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Chronique : L’arme suprême, Trump hausse le ton et étouffe l’Ukraine avec le silence
Crédit: Adobe Stock

La menace invisible

Le 21 novembre 2025, Reuters révèle l’impensable. Les États-Unis menacent officiellement de couper l’intelligence et les armes si l’Ukraine refuse le plan d’ici jeudi prochain. C’est écrit. Noir sur blanc. Deux sources proches de la situation confirment. L’administration Trump applique une pression sans précédent. Plus forte qu’avant. Plus brutale. Plus cynique. Les responsables américains l’ont dit directement à Zelensky et son équipe. Pas de signature de cadre d’accord ? Fini. L’aide s’arrête. Tout. Les sources affirment que les États-Unis signalent que « toutes les options pourraient être retirées ». Une formule généreuse pour dire : vous allez perdre ce qui vous permet de survivre. C’est la négociation à la Mafia. Tu acceptes ou on te casse les jambes. Sauf qu’ici, on ne casse pas les jambes. On arrête la circulation sanguine. On tue à petit feu. Une source anonyme a déclaré à Reuters : « Ils veulent arrêter la guerre et s’attendent à ce que l’Ukraine en paie le prix« . Le ton est froid. Administratif. C’est juste du business. De la realpolitik. Zelensky doit décider avant Thanksgiving. Avant jeudi. Entre dignité et apocalypse. Entre honneur et extinction. Les généraux américains, le secrétaire à l’Armée Daniel Driscoll, se sont présentés à Kiev. Jeudi dernier. Avec le plan en main. Vingt-huit points comme une sentence de mort. Driscoll a écouté les objections de Zelensky. Il a noté les amendements proposés. Puis il a dit que certains ajustements étaient possibles. « Certains ». Pas précisé lesquels. C’est délibéré. C’est pour maintenir le doute. Pour maintenir la pression.

J’imaginerais pas être à la place de Zelensky en ce moment. Recevoir un ultimatum d’un allié. D’un partenaire censé te soutenir. C’est une trahison d’un autre ordre. Une traîchise familière mais dévastatrice quand même.

Thanksgiving ou l’apocalypse

Jeudi prochain. Le 27 novembre 2025. Thanksgiving aux États-Unis. La fête de la moisson. De la gratitude. Que du cynisme. C’est la date limite fixée par Trump lui-même. Un délai de six jours. Six. Pas une semaine. Pas du temps pour réfléchir. Pas du temps pour négocier sérieusement. Juste six jours pour accepter la mort de ton pays. Les sources ont confirmé à Reuters que l’administration américaine vise un accord d’ici jeudi. Trump l’a dit publiquement sur Fox News Radio. « Jeudi, nous croyons, est un moment approprié« . Les paroles du président. Pas une hypothèse. Une déclaration. Un fait accompli. Il a aussi ajouté que l’Ukraine « perdra » ces territoires de toute façon dans peu de temps. Perdra. Le mot résonne. L’Ukraine perd déjà. Elle perd Kupyansk. Elle perd ses soldats. Elle perd du terrain à chaque jour. Trump sait ça. Il presse Zelensky d’accepter maintenant. Avant que la débâcle ne s’accélère. Avant que tout ne s’effondre complètement. Peskov, le porte-parole du Kremlin, applaudit silencieusement. Il a dit que les opérations russes efficaces devraient convaincre Zelensky que négocier maintenant est préférable à attendre. Les Russes avancent. Les Ukrainiens reculent. L’équation est simple. Brutale. Mathématique. Avec chaque jour qui passe, l’Ukraine perd du terrain. Environ cinq mille kilomètres carrés en 2025. C’est énorme. Les avancées s’accélèrent. En Donetsk. En Zaporizhzhia. Maintenant à Kharkiv. Les Russes flairent la victoire. Ils voient l’hémorragie. Ils sentent le moment approcher. Trump aussi.

Source : RT

Ce contenu a été créé avec l'aide de l'IA.

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