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Les cinq signes terrifiants que Trump prépare la guerre contre le Venezuela : Maduro mobilise, l’Amérique frappe
Credit: Adobe Stock

Le crépuscule des illusions pacifiques

Ce vendredi 3 octobre 2025, le monde retient son souffle face à une escalade vertigineuse dans les Caraïbes. Des jets furtifs F-35 américains survolent les côtes vénézuéliennes à seulement 75 kilomètres de distance — bien au-delà des eaux territoriales mais suffisamment près pour que Caracas hurle à la provocation militaire. Le ministre de la Défense vénézuélien Vladimir Padrino, le visage crispé devant les caméras d’État, dénonce une « incursion illégale » et un « harcèlement militaire » orchestré par Washington. Pendant ce temps, à des milliers de kilomètres, le président Donald Trump multiplie les déclarations martiales, affirmant que les États-Unis sont désormais en « conflit armé » contre les cartels de drogue opérant depuis le Venezuela — une qualification juridique explosive qui ouvre la voie à des frappes militaires sans l’aval du Congrès. Les navires de guerre américains patrouillent dans les Caraïbes, les Marines s’entraînent à Porto Rico, les sous-marins d’attaque rodent dans les profondeurs, et Nicolas Maduro — président socialiste autoritaire vilipendé par Washington — prépare son pays à l’impensable.

Depuis début septembre 2025, les États-Unis ont frappé au moins quatre embarcations suspectes dans les eaux caribéennes, tuant plus de 17 personnes que Trump qualifie de trafiquants de drogue liés au régime vénézuélien. Mais Caracas crie au meurtre, dénonce des exécutions extrajudiciaires de pêcheurs innocents, mobilise des milices civiles par milliers, organise des défilés militaires dans les rues de la capitale, et menace d’instaurer un état d’urgence national autorisant Maduro à fermer les frontières, militariser l’économie, et transformer le Venezuela en « république en armes ». Les analystes militaires du monde entier scrutent fébrilement cinq indicateurs clés qui, pris ensemble, dessinent le portrait glaçant d’un conflit imminent — une guerre qui pourrait embraser toute l’Amérique latine, déstabiliser les marchés pétroliers mondiaux, déclencher une crise humanitaire catastrophique, et plonger deux nations dans un gouffre de violence dont personne ne sortira indemne. Les paris des prévisionnistes géopolitiques donnent désormais une chance sur trois que les États-Unis lancent une forme d’opération militaire majeure contre le Venezuela avant la fin de l’année 2025. Le compte à rebours a commencé — et personne ne sait comment l’arrêter.

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