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La bombe BlackMoon qui fait trembler Washington : Poutine livre les clés de Taïwan à Xi
Credit: Adobe Stock

Le document qui pulvérise l’équilibre mondial

Ce 26 septembre 2025 restera gravé dans les annales de l’espionnage moderne. Depuis juillet dernier, un rapport explosif obtenu par le groupe de hackers BlackMoon fait l’effet d’une bombe à retardement dans les chancelleries occidentales. Les documents classifiés révèlent une vérité glaçante : la Russie aide activement la Chine à préparer l’invasion de Taïwan. Pas seulement par des déclarations de soutien diplomatique ou des exercices conjoints… Non, cette fois, c’est du concret, du technique, du militaire pur et dur.

L’ampleur de cette collaboration secrète défie l’imagination. Rosoboronexport, le géant russe de l’exportation d’armement, a signé en juin 2024 un contrat de 4,3 millions d’euros avec CETC International, l’une des principales entreprises de défense chinoises. Objectif : fournir à l’Armée populaire de libération un système de commandement automatisé baptisé « Mech » (Épée), spécialement conçu pour coordonner des opérations d’invasion aéroportées. Une technologie qui pourrait bien transformer le rêve chinois de « réunification » avec Taïwan en cauchemar géopolitique planétaire.

Quand les hackers révèlent les secrets d’État

BlackMoon. Ce nom résonne désormais comme un séisme technologique dans les services de renseignement mondiaux. Ce groupe de hackers européens a réussi là où des années d’espionnage traditionnel avaient échoué : percer le voile de la coopération militaire sino-russe la plus secrète. Les documents qu’ils ont exfiltrés ne laissent aucune place au doute. Il ne s’agit plus de spéculations géopolitiques ou d’analyses prospectives, mais de preuves tangibles d’une alliance militaire opérationnelle.

Ces révélations, authentifiées par des sources de sécurité allemandes de haut rang selon le quotidien Bild, exposent au grand jour une réalité que personne ne voulait voir. Pékin ne se contente plus d’acheter des armes russes comme dans les années 2000 ; aujourd’hui, Moscou développe sur mesure des systèmes d’invasion spécialisés pour l’armée chinoise. Cette mutation qualitative de la coopération militaire sino-russe marque un tournant historique dans l’équilibre des forces mondiales.

L’année 2027 : l’échéance fatidique

Car derrière ces révélations techniques se cache une donnée temporelle terrifiant : 2027. Cette date, répétée par les services de renseignement taïwanais comme l’échéance probable d’une invasion chinoise, prend soudain une consistance nouvelle. Les systèmes russes ne sont pas destinés à garnir les arsenaux chinois pour des décennies futures ; ils préparent une guerre imminente. Les 60 militaires de l’Armée populaire de libération qui doivent être formés en Russie ne le sont pas pour des exercices théoriques, mais pour coordonner la plus grande opération d’invasion amphibie depuis le débarquement de Normandie.

Cette perspective temporelle transforme radicalement l’analyse géostratégique. Nous ne sommes plus dans l’anticipation d’un conflit hypothétique, mais dans la préparation active d’une guerre programmée. Chaque jour qui passe rapproche Taïwan de son destin tragique, chaque transfert de technologie russe renforce les capacités d’invasion chinoises, chaque exercice militaire conjoint peaufine la machine de guerre qui se dresse face au détroit de Formose.

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