pour reconstituer ses forces avant l’assaut final contre un État ukrainien affaibli et privé de protecteurs crédibles.

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