La menace invisible
Le 21 novembre 2025, Reuters révèle l’impensable. Les États-Unis menacent officiellement de couper l’intelligence et les armes si l’Ukraine refuse le plan d’ici jeudi prochain. C’est écrit. Noir sur blanc. Deux sources proches de la situation confirment. L’administration Trump applique une pression sans précédent. Plus forte qu’avant. Plus brutale. Plus cynique. Les responsables américains l’ont dit directement à Zelensky et son équipe. Pas de signature de cadre d’accord ? Fini. L’aide s’arrête. Tout. Les sources affirment que les États-Unis signalent que « toutes les options pourraient être retirées ». Une formule généreuse pour dire : vous allez perdre ce qui vous permet de survivre. C’est la négociation à la Mafia. Tu acceptes ou on te casse les jambes. Sauf qu’ici, on ne casse pas les jambes. On arrête la circulation sanguine. On tue à petit feu. Une source anonyme a déclaré à Reuters : « Ils veulent arrêter la guerre et s’attendent à ce que l’Ukraine en paie le prix« . Le ton est froid. Administratif. C’est juste du business. De la realpolitik. Zelensky doit décider avant Thanksgiving. Avant jeudi. Entre dignité et apocalypse. Entre honneur et extinction. Les généraux américains, le secrétaire à l’Armée Daniel Driscoll, se sont présentés à Kiev. Jeudi dernier. Avec le plan en main. Vingt-huit points comme une sentence de mort. Driscoll a écouté les objections de Zelensky. Il a noté les amendements proposés. Puis il a dit que certains ajustements étaient possibles. « Certains ». Pas précisé lesquels. C’est délibéré. C’est pour maintenir le doute. Pour maintenir la pression.
J’imaginerais pas être à la place de Zelensky en ce moment. Recevoir un ultimatum d’un allié. D’un partenaire censé te soutenir. C’est une trahison d’un autre ordre. Une traîchise familière mais dévastatrice quand même.
Thanksgiving ou l’apocalypse
Jeudi prochain. Le 27 novembre 2025. Thanksgiving aux États-Unis. La fête de la moisson. De la gratitude. Que du cynisme. C’est la date limite fixée par Trump lui-même. Un délai de six jours. Six. Pas une semaine. Pas du temps pour réfléchir. Pas du temps pour négocier sérieusement. Juste six jours pour accepter la mort de ton pays. Les sources ont confirmé à Reuters que l’administration américaine vise un accord d’ici jeudi. Trump l’a dit publiquement sur Fox News Radio. « Jeudi, nous croyons, est un moment approprié« . Les paroles du président. Pas une hypothèse. Une déclaration. Un fait accompli. Il a aussi ajouté que l’Ukraine « perdra » ces territoires de toute façon dans peu de temps. Perdra. Le mot résonne. L’Ukraine perd déjà. Elle perd Kupyansk. Elle perd ses soldats. Elle perd du terrain à chaque jour. Trump sait ça. Il presse Zelensky d’accepter maintenant. Avant que la débâcle ne s’accélère. Avant que tout ne s’effondre complètement. Peskov, le porte-parole du Kremlin, applaudit silencieusement. Il a dit que les opérations russes efficaces devraient convaincre Zelensky que négocier maintenant est préférable à attendre. Les Russes avancent. Les Ukrainiens reculent. L’équation est simple. Brutale. Mathématique. Avec chaque jour qui passe, l’Ukraine perd du terrain. Environ cinq mille kilomètres carrés en 2025. C’est énorme. Les avancées s’accélèrent. En Donetsk. En Zaporizhzhia. Maintenant à Kharkiv. Les Russes flairent la victoire. Ils voient l’hémorragie. Ils sentent le moment approcher. Trump aussi.
