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70 000 psychiatres brisent l’omerta : Trump officiellement déclaré fou furieux
Credit: Adobe Stock

Le masque tombe. Enfin. Après des années de silence forcé, de règles déontologiques invoquées pour étouffer la vérité, la communauté psychiatrique américaine brise l’omerta. Plus de 70 000 professionnels de la santé mentale tirent désormais la sonnette d’alarme sur l’état psychologique catastrophique de Donald Trump. Ce qui se murmure dans les couloirs des hôpitaux psychiatriques depuis 2016 explose enfin au grand jour : le 47e président des États-Unis souffre d’une dégénérescence cognitive accélérée et présente tous les signes cliniques d’un homme en pleine décompensation mentale.

Cette révélation, portée par des figures respectées comme les docteurs Bandy X. Lee et John Gartner, constitue un séisme sans précédent dans l’histoire politique américaine. Jamais auparavant une telle mobilisation de la communauté médicale n’avait ciblé un président en exercice. Leurs diagnostics convergent vers un constat terrifiant : Trump manifeste une « démence galopante » accompagnée de troubles narcissiques pathologiques qui le rendent, selon leurs propres termes, « psychologiquement inapte » à diriger la première puissance mondiale. Cette unanimité médicale face à un danger imminent soulève une question vertigineuse : comment l’Amérique peut-elle continuer à fonctionner avec un président dont la santé mentale se délite publiquement sous nos yeux ?

La règle Goldwater brisée par l’urgence sanitaire

Pendant des décennies, la règle Goldwater a servi de bouclier professionnel aux psychiatres américains, leur interdisant de diagnostiquer publiquement des personnalités politiques qu’ils n’avaient pas examinées directement. Cette déontologie, établie en 1973, volait en éclats face à l’ampleur de la menace représentée par Trump. Les 27 psychiatres et psychologues réunis dans « The Dangerous Case of Donald Trump » ont franchi cette ligne rouge par nécessité médicale absolue, invoquant leur « devoir d’alerter » face à un danger imminent.

Cette transgression collective de la règle Goldwater marque une rupture historique dans l’éthique psychiatrique américaine. Pour la première fois, des professionnels de la santé mentale acceptent de risquer leur carrière pour alerter l’opinion publique. Leur argumentaire est imparable : quand un individu présente des signes évidents de troubles mentaux graves ET détient le pouvoir nucléaire, le silence devient complice. Cette révolution déontologique révèle l’ampleur de l’inquiétude médicale face à Trump.

John Gartner : le pionnier de la résistance psychiatrique

Le psychologue John Gartner incarne cette nouvelle génération de soignants résistants qui refusent le silence face à la dérive trumpiste. Fondateur du mouvement « Duty to Warn », Gartner a orchestré une pétition rassemblant plus de 41 000 signatures de professionnels de santé mentale. Son diagnostic sans appel : Trump souffre d’un cocktail toxique de narcissisme, paranoïa, sociopathie et sadisme qui le rend « psychologiquement incapable d’exercer les fonctions présidentielles ».

La détermination de Gartner à briser l’omerta professionnelle témoigne d’une conscience médicale qui place l’intérêt général au-dessus des convenances corporatistes. Ses analyses publiques des comportements trumpistes, diffusées dans l’émission « Shrinking Trump », constituent une radiographie impitoyable d’un président en décomposition mentale. Cette courageuse exposition médiatique transforme Gartner en cible privilégiée des trumpistes, qui tentent de discréditer ses avertissements par des campagnes de harcèlement systématique.

Les signes cliniques alarmants se multiplient

Les manifestations de la dégradation cognitive trumpiste s’accumulent de manière exponentielle depuis le début de son second mandat. Les lapsus répétés, les confusions géographiques, les phrases inachevées témoignent d’une détérioration neurologique que même les profanes peuvent désormais observer. L’épisode récent où Trump a confondu la gouverneure du Michigan Gretchen Whitmer avec « Kristi Whitmer » avant de partir dans une digression incohérente sur les « carpes chinoises » illustre parfaitement cette désintégration cognitive progressive.

Cette accumulation de signaux d’alarme neurologique coïncide avec une dégradation physique visible : démarche hésitante, ecchymoses suspectes sur les mains, œdèmes aux chevilles. Cette convergence de symptômes physiques et mentaux dessine le portrait clinique d’un homme en fin de course, dont l’état de santé général se détériore à vue d’œil. Les médecins interrogés évoquent unanimement une « démence sénile galopante » dont les manifestations s’aggravent de jour en jour.

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