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300 milliards gelés : Poutine signe le décret de représailles, l’Europe tremble
Credit: Adobe Stock

Ce mercredi 1er octobre 2025, à 06h54 du matin, Vladimir Poutine a signé un décret présidentiel autorisant la saisie accélérée et la vente forcée d’actifs occidentaux en Russie, une réponse brutale au projet européen de prêter 165 milliards de dollars à l’Ukraine en utilisant comme garantie les 300 milliards de dollars d’avoirs russes gelés depuis février 2022. Cette escalade révèle l’ampleur de la guerre financière qui oppose désormais Moscou à Bruxelles où chaque camp menace de saisir les actifs de l’autre dans une spirale de représailles qui pourrait détruire ce qui reste de confiance dans le système financier international. Le porte-parole du Kremlin Dmitry Peskov a qualifié le plan européen de « vol pur et simple » et promis que la Russie poursuivra « jusqu’à la fin du siècle » tout individu, entreprise ou pays qui touchera à l’argent russe, révélant que Moscou considère cette bataille comme existentielle.

Ce basculement révèle la transformation d’une guerre militaire en Ukraine en confrontation économique globale où les armes ne sont plus les missiles mais les comptes bancaires gelés, les actifs saisis et les menaces de poursuites judiciaires interminables. Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, propose un mécanisme diaboliquement astucieux : prêter 140 milliards d’euros à l’Ukraine sans techniquement confisquer les avoirs russes, mais en utilisant comme garantie les 185 milliards d’euros détenus par Euroclear à Bruxelles. Ce « prêt de réparation » ne serait remboursé par Kiev que si Moscou accepte de payer des dommages de guerre — autrement dit jamais, transformant de facto ce prêt en don financé par l’argent russe. Cette sophistication juridique révèle peut-être l’acte de naissance d’une nouvelle forme de guerre économique où les grandes puissances se volent mutuellement sous couvert de légalité internationale, détruisant méthodiquement les fondations mêmes du système financier mondial qui garantissait jusqu’ici l’inviolabilité des réserves souveraines.

Mardi 30 septembre : Poutine signe, l’Europe panique

Le décret présidentiel signé mardi par Vladimir Poutine accélère la procédure de saisie et vente des actifs appartenant à des entreprises et individus occidentaux en Russie, révélant que Moscou ne menace plus mais agit concrètement. Cette signature révèle l’abandon par le Kremlin de toute retenue diplomatique face à un Occident qu’il accuse de voler son argent.

Cette signature révèle également l’évolution de la stratégie russe qui privilégie désormais les représailles immédiates sur les menaces verbales. Cette radicalisation révèle que Poutine a décidé que seule la réciprocité brutale peut dissuader l’Europe de franchir la ligne rouge de la confiscation.

Mercredi 1er octobre : sommet européen sous tension à Copenhague

Les dirigeants européens se réunissent ce mercredi à Copenhague pour finaliser le projet de prêt de 165 milliards à l’Ukraine, conscients que Moscou a menacé de représailles immédiates contre toute décision de ce type. Cette réunion révèle que l’Europe avance malgré les menaces russes, révélant soit une détermination nouvelle soit un aveuglement suicidaire.

Cette réunion révèle également l’urgence perçue par Bruxelles qui doit trouver des financements massifs pour l’Ukraine face au désengagement américain sous Trump. Cette précipitation révèle que l’Europe découvre qu’elle doit désormais assumer seule le fardeau financier du soutien à Kiev.

185 milliards d’euros chez Euroclear : le trésor belge que convoite Bruxelles

Sur les 300 milliards de dollars d’actifs russes gelés globalement, 185 milliards d’euros sont détenus par Euroclear, le dépositaire central de titres basé à Bruxelles, créant une concentration dangereuse qui fait de la Belgique la cible prioritaire de toute représaille russe. Cette concentration révèle la vulnérabilité européenne face à des représailles ciblées.

Cette concentration révèle également pourquoi Bruxelles peut techniquement mettre en œuvre son plan : l’argent est déjà sur le sol européen sous contrôle d’une institution européenne. Cette proximité physique révèle que la tentation de saisir cet argent devient irrésistible face aux besoins ukrainiens.

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