L'arme du silence : comment l'intelligence tue
Sans données satellites, une armée devient aveugle
L’intelligence n’est pas un plus. Ce n’est pas un supplément. C’est la base de tout. Absolument tout. Les satellistes américaines voient tout. Elles voient les mouvements russes avant même que les Russes ne sachent ce qu’ils font. Elles voient les concentrations de troupes. Les alignements d’artillerie. Les convois de ravitaillement. Les lanceurs de roquettes multiples. Les chargements d’essence. Tout. En temps réel. Les données arrivent à Kiev. Dans les commandements. Dans les postes de tir. Directement. Les batteries d’artillerie ukrainiennes qui ont terrifiés les Russes au début de la guerre ? C’était grâce à ça. Grâce à l’intelligence américaine. Les drones frappaient juste. Les roquettes volaient droit. Les batteries se déplaçaient avant que la contre-batterie russe ne les trouve. C’est le secret de la précision. C’est le secret de la survie. Sans ça, chaque tir est une devinette. Une prière. Une chance de ne pas revenir. Les États-Unis ont coupé l’intelligence une fois déjà. En mars 2025. Une semaine. Pas même une semaine. Trois jours. Et ça a suffi. La disette. La famine. Les analystes disent que c’était « catastrophique« . Les commandants ukrainiens n’ont pas pu coordonner. Ils n’ont pas pu voir les mouvements ennemis. Les Russes ont eu une fenêtre de libre. Une fenêtre pour organiser. Pour concentrer. Pour frapper. Quand l’intelligence a repris, c’était comme sortir de la nuit. La lumière. Toute la clarté. Ukraine savait ce qu’elle avait perdu. Elle savait que sans ça, c’était fini. La CIA director John Ratcliffe l’a avoué. Il a dit qu’il y avait des raisons « légitimes » pour cette pause. Que Trump voulait que Zelensky « réfléchisse ». Et il a réfléchi. Vite. Très vite. Parce qu’il savait le coût. Le prix réel.
Regardez ça : une nation entière qui peut être réduite au silence avec un simple appel. C’est terrifiant. Et terrifiant de réaliser que c’est devenu normal. Que c’est devenu une arme acceptée. Utilisée sans culpabilité.
Les missiles sans direction : une mort inutile
Sans l’intelligence américaine, les armes deviennent des métaux inutiles. De la quincaillerie. Les HIMARS ? Puissants. Mais sans données satellites pour corriger les tirs, ce sont des canons aveugles. Les Stormshadow ? Impressionnants. Mais sans les coordonnées exactes, ce sont des roquettes perdues. Les drones de reconnaissance qui survolent les lignes russes et reviennent avec des images ? Ils existent. Mais sans les données satellites pour contexte, pour analyse, pour ciblage, ce ne sont que des photos. Des photos obsolètes. Dès qu’elles arrivent, tout a changé. Tout a bougé. Les Russes savent ça. Ils bougent constamment. Ils changent de positions. Ils camouflent. Ils dispersent. Les Ukrainiens, eux, ont besoin de voir avant. De prédire. De savoir d’avance. C’est la différence entre un chasseur avec des jumelles infrarouges et un chasseur qui tire dans le noir. L’un tue. L’autre meurt. Les sources militaires l’ont confirmé. Quand l’intelligence s’arrête, les pertes explosent. Les erreurs se multiplient. Les tirs deviennent hésitants. Les commandants doivent improviser. Et l’improvisation à la guerre, c’est la mort. Organisée. Méthodique. Prévisible. Les batteries de short-range de l’Ukraine peuvent voir leurs cibles directs. Elles peuvent se battre. Mais les systèmes à longue portée ? Les ATACMS ? Les Scalp ? Ils ont besoin d’intelligence. Besoin de ciblage. Besoin de la lumière satellites. Une étude du centre Belfer de Harvard l’affirme : perdre l’intelligence partage américain serait « catastrophique » pour Ukraine. Catastrophique. C’est le mot. Pas grave. Pas difficile. Catastrophique. C’est dire que c’est la fin. Une fin lente. Une fin certaine.
