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Trump force Netanyahu à capituler : le plan de paix qui va diviser Israël
Credit: Adobe Stock

Ce lundi 29 septembre 2025, à 15h15 précises dans le Bureau Ovale, se déroule l’une des capitulations les plus spectaculaires de l’histoire géopolitique contemporaine. Benjamin Netanyahu, l’homme qui terrorisait le Moyen-Orient depuis quinze ans, vient d’accepter publiquement le plan de paix de Donald Trump pour Gaza — un plan qui équivaut à une reddition inconditionnelle face aux exigences américaines. Sous le regard implacable des caméras mondiales, le Premier ministre israélien avalise un document de vingt points qui démantèle méthodiquement toute sa stratégie militaire des deux dernières années.

Cette soumission révèle l’ampleur de la révolution géopolitique en cours : pour la première fois depuis la création d’Israël, Washington dicte brutalement ses conditions à Tel-Aviv et obtient une obéissance totale. Trump ne négocie plus avec Netanyahu : il lui impose sa volonté avec la brutalité d’un parrain mafieux qui récupère ses dettes. Cette mutation révèle que l’alliance israélo-américaine traditionnelle cède la place à un rapport de vassalité où Israël découvre amèrement qu’elle n’est plus qu’un pion dans la stratégie globale de l’Amérique trumpiste. Le mythe de l’autonomie stratégique israélienne s’effondre dans cet aveu public de dépendance totale envers les décisions présidentielles américaines.

Plan en 20 points : l’ultimatum déguisé en proposition

Ce document, présenté comme une « proposition de paix », constitue en réalité un ultimatum sophistiqué qui ne laisse aucune échappatoire à Netanyahu. Point 1 : cessez-le-feu immédiat. Point 2 : retrait vers des positions convenues. Point 3 : libération de tous les otages dans les 72 heures. Chaque article transforme les « victoires » militaires israéliennes des deux dernières années en chimères stratégiques.

Cette architecture juridique révèle le génie machiavélique de la diplomatie trumpiste qui transforme chaque concession arrachée en « victoire » pour toutes les parties. En acceptant ce plan, Netanyahu ne sauve pas la face : il capitule publiquement face aux exigences américaines tout en prétendant avoir obtenu des « garanties » sécuritaires qui n’engagent que lui.

Steve Witkoff et Jared Kushner : les architectes de l’humiliation

Derrière ce plan se profilent les silhouettes de Steve Witkoff, envoyé spécial pour le Moyen-Orient, et de Jared Kushner, l’ancien gendre de Trump devenu stratège de l’ombre. Ces deux hommes ont conçu un piège diplomatique d’une sophistication redoutable qui transforme chaque « concession » accordée à Israël en contrainte supplémentaire.

Cette ingénierie diplomatique révèle l’évolution de l’art politique américain sous Trump : fini les négociations d’égal à égal, place aux ultimatums élégants qui contraignent les alliés récalcitrants à la soumission volontaire. Witkoff et Kushner ne négocient plus : ils orchestrent des capitulations déguisées en victoires diplomatiques.

« Nous avons peut-être un accord » : l’euphémisme de la contrainte

Quand Trump déclare avec un sourire carnassier « nous avons peut-être un accord sur Gaza », chaque mot révèle l’ampleur de la pression exercée sur Netanyahu. Cette formule, apparemment optimiste, cache en réalité l’aveu d’une négociation qui n’en était pas une : une série d’exigences américaines présentées comme des suggestions.

Cette rhétorique révèle la maîtrise psychologique trumpiste qui transforme chaque capitulation forcée en « accord mutuel » bénéfique à toutes les parties. Netanyahu n’a pas « accepté » ce plan : il s’y est résigné sous la pression d’un allié devenu tyrannique qui ne lui laissait aucune alternative viable.

 

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