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La Chine dit à l’UE qu’elle ne peut accepter que la Russie perde sa guerre contre l’Ukraine
Credit: Adobe Stock

Dans les couloirs feutrés du pouvoir chinois, une vérité inavouable vient d’éclater au grand jour. Le 4 juillet 2025, lors d’un entretien à huis clos avec la cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas, le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi a lâché une phrase qui révèle la stratégie secrète de Pékin : « La Chine ne peut accepter que la Russie perde sa guerre contre l’Ukraine ». Cette confession brutale pulvérise l’illusion de neutralité chinoise et dévoile le plan machiavélique orchestré par Xi Jinping depuis le début du conflit.

Cette déclaration explosive — confirmée par des sources diplomatiques européennes — révèle que la Chine joue un double jeu mortel avec l’Europe. Pendant que Xi Jinping affiche publiquement sa « position objective et cohérente » en faveur de négociations et d’un cessez-le-feu, ses diplomates avouent en privé que Pékin a tout intérêt à voir l’Ukraine saigner indéfiniment. Cette hypocrisie stratégique transforme la guerre ukrainienne en instrument géopolitique chinois contre l’Occident, révélant l’ampleur de la manipulation dont l’Europe est victime depuis trois ans.

La confession qui ébranle la diplomatie mondiale

L’aveu de Wang Yi lors de cette réunion marathon de quatre heures à Bruxelles constitue un séisme diplomatique dont les répercussions se font encore sentir dans toutes les capitales occidentales. Ce responsable chinois, l’un des plus proches collaborateurs de Xi Jinping, a explicitement reconnu que la défaite russe permettrait aux États-Unis de « concentrer toute leur attention » sur la rivalité avec la Chine. Cette logique cynique transforme l’Ukraine en variable d’ajustement dans la compétition sino-américaine.

Cette révélation détruit méthodiquement tous les efforts diplomatiques chinois des trois dernières années. Les multiples propositions de paix de Pékin, les appels au dialogue, les rencontres avec Zelensky : tout cela apparaît désormais comme une mascarade soigneusement orchestrée pour maintenir les apparences tout en prolongeant secrètement le conflit. La Chine ne cherche pas la paix en Ukraine — elle instrumentalise la guerre pour affaiblir l’Occident.

Kaja Kallas face à la duplicité chinoise

La cheffe de la diplomatie européenne découvre brutalement l’ampleur de la manipulation chinoise dont l’Union européenne est victime depuis le début du conflit. Cette femme, habituée aux subtilités diplomatiques baltes face à la Russie, se retrouve confrontée à une duplicité d’une sophistication redoutable : celle d’un empire qui maîtrise l’art de dire une chose et de penser exactement l’inverse.

Cette confrontation de quatre heures révèle également la frustration croissante des diplomates européens face à l’attitude chinoise. Cybersécurité, déséquilibres commerciaux, terres rares, Taïwan, Moyen-Orient : sur tous les dossiers, la Chine adopte la même stratégie de double langage qui consiste à afficher une coopération de façade tout en poursuivant des objectifs contraires aux intérêts européens.

L’Europe dans le piège de l’enlisement

L’aveu chinois révèle que l’Europe est tombée dans un piège stratégique minutieusement conçu par Pékin. En prolongeant artificiellement le conflit ukrainien, la Chine force l’Union européenne à consacrer l’essentiel de ses ressources politiques, économiques et militaires à sa périphérie orientale. Cette fixation ukrainienne empêche l’Europe de développer une stratégie cohérente face à la montée en puissance chinoise dans l’Indo-Pacifique.

Cette instrumentalisation révèle la dimension planétaire de la stratégie chinoise : transformer chaque conflit régional en levier de pression contre l’ordre occidental. L’Ukraine ne constitue que le premier maillon d’une chaîne de crises que la Chine pourrait activer — Taïwan, mer de Chine méridionale, tensions sino-indiennes — pour maintenir l’Occident en état de dispersion stratégique permanente.

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