Chronique : Les «Fantômes» frappent encore, l’Ukraine détruit le cerveau de la défense russe
Auteur: Kevin Marcoux
    Le 92N6E: l’œil qui voit mille kilomètres, maintenant aveugle et muet
Je dois expliquer ce qu’est ce radar. Selon les spécialistes militaires cités par United24media du 2 novembre: le 92N6E n’est pas juste un équipement. C’est le système nerveux central d’une armée aérienne. Il voit jusqu’à 300 kilomètres. Il peut suivre plus de 100 cibles simultanément. Il commande. Il dirige. Il tue. Et la nuit du 1er novembre, les Fantômes du DIU le réduisent en cendres.
Pourquoi c’est important? Parce que — selon tous les rapports — sans le 92N6E, le S-400 n’est qu’une machine inerte. C’est comme coupez les yeux d’un guerrier. Il peut encore avoir des armes. Mais il ne verra plus jamais son ennemi. Et sans vision, les missiles restent au sol. Ou ils volent vers le vide. Et tous les autres systèmes de défense russe en Crimée — le Buk, le Tor, tous les autres — ils perdent le flux de données qui les maintenait vivants.
L’alimentation autonome: la corde ombilicale que les Fantômes ont coupée
Et puis il y a ce détail qui tue réellement les rêves russes. L’équipement d’alimentation autonome du poste de commandement. Selon Ukrinform du 2 novembre: ce système est ce qui permet au poste de fonctionner sans dépendre des générateurs externes ou de l’électricité civile. C’est l’indépendance. C’est l’autonomie. C’est ce qui fait que le poste peut rester opérationnel même sous bombardement. Même sans routes. Même dans le chaos.
Sauf que maintenant, il ne fonctionne plus. Et cela signifie: pour reconstruire ce poste, la Russie doit envoyer des équipes de reparation. Ces équipes devront venir de Russie. Elles devront traverser des kilomètres de territoire hostile. Elles devront transporter de l’équipement massif. Et tout cela — tout cela — pendant que les Fantômes les regardent. Pendant que les drones les suivent. Pendant que les missiles attendent.
Le AORL-1AS: le radar d'aérodrome qui ne surveillera plus jamais les pistes
    Voir chaque drone à 500 kilomètres: maintenant c’est silence éternel
Et puis il y a l’AORL-1AS. Le radar que personne ne mentionne suffisamment selon les analystes militaires cités par United24media du 2 novembre. C’est le système qui voit les aérodromes ennemis. C’est l’alerte précoce qui dit: attention, les drones arrivent. C’est le gardien des aérodromes russes. Et les Fantômes l’ont anéanti.
Pourquoi? Parce que selon tous les rapports d’intelligence du 2 novembre: les Ukrainiens planifient une offensive sur les aérodromes russes en Crimée. Et pour réussir cette offensive, il faut d’abord aveugler les gardiens. Il faut éliminer les radars qui voient arriver les drones. Il faut créer des couloirs de silence. Et la nuit du 1er novembre, les Fantômes créent ces couloirs en détruisant l’AORL-1AS.
Les Fantômes: qui sont ces hommes qui volent dans la nuit
    L’unité Prymary: les meilleurs combattants que l’Ukraine possède, envoyés en Crimée
Je dois parler de ces hommes. Parce que — selon tous les rapports du DIU cités par Ukrinform et United24media du 2-3 novembre — les Fantômes ne sont pas des civils qui ont touché à un drone. Ce sont l’élite militaire ukrainienne. L’unité Prymary du Directeur de l’intelligence défense. Formés pour les opérations de précision. Formés pour frapper les cibles les plus difficiles. Formés pour survivre à l’impossible.
Et la nuit du 1er novembre, ils font exactement ce pour quoi ils ont été formés. Selon les vidéos du DIU cités par Ukrinform du 2 novembre: les drones volent en formation. Ils évitent les missiles anti-aériens russes. Ils se dispersent quand la défense anti-aérienne s’active. Puis ils convergent de nouveau. Et ils frappent avec une précision qui semble surnaturelle.
Octobre: trois radars S-400 détruits, la Crimée devient un cimetière électronique
Mais voilà ce qui terrife vraiment la Russie. Selon tous les rapports d’octobre cités par YouTube et le DIU lui-même en octobre 2025: les Fantômes ont déjà détruit 3 radars du S-400 en octobre. Trois! Et maintenant en novembre — le 2 novembre précisément — ils en ajoutent un quatrième. Et peut-être un cinquième.
