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1400 kilomètres de vengeance : l’Ukraine met le feu aux entrailles de la Russie
Credit: Adobe Stock

Dans la nuit du 13 au 14 octobre 2025, l’Ukraine a frappé avec une précision chirurgicale au cœur même de l’infrastructure russe. Le terminal pétrolier de Feodosia en Crimée occupée s’est embrasé sous l’impact des drones ukrainiens, tandis que 11 réservoirs de carburant se transformaient en brasier géant. Parallèlement, des missiles Flamingo ukrainiens pulvérisaient une base du FSB en Crimée, creusant des cratères de 15 mètres de diamètre. Ces frappes simultanées, menées à plus de 250 kilomètres des lignes ukrainiennes, marquent une escalade sans précédent dans cette guerre énergétique qui transforme chaque raffinerie russe en cible prioritaire. L’Ukraine démontre une fois de plus que nulle part en Russie n’est désormais à l’abri de sa longue main vengeresse.

Imaginez cette scène d’apocalypse : à minuit pile, le ciel de Feodosia s’illumine d’une lueur orange infernale. Le plus grand terminal pétrolier de Crimée, capable de stocker 250 000 tonnes de carburant, devient un brasier géant visible à des kilomètres à la ronde. Les sirènes hurlent, les défenses antiaériennes russes tentent désespérément d’intercepter l’essaim de drones ukrainiens, mais c’est trop tard—l’enfer s’est abattu sur la péninsule occupée. Cette nuit du 13 octobre restera gravée dans l’histoire comme celle où l’Ukraine a prouvé qu’aucun territoire russe, si éloigné soit-il, n’échapperait à sa détermination implacable.

Le Service de sécurité ukrainien (SBU) revendique cette frappe avec une fierté manifeste, déclarant par la voix de ses sources que ses drones ont « touché au moins cinq réservoirs » de carburant. Cette précision technique masque à peine la satisfaction stratégique : chaque litre de carburant détruit représente un missile russe de moins contre l’Ukraine, un blindé immobilisé, un avion cloué au sol.

L’embrasement de Feodosia : un spectacle d’apocalypse

Le terminal maritime de Feodosia, joyau logistique de l’occupation russe en Crimée, s’est transformé en fournaise dantesque. Onze des dix-sept réservoirs de stockage ont été touchés, dont dix étaient pleins de carburant au moment de l’impact. La chaîne Telegram « Vent de Crimée » rapporte que « le feu ne s’arrêtera que lorsque tout le carburant aura brûlé« , une perspective qui promet des journées d’incendie incontrôlable. Les images satellites de la NASA confirment l’ampleur du désastre : plusieurs foyers actifs illuminent le site industriel dans une danse macabre de flammes et de fumée noire.

La précision létale des drones ukrainiens

Cette attaque révèle la sophistication croissante des capacités ukrainiennes de frappe à longue portée. Plus de 20 drones ont participé à l’assaut sur Feodosia, selon les autorités d’occupation russes. Chaque drone, guidé par GPS avec une précision métrique, a trouvé sa cible malgré les défenses antiaériennes russes. Cette capacité à coordonner des attaques multiples simultanées témoigne d’un niveau d’expertise militaire que même les plus optimistes n’auraient osé imaginer au début du conflit.

L’onde de choc psychologique

Au-delà des dommages matériels, cette frappe produit un effet psychologique dévastateur sur la population russe de Crimée. Les résidents de Feodosia rapportent que « la lueur de l’incendie était visible depuis toute la ville« , transformant une nuit ordinaire en cauchemar apocalyptique. Cette réalité brutale rappelle aux Criméens que leur péninsule, annexée illégalement en 2014, demeure un territoire en guerre où la mort peut surgir du ciel à tout moment.

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