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La Chine lance la construction du monstre nucléaire : le supercarrier qui veut pulvériser la suprématie de l’US Navy
Credit: Adobe Stock

Le choc qui ébranle Washington

Ce vendredi 3 octobre 2025, une nouvelle fracassante électrise le Pentagone et glace les stratèges américains : la Chine a officiellement commencé la construction de son quatrième porte-avions, le Type 004, un supercarrier à propulsion nucléaire qui pourrait déplacer entre 110 000 et 120 000 tonnes. Ce mastodonte, confirmé par des images satellites révélées le 29 septembre par des analystes de défense, ne serait pas seulement le plus grand navire de guerre jamais construit en Asie — il pourrait rivaliser directement avec les géants de la classe Gerald R. Ford de l’US Navy, voire les surpasser. Un tremblement de terre géopolitique, une rupture stratégique qui redéfinit l’équilibre des puissances maritimes mondiales. Pékin ne cache plus ses ambitions : transformer la Marine de l’Armée populaire de libération en une force océanique globale, capable de projeter sa puissance sur tous les océans de la planète, de contester la domination américaine établie depuis 1945.

Les images satellites du chantier naval de Dalian révèlent l’ampleur du projet : grues industrielles titanesques, sections de coque préfabriquées, infrastructures renforcées pour accueillir un navire à propulsion nucléaire. La cérémonie de pose de la quille aurait eu lieu au cours des derniers mois, marquant le début formel d’un programme qui mobilise des ressources colossales, des milliers d’ingénieurs, toute la chaîne industrielle chinoise. Le Type 004 sera équipé de catapultes électromagnétiques EMALS, du même type que celles installées sur les Ford américains, permettant de lancer des avions plus lourds et plus nombreux que jamais. Son groupe aérien embarqué pourrait compter plus de 90 appareils : chasseurs furtifs J-35, chasseurs multirôles J-15T, avions de guet aérien KJ-600, hélicoptères anti-sous-marins, drones de combat. Un arsenal aérien capable de dominer n’importe quel théâtre d’opérations, de contester la suprématie américaine dans le Pacifique, et au-delà. Le monde assiste, sidéré, à la naissance d’un nouveau titan des mers — et à l’émergence d’une rivalité navale qui pourrait définir le XXIe siècle.

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