Les sirènes d’alerte sans données : des civils vulnérables
L’intelligence américaine fait plus que cibler. Elle sauve des vies civiles. Les sirènes d’alarme en Ukraine ? D’où viennent les alertes ? Des satellites américains. Elles voient les missiles russes lancés avant même qu’ils ne quittent les bases aériennes russes. Avant qu’ils ne traversent la frontière. Les données arrivent. Presque en temps réel. Les Ukrainiens ont une, deux minutes. Trois minutes. C’est suffisant pour que les civils trouvent un bunker. Trouver une cave. Descendre aux étages inférieurs. Mettre une table sur la tête. Ça sauve des vies. Des milliers. Les enfants arrivent à école. Les parents arrivent au travail. Les gens font leurs courses. Et puis : alerte. La sirène crie. Les gens courent. Pas de panique. De la routine. Triste mais routine. Parce qu’il y a du temps. Parce que les satellites font leur travail. Elles voient venir la mort. Et elles l’annoncent. Sans cette intelligence, c’est l’aveugle qui frappe. Les Russes tirent. Les missiles arrivent. Et puis boum. On compte après. On compte les morts. On compte les blessés. Le 21 novembre 2025, les Russes ont lancé une attaque massive sur l’électricité. Quand l’intelligence coulait librement, les Ukrainiens savaient quand elle venait. Ils avaient du temps pour renforcer les défenses. Pour mettre les civils à l’abri. Maintenant, sans elle, l’Ukraine devient vulnérable. Exposée. Nue. Des millions sans électricité. Sans chauffage en hiver qui approche. Des enfants qui frissonnent dans des appartements congelés. Tout parce que Trump coupe l’information.
Le plan qui asphyxie : vingt-huit points pour étouffer
Les territoires qui disparaissent
Le plan de Trump a vingt-huit points. Vingt-huit sentences. Le point 21 parle des territoires. C’est le cœur. Le coup fatal. Crimée, Luhansk et Donetsk seront reconnus comme de facto russes. Par tout le monde. Même par les États-Unis. C’est l’avalisation. C’est le sceau du nouvel ordre. Ukraine contrôle encore 14,5 pourcent du Donbas. Quatorze virgule cinq. Mais ça ne compte pas. Les Russes contrôlent 75 pourcent de Zaporizhzhia et Kherson. Ces régions gèlent. Le status quo devient permanent. Le « gelé » signifie que rien ne change. Jamais. Pas de possibilité de reprendre. Pas d’espoir. C’est de facto l’amputation de l’Ukraine. Trois régions. Trois morceaux découpés. Pas d’amputation. C’est une vivisection. Le plan dit aussi que les forces ukrainiennes se retirent des zones qu’elles contrôlent en Donetsk. Actuellement. Tout de suite. Et ces zones deviennent une « zone neutre démilitarisée« . Reconnue comme appartenant à la Russie. C’est du labyrinthe juridique. C’est du sophisme. Mais le résultat est clair : Ukraine perd. Les Russes gagnent. Presque cinquante mille kilomètres carrés de territoire. D’agriculture. De ressources. D’histoire. Disparus. Effacés. On ne les récupère jamais. Jamais. Dans les prochains siècles. Les enfants ukrainiens grandiront avec ça. « C’était à nous avant ». Passé. Fini. Mort. Trump dit que les Russes avanceront de toute façon. Qu’il faut accepter maintenant pour limiter les dégâts. Mais c’est un mensonge. Une façon de justifier l’injustifiable. Les analystes militaires disent qu’au rythme actuel, il faudrait à la Russie encore quatre ans pour prendre ce que Trump veut lui donner maintenant. Quatre ans. Le temps de mobiliser. De renforcer. D’organiser. Mais Trump veut raccourcir. Il veut signer maintenant. Avant Noël. Avant l’année.