C’est un pattern. C’est une campagne systématique. Et c’est déterminé. Selon les analystes de la Fondation Carnegie et de l’Institut pour l’étude de la guerre cités par YouTube: la Russie ne peut plus remplacer les radars aussi vite que les Fantômes les détruisent. Chaque mois qui passe, il en reste moins. Chaque operation des Fantômes réduit l’avantage russe. Et bientôt — peut-être très bientôt — la Crimée sera ouverte aux attaques aériennes ukrainiennes comme jamais auparavant.
Les conséquences: que signifie la mort de ce poste de commandement
    Sans yeux, sans oreilles: le S-400 devient une sculpture de métal, 200 kilos de métal inutile
Je vais être brutal. Selon tous les analystes militaires cités par United24media du 2 novembre: un S-400 sans le poste de commandement 92N6E n’est rien. C’est 200 kilos de métal. C’est un monument à l’impuissance. C’est un témoignage de la défaite russe. Parce que sans le 92N6E pour dire «tir», sans les ordres qui viennent du poste de commandement, les missiles ne partent jamais.
Et c’est stratégiquement catastrophique pour la Russie. Parce que — selon tous les rapports — les S-400 russes en Crimée forment un réseau. Ils partagent les données. Ils se couvrent les uns les autres. Quand un tombe, tous les autres doivent changer leur tactique. Tous les autres doivent adapter leur défense. Et le système entier devient légèrement plus faible. Un peu plus vulnérable.
Les drones des Fantômes: les prédateurs sans pitié qui ne s’arrêtent jamais
Et voilà ce qui terrifie Moscou. Selon le DIU lui-même cité par Ukrinform du 2 novembre: les Fantômes vont frapper de nouveau. Ce ne sont pas des vantardises. Ce sont des promesses. Et la vidéo que le DIU a postée le 2 novembre le montre clairement: les drones volent. Ils cherchent. Ils trouvent. Et ils détuisent.
Conclusion
    L’Ukraine a volé le ciel de la Crimée occupée. Pas complètement. Pas encore. Mais la nuit du 1er novembre, les Fantômes prennent un morceau du ciel. Un radar à la fois. Un poste de commandement à la fois. Et bientôt — peut-être très bientôt — il ne restera plus rien pour empêcher les missiles ukrainiens de voler librement.
Je vais te dire ce que cela signifie réellement — la Russie perd le contrôle de ce qu’elle croyait avoir contrôlé. La Crimée, autrefois forteresse russe, devient de plus en plus exposée. Et chaque nuit que les Fantômes passent à frapper, c’est une nuit de plus vers la rédemption pour l’Ukraine.
Encadré de transparence du chroniqueur
    Je ne suis pas journaliste, mais chroniqueur, analyste observant comment les drones changent le cours des guerres. Mon travail consiste à décortiquer les tactiques d’élite comme les Fantômes, à comprendre comment les radars meurent, à saisir l’importance du cerveau nerveux militaire. Je ne prétends pas à l’objectivité froide — je revendique l’engagement total avec la réalité que chaque drone qui frappe est une victoire morale et stratégique.
Ce texte respecte la distinction fondamentale entre faits vérifiés et commentaires interprétatifs. Les informations factuelles présentées dans cet article proviennent de sources officielles et vérifiables, notamment la déclaration officielle du DIU (Defense Intelligence Directorate) de l’Ukraine cité par Ukrinform, RBC Ukraine et United24media du 2-3 novembre 2025, les rapports confirmant la destruction du poste de commandement S-400 Triumf avec le 92N6E multifunctional radar selon tous les médias du 2 novembre, l’équipement d’alimentation autonome détruit selon Ukrinform du 2 novembre, la destruction du radar AORL-1AS et du P-18 Terek selon tous les rapports du 2 novembre, les images et vidéos du DIU publiées le 2 novembre montrant la frappe, les informations sur l’unité Prymary «Fantômes» selon Ukrinform du 2 novembre, les trois radars S-400 détruits en octobre selon YouTube et le DIU lui-même en octobre 2025, et les analyses des conséquences tactiques selon United24media du 2 novembre 2025.
Les analyses et interprétations contextuelles présentées dans cet article représentent une synthèse critique basée sur les informations disponibles et les commentaires d’experts militaires cités par la Fondation Carnegie, l’Institut pour l’étude de la guerre et les analystes militaires professionnels. Mon rôle est d’interpréter ces faits, de les contextualiser dans la stratégie globale de démantèlement de la défense aérienne russe, de révéler ce que la mort du 92N6E signifie vraiment pour le contrôle aérien russe en Crimée. Toute évolution ultérieure de la situation pourrait modifier les perspectives présentées ici. Cet article sera mis à jour si de nouvelles opérations majeures des Fantômes sont annoncées, si d’autres systèmes S-400 sont détruits, ou si de nouveaux développements dans la campagne de démantèlement de la défense anti-aérienne russe sont publiés après le 3 novembre 2025.