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Blackout à Belgorod : la Russie frappée en plein cœur, panne massive, panique et humiliation électrique
Credit: Adobe Stock

Un coup de poing dans l’ombre. Un écho sanglant entre ciel et steppe. Belgorod, ville frontière, plongée dans le noir total après une frappe ukrainienne ciblée sur ses infrastructures énergétiques. Près de 40 000 Russes privés d’électricité, des hôpitaux fonctionnant en mode survie, des écoles désorganisées, des habitants révoltés devant l’impuissance du Kremlin à protéger ses propres foyers à quelques kilomètres de la frontière. L’événement dépasse de loin le simple désagrément hivernal : c’est une alerte rouge. La guerre, désormais, ne connaît plus de sanctuaire. Elle frappe la Russie de l’intérieur, rappelle à Moscou, brutalement, que la riposte ne se joue plus à distance. Pour la population de Belgorod, le choc est total : la lumière s’éteint, la peur grandit, la colère éclate sous la couche glacée de l’humiliation nationale.

Ce n’est plus seulement l’Ukraine qui souffre des coupures, mais la Russie du quotidien qui paye la note de ses propres offensives. Ironie stratégique ? Effet miroir d’une folie qui ruisselle des tours du Kremlin jusqu’aux quartiers résidentiels de l’oblast ? Cet événement signe un basculement. On ne bombarde plus l’autre sans risquer la tempête à la maison. Une nouvelle ère débute, où la fragilité du pouvoir se lit dans la capacité à maintenir une ampoule allumée, un hôpital opérationnel, un peu d’ordre derrière les rideaux tirés sur la sidération collective.

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