Je pense à Kharkiv. À Donetsk. À tous ces endroits qui vont appartenir aux Russes. Aux gens qui y vivaient. Qui en sont partis. Qui ne pourront jamais revenir. C’est une génocide. Pas au sens génocide physique. Mais une amputation. Une amputation culturelle. Une mort lente.
L’armée réduite à l’impuissance
L’Ukraine a actuellement environ 880 mille soldats. Peut-être 900 mille. C’est énorme. C’est la mobilisation totale. C’est une nation en armes. Le plan dit : réduisez à 600 mille. Réduisez. Deux cent quatre-vingts mille guerriers en moins. Cent mille de moins que ce que tu as maintenant. C’est un tiers de l’armée qui disparaît. Poof. Part. Ou rentre à la maison et se fait licencier. Ces hommes qui ont trois ans de guerre. Trois ans de trauma. Trois ans d’horreur. On les renvoie. Sans pension. Sans structure psychologique. Sans suivi. Les blessés. Les mutilés. Les hommes dont les mains tremblent. Dont la tête ne marche plus. On les renvoit à la vie civile. Impréparés. Cassés. Et puis, il y a le désarmement. L’Ukraine obtient les ATACMS. Les missiles français Scalp. Elle apprend à les utiliser. Elle se bat. Elle survit. Et maintenant, on lui dit de réduire son arsenal. De remettre les armes longue portée. De garder que la courte portée. C’est désarmer face au prédateur. C’est mettre une cage à un lion et lui dire que c’est pour sa protection. Les garants de sécurité que propose Trump ? Flous. Vagues. Impécis. Pas clarifié. Qui va défendre Ukraine si la Russie attaque à nouveau ? Les États-Unis ? Non, il dit qu’il se retire de l’Europe. La Pologne ? Elle n’a pas les forces. La France ? Elle dit que c’est aux Européens de décider ensemble. Ensemble on peut rien faire. C’est le consensus qui tue. C’est le comité que paralyse. Aucune force militaire forte n’est prête à dire : « Nous défendrons Ukraine militairement contre la Russie ». Aucune. Donc ces « garanties de sécurité » ? C’est du papier. Du vent. Des promesses mortes.
L’OTAN est interdite : l’enchaînement permanent
Le point 7 du plan est peut-être le plus pervers. Ukraine inscrira dans sa constitution qu’elle ne rejoindra jamais l’OTAN. Jamais. C’est permanent. C’est gravé dans le marbre. On peut pas changer ça plus tard. Aucune génération future ne pourra renégocier. C’est fini. Verrouillé. Pour toujours. Et l’OTAN promet d’exclure Ukraine de ses statuts. De dire non. Non, Ukraine ne pourra jamais nous joindre. Jamais. C’est une exclusion double. De dedans et de dehors. Ukraine veut être Européenne ? Bien. Elle peut rejoindre l’Union Européenne. Mais militairement ? Non. Elle est seule. Elle est orpheline de l’alliance militaire du continent. Elle reste avec la Russie comme voisin agressif. Sans alliés. Sans protection. C’est l’enfermement. C’est la condamnation à perpétuité. Les guerriers du passé l’ont compris. La neutralité forcée, ce n’est pas la paix. C’est l’esclavage politique. L’Ukraine dit qu’elle s’est rapprochée de l’OTAN pour une raison. Pour ne pas être seule face à la Russie. C’est du bon sens. C’est de la légitime défense. Mais Trump fout ça à la poubelle. Il dit non. Tu resteras neutre. Tu resteras faible. Tu resteras à la merci. La Russie sera à ta frontière. Avec ses missiles. Avec ses tanks. Avec ses intentions. Et tu devras juste… accepter. Prier.
