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Trump dévoile son « deal du siècle » : Gaza rasée, reconstruite, pacifiée en 48h
Credit: Adobe Stock

Le plan qui bouleverse tout au Moyen-Orient

En ce 27 septembre 2025, Donald Trump vient de lâcher sa bombe diplomatique la plus explosive depuis son retour au pouvoir. Dans les couloirs feutrés de l’ONU à New York, le président américain a dévoilé aux dirigeants arabes son « plan en 21 points » pour Gaza — un document révolutionnaire qui promet de transformer l’enfer palestinien en paradis méditerranéen en moins de 48 heures. Cette proposition, aussi audacieuse qu’irréaliste, ambitionne de réussir là où des décennies de diplomatie ont échoué : mettre fin définitivement au conflit le plus sanglant de notre époque.

« On dirait qu’il va y avoir un accord sur Gaza… Ce sera un accord qui ramènera les otages, qui fera cesser la guerre, qui apportera la paix », a déclaré Trump vendredi soir avec cette arrogance qui le caractérise. Cette promesse, lancée devant les caméras avant de partir jouer au golf, résonne comme un ultimatum au monde entier. Mais derrière cette déclaration tonitruante se cache un plan d’une complexité diabolique qui pourrait soit révolutionner le Moyen-Orient, soit l’embraser définitivement.

Le document secret qui fait trembler Jérusalem et Téhéran

Ce plan de 21 points, présenté dans le plus grand secret aux dirigeants de l’Arabie saoudite, du Qatar, des Émirats arabes unis, de l’Égypte, de la Jordanie, de la Turquie, de l’Indonésie et du Pakistan, constitue la révélation géopolitique la plus importante de 2025. Pour la première fois depuis octobre 2023, un document officiel américain ose imaginer un après-Hamas, un après-occupation, un après-massacre. Cette audace conceptuelle, impensable sous l’administration précédente, révèle l’ampleur de la mutation stratégique trumpienne.

Mais ce qui frappe dans ce plan, c’est sa brutalité assumée : libération immédiate de tous les otages en 48 heures, cessez-le-feu permanent, retrait israélien, afflux massif d’aide humanitaire, gouvernance internationale… Chaque point semble défier les réalités du terrain et la psychologie des belligérants. Cette approche du bulldozer diplomatique révèle que Trump mise tout sur sa capacité à imposer sa volonté par la force de sa personnalité présidentielle.

L’ultimatum qui terrorise Netanyahu

Ce plan intervient à un moment critique où Benjamin Netanyahu, isolé diplomatiquement après son discours va-t-en-guerre à l’ONU, découvre que son allié américain le plus fidèle pourrait bien devenir son fossoyeur politique. Les 21 points trumpiens constituent en réalité un piège redoutable pour le Premier ministre israélien : accepter, c’est abandonner son projet de destruction totale du Hamas ; refuser, c’est s’aliéner définitivement Washington et perdre son soutien militaire vital.

Cette mise sous pression révèle la sophistication de la stratégie trumpienne : utiliser l’alliance américano-israélienne comme levier de contrainte plutôt que comme soutien inconditionnel. Cette inversion des rôles, où l’Amérique dicte ses conditions à Israël plutôt que de subir ses caprices, marque peut-être un tournant historique dans les relations entre les deux pays et pourrait redéfinir l’équilibre géopolitique régional.

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