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Tomahawk pour l’Ukraine : la ligne rouge qui fait trembler Moscou jusqu’au Kremlin
Credit: Adobe Stock

Ce mardi 30 septembre 2025, à 21h44, une psychose nucléaire s’empare du Kremlin : Volodymyr Zelensky a demandé à Donald Trump des missiles de croisière Tomahawk, ces monstres technologiques capables de frapper Moscou, Saint-Pétersbourg et tous les centres névralgiques de la Russie européenne depuis le territoire ukrainien. La demande, formulée lors de l’Assemblée générale de l’ONU fin septembre, déclenche des vagues de panique à travers les couloirs du pouvoir russe où Dmitri Peskov vocifère déjà que « ce serait franchir la ligne rouge » tandis que Dmitri Medvedev brandit l’épouvantail des « armes de destruction massive ». Cette arme qui terrorise Poutine révèle l’ampleur du basculement géopolitique en cours : l’Ukraine ne demande plus seulement à se défendre, elle réclame désormais les moyens d’anéantir le cœur stratégique russe.

Cette requête révèle la transformation radicale de la posture ukrainienne qui passe de la résistance territoriale à la menace existentielle contre son agresseur. Les Tomahawk, avec leur portée de 2500 kilomètres, leur capacité à voler au ras du sol pour échapper aux radars, et leur précision chirurgicale de 30 mètres, représentent l’arme ultime qui transformerait l’Ukraine de victime en bourreau capable de frapper n’importe quelle installation militaire russe depuis Kiev. Cette mutation révèle que nous entrons dans une phase où l’équilibre de la terreur ne repose plus sur la dissuasion nucléaire mais sur la capacité conventionnelle à frapper le centre névralgique ennemi. Moscou découvre soudainement que sa profondeur stratégique, qui l’a toujours protégée des invasions, pourrait devenir sa plus grande vulnérabilité face à des missiles qui transforment chaque kilomètre russe en cible potentielle.

Zelensky lâche sa bombe à l’ONU : « Donnez-moi les Tomahawk »

La demande tombe comme un couperet lors de la rencontre entre Zelensky et Trump en marge de l’Assemblée générale de l’ONU : le président ukrainien réclame officiellement des missiles Tomahawk, révélant l’audace croissante d’un dirigeant qui ne craint plus de demander l’arme qui pourrait déclencher la Troisième Guerre mondiale. Cette requête révèle que Zelensky a franchi le Rubicon psychologique où il ne calcule plus les risques d’escalade mais mise tout sur la capacité de terrifier Poutine.

Cette demande révèle également l’évolution de la stratégie ukrainienne qui comprend que seule la menace existentielle contre Moscou peut contraindre le Kremlin à négocier. Cette radicalisation révèle que Kiev a abandonné l’illusion d’une victoire par épuisement pour embrasser la logique de la terreur mutuelle comme seul chemin vers la paix.

JD Vance confirme : « Trump va trancher »

Le vice-président américain JD Vance révèle le dimanche 28 septembre que l’administration Trump « examine activement » la demande ukrainienne, confirmant que le président prendra lui-même la décision finale. Cette révélation révèle que Washington considère sérieusement l’option la plus explosive de toute la guerre ukrainienne.

Cette confirmation révèle également l’évolution spectaculaire de la posture trumpiste qui passe de la promesse de paix en 24 heures à l’armement maximal de l’Ukraine contre la Russie. Cette volte-face révèle que même Trump a compris que Poutine ne respecte que la force et que seule l’escalade peut ramener Moscou à la raison.

Keith Kellogg enfonce le clou : « Il n’y a pas de sanctuaires »

L’envoyé spécial de Trump pour l’Ukraine, Keith Kellogg, confirme sur Fox News que l’administration a déjà autorisé Kiev à frapper profondément en Russie, ajoutant la formule terrifiante : « Il n’y a pas de sanctuaires ». Cette déclaration révèle que Washington a officiellement abandonné le concept de zones protégées en territoire russe.

Cette formule révèle également l’évolution doctrinale américaine qui considère désormais l’ensemble du territoire russe comme cible potentielle légitime dans cette guerre. Cette totalisation du conflit révèle que nous entrons dans l’ère où aucun endroit n’est plus à l’abri quand la guerre devient absolue.

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