L'ultimatum et ses précédents : la menace qui a déjà tué
Mars 2025 : le test du silence
Trump a déjà fait ça. Pas une fois. Il a coupé l’intelligence en mars 2025. Trois mois avant maintenant. Les raisons ? Il disait que Zelensky n’était pas prêt pour la paix. Que c’était trop dur. Que Zelensky refusait de négocier. Il y a eu une dispute à la Maison Blanche. Un cri-cri à l’Oval Office entre Trump et Zelensky. Zelensky a dit non aux conditions. Trump a dit fini. Lundi, les armes s’arrêtent. L’intelligence s’arrête. L’écoute interceptée s’arrête. Tout s’arrête. Les militaires ukrainiens ont panique. C’est quoi la stratégie maintenant ? Comment on se bat ? Comment on gère les mouvements russes ? Comment on défend ? C’était impossibilité. La panique. Une semaine c’est tout ce qu’il a fallu. Une semaine de silence pour que Zelensky cède. Il a mis une déclaration. « Je suis prêt pour la paix ». Boom. Le mercredi, 11 mars 2025, l’intelligence revient. Les armes recommencent. Mais ça a montré quelque chose à Trump. Ça a montré qu’il pouvait contrôler Zelensky avec ça. Que l’intelligence était l’arme suprême. Plus que les militaires. Plus que les finances. Plus que le politique. C’est l’arme. Le cutter. La guillotine politique. CIA director Ratcliffe l’a dit lui-même : « La pause va s’arrêter et nous allons travailler avec Ukraine épaule contre épaule ». Mais il a aussi dit pourquoi il y avait eu la pause : Trump avait des questions sur l’engagement de paix de Zelensky. Ratcliffe a utilisé le mot « pause ». Pas « arrêt ». Pas « suspension ». Pause. Comme si c’était temporaire. Comme si c’était un jeu. Comme si la vie de millions d’Ukrainiens c’était une pause à la télé. Trump et son équipe l’ont appris ce jour-là : l’intelligence, c’est le contrôle. C’est la soumission. C’est l’arme qui marche.
Je repense à ces sept jours où l’Ukraine était aveugle. Comment les généraux ont dû prendre des décisions sans infos. Comment les familles stressaient sans les alertes de sirène. Ça doit être terrifiant de savoir que tu peux être coupé du jour au lendemain par une décision d’un autre.
Le précédent des armes utilisées comme levier
Trump a aussi coupé les armes avant. C’est sa technique. Pas d’aide ? Accepte la paix. Pas de paix ? Pas d’aide. C’est du chantage politique. C’est de l’extorsion d’État. Mais légal. Autorisé. Accepté par les autres. Le Pentagone lui-même a mis une « pause » sur les livraisons d’équipement militaire qu’le Congrès avait approuvé en printemps 2024. Une pause. L’équipement restait dans les hangars. L’Ukraine attendait. Les Russes avançaient. Et Trump disait : « Vous voulez cet équipement ? Acceptez mon plan ». C’est de la manipulation à l’état pur. Et ça marche parce que l’Ukraine n’a pas le choix. Elle dépend. Elle est otage. C’est le mécanisme classique de la domination. Tu crées la dépendance. Puis tu utilises comme arme. Les Ukrainiens l’ont compris. Mais qu’est-ce qu’ils peuvent faire ? Refuser et mourir ? Accepter et perdre ? Il n’y a pas de troisième option. Il n’y a pas d’échappatoire. L’Europe essaie de créer une alternative. Les Français. Les Allemands. Les Britanniques. Ensemble. Mais c’est lent. C’est compliqué. C’est « la prise de consensus » qui n’aboutit à rien. Pendant ce temps, Trump utilise l’arme. Il la brandit. Il l’affûte. Et il attend que Zelensky craque. Que Zelensky accepte. Qu’il signe les points 21. Qu’il renonce aux territoires. Qu’il signe le point 7. Qu’il renonce à l’OTAN. Qu’il signe tout. Tout ce qui fait une Ukraine faible. Vaincue. Soumise.
Zelensky face à l'insoutenable : la révolte muette
Un homme encerclé par ses propres alliés
Zelensky est seul. C’est pas une phrase. C’est une réalité mathématique. À l’intérieur, il y a la corruption de cent millions de dollars qui explose. À l’extérieur, l’administration Trump le serre. Dessus, les pertes militaires qui s’accélèrent. Dessous, l’effondrement du moral des troupes. À gauche, les Européens qui disent « C’est pas notre guerre ». À droite, les États-Unis qui disent « Accepte ou crève ». Zelensky a proposé des amendements au plan. Driscoll a dit que « certains » pouvaient être négociés. Certains. Lesquels ? On sait pas. Flou. Délibéré. Ça laisse de l’espoir factice. Ça permet à Zelensky de penser qu’il peut changr quelque chose. Mais il ne peut rien changer. C’est un spectacle. Une pièce jouée. Les vrais points non-négociables ? Les points 7 et 21. La constitution. Les territoires. C’est ça ou rien. Trump a été clair. La date limite est jeudi. Pas vendredi. Pas lundi. Jeudi. Trump a aussi dit qu’il veut que la Russie accepte avant les deux semaines. Deux semaines. Donc même si Zelensky accepte jeudi, ça devra passer par les Russes. Et Poutine va traîner. Va demander plus. Va ajouter des exigences. Zelensky le sait. Mais il n’a pas le choix. Il doit accepter. Il doit signer. Il doit capituler. Parce que sans l’intelligence américaine, l’Ukraine s’effondre en trois mois. Six mois maximum. Et Trump le sait. Et Poutine le sait. Et Zelensky le sait.
Les révélations explosives du National Security Council
Un certain Rustem Umerov, conseiller de sécurité de Zelensky, a joué un rôle dans les négociations. Witkoff l’a rencontré en Miami en octobre. Umerov dit maintenant qu’il a juste participé logistiquement. Qu’il n’approuvait rien. Qu’il n’engageait personne. Dénégation complète. Mais le Wall Street Journal dit différemment. Selon le WSJ, Umerov a même amendé le point 26 du plan. Le point 26 parle de l’amnistie complète. Pour tout le monde. Pour tous les crimes. Pour les crimes de guerre russes. Pour la corruption ukrainienne. Une couverture totale. Et Umerov aurait changé ça ? Aurait essayé de l’adoucir ? La porte-parole de la Maison Blanche Karoline Leavitt a dit qu’Umerov supportait « la majorité du plan ». La majorité. Ça signifie qu’il s’oppose à certains points. Mais lesquels ? C’est secret. C’est caché. C’est intrigant. Et ça révèle quoi ? Que même le cercle rapproché de Zelensky est divisé. Que même ses plus proches collaborateurs se demandent si c’est acceptable. C’est un signe de fragmentation. De dislocation. Du commencement de la fin. Zelensky dois signer d’ici jeudi. Mais son propre conseil de sécurité hésite. C’est un cauchemar pour un leader.
Imaginez Umerov qui reçoit cet appel. Qui voit ce plan. 28 points qui amputes ton pays. Et il se demande : est-ce que je valide ça ou je refuse ? Est-ce que je trahis ma nation ou je trahis mon boss ? Il n’y a pas de bonne réponse. Il n’y a que des mauvaises.
L'Europe abandonnée : le concert des murmures
L’absence de réponse européenne
L’Europe reste silencieuse. C’est le pire silence. Le président du Conseil Européen Antonio Costa a dit qu’il n’avait pas reçu de communication officielle sur le plan américain. Pas de communication. On négocie le sort du continent sans lui demander son avis. L’Union Européenne essaie de trouver cent quarante milliards d’euros pour soutenir l’effort de guerre ukrainien. Cent quarante milliards. C’est énorme. C’est l’engagement total. Et pendant ce temps, Trump cède le contrôle à la Russie. Il gèle les conflits. Il réduit l’Ukraine à l’impuissance. Et l’Europe peut rien faire. Elle est paralysée. C’est comme regarder quelqu’un se noyer et être trop faible pour le sauver. Trop loin. Trop pauvre. Trop divisé. La France a parlé de déployer des troupes en Ukraine après l’accord. La Pologne a dit non. L’Allemagne a hésité. Et puis plus rien. Le silence. Les grands discours sur la défense collective ? Effacés. Les appels au déterminisme ? Oubliés. C’est l’absence de stratégie. C’est l’improvisaction face à la machine de Trump. Trump a dit clairement à l’OTAN : « Si vous ne payez pas vos factures, nous ne vous defendrons pas ». Si tu ne dépenses pas deux pourcent du PIB en défense, on se retire. C’est la logique du marché. C’est la transactionnel. C’est le fin de l’alliance comme projet politique. L’OTAN devient une assurance. Pas une valeur. Pas un principe. Une assurance qui n’est valide que si tu payes.
Le vide diplomatique
La diplomatie européenne est absente. Il n’y a pas d’ambassadeur spécial. Il n’y a pas de plan alternatif. Il n’y a pas de contrepoids à la machine Trump. L’Europe regarde. Elle attend. Elle espère que Trump va revenir à la raison. Mais il ne reviendra pas. Il a choisi son camp. Son allié. Sa stratégie. Et ce camp n’inclut pas l’Europe. Ce camp inclut la Russie. Ce camp inclut un nouvel ordre mondial où les Américains négocient directement avec les Russes. Et l’Europe ? Elle observe. Elle prend des notes. Elle prépare le plan B. Mais il n’y a pas de plan B. Il n’y a que la capitulation finale. L’Ukraine seule. Faible. Armée réduite. Territoire amputé. Pas d’allés. Pas d’avenir. Juste la survie. Le Kremlin a déclaré que si Ukraine accepte, les opérations russes changeront. Mais changement vers quoi ? Vers la paix ? Ou vers une reconstruction des forces pour la prochaine phase ? Poutine a promis que ça serait le dernier conflit en Ukraine. Poutine mentait. Il ment toujours. Un cessez-le-feu de six mois. Un an. Puis il réarme. Puis il attaque à nouveau. C’est le cycle de Poutine.
Conclusion
L’arme du silence. C’est ça qu’utilise Trump. C’est ça qu’il brandit sur Zelensky. Pas de bombe. Pas de missile. Juste l’absence de données satellites. L’absence d’interceptions. L’absence de lumière. Et Ukraine deviens aveugle. Sourde. Muette. Inoffensive. Six jours. Avant jeudi. Accepte le plan ou prépare-toi à l’apocalypse. C’est l’ultimatum. C’est la réalité. Trump utilise la menace. La pression. Le chantage politique. Et c’est efficace. Parce que Ukraine n’a pas le choix. Elle est trop faible. Elle est trop dépendante. Elle est trop seule. Zelensky doit décider. Jeudi. Avant Thanksgiving. Il doit accepter que Crimée soit russe. Que le Donbas soit gelé. Que l’OTAN soit interdit. Qu’l’armée soit réduite. Que la Russie gagne. Ou il peut refuser. Refuser et perdre l’intelligence. Refuser et voir l’Ukraine s’effondrer. C’est l’Hobson choice. C’est pas un choix. C’est une piégé. Et Zelensky est le prisonnier. Les alliés l’ont trahi. L’Europe regarde. Les États-Unis serrent. Et la Russie attend. Elle sait qu’elle a gagné. Pas militairement. Diplomatiquement. Trump a cédé. Il a accepté l’ordre russe. Il a imposa l’ordre russe. C’est la victoire de Poutine. Et le silence de l’intelligence américaine c’est la victoire de Moscou. Jeudi approche. Thanksgiving arrive. Et l’Ukraine disparaît.
Source : RT
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