Les ATACMS ne sont pas simples. Ce n’est pas juste un missile. C’est un système. Une arme complète. Lancée par des HIMARS. Des véhicules de tir mobiles. Des systèmes de lancement versatiles. Les ATACMS peuvent avoir différentes charges utiles. Soit une unitary warhead. Un seul projectile massif qui explose en un point. Très précis. Très dévastateur. Soit des cluster munitions. Des centaines de petits projectiles qui se dispersent. Qui couvrent une large zone. Qui transforment une zone entière en champ de mines explosives. Pour frapper un training ground rempli de soldats. Pour frapper une zone de rassemblement. Les cluster munitions c’est l’arme idéale. Et c’est ce que l’Ukraine a apparemment utilisé. Les vidéos montrent quatre traînées distinctes dans le ciel. Quatre points d’impact. Les analystes voient les motifs caractéristiques. Les traces de dispersal. Les signatures visuelles des munitions en cluster se déployant. C’est irrétutable. C’est filmé. C’est confirmé. Les ATACMS ont frappé avec des munitions en cluster. Et c’est efficace. Terriblement efficace. Le Pogonovo training ground n’a pas d’abris massifs. Pas de bunkers profonds. C’est un terrain ouvert. Un espace de concentration. Les cluster munitions causent des dégâts massifs dans ce type d’environnement.
Les leçons de mai 2024 et l’efficacité des cluster munitions
L’Ukraine a déjà utilisé les ATACMS avec des cluster munitions. En mai deux mille vingt-quatre. Contre un terrain d’entraînement russe en Luhansk occupée. Les résultats étaient dévastateurs. Absolument catastrophiques pour les Russes. Des centaines de morts. Des équipements détruits. Des installations rasées. Les vidéos montraient l’ampleur. Les explosions secondaires. La destruction systématique. Et les Russes ne pouvaient rien y faire. Rien du tout. Leurs défenses étaient dépassées. Leurs abris insuffisants. Leurs tactiques inadéquates. Et maintenant c’est novembre deux mille vingt-cinq. Et l’Ukraine réplique le même schéma tactique. Même cible. Même type d’armes. Même effet. Mais cette fois c’est à Voronezh. C’est en territoire russe profond. C’est un signal. Un signal fort. L’Ukraine dit que ce qui a fonctionné en Luhansk fonctionnera partout. L’Ukraine dit que nulle part n’est sûr. L’Ukraine dit que les missiles arrivent. Et la Russie ne peut les arrêter.
Les cluster munitions. C’est la même arme qui a rasé le terrain d’entraînement russe en mai. Et maintenant l’Ukraine la utilise à Voronezh. C’est presque biblique comme cycle de destruction.
Le changement de politique de Trump et le déblocage des missiles
Biden il disait non. Non aux ATACMS sur le territoire russe. Non à la profondeur stratégique. Non à frapper Moscou et ses environs. Non aux risques d’escalade. Il y avait des limites. Des règles. Des restrictions géographiques. Ukraine devait rester dans son territoire. Devait utiliser les ATACMS contre les cibles à moins de cent soixante-cinq kilomètres. Les premiers ATACMS avaient cette portée limitée. Ensuite les ATACMS plus longs ont arrivé. Avec deux cents kilomètres de portée. Mais Biden refusait toujours. Refusait de laisser l’Ukraine les utiliser en Russie. De juillet deux mille vingt-quatre à janvier deux mille vingt-cinq. Biden a lentement changé d’avis. Seulement à la fin de son mandat. Pendant les derniers jours il a permis une grande attaque. Mais c’était l’exception. L’aberration. L’exception à la règle. Ensuite Trump arrive. Et les restrictions disparaissent. C’est soudain. C’est complet. C’est un revirement de cent quatre-vingts degrés. Pourquoi? C’est compliqué. Trump veut pressuriser la Russie. Trump veut montrer qu’il est du côté de l’Ukraine. Trump veut éviter l’image que c’est lui qui abandonne l’Ukraine. Trump fait un calcul politique. Et ce calcul dit oui aux ATACMS. Oui à la profondeur stratégique. Oui à la vengeance ukrainienne.
La symbolique du premier ATACMS sous Trump
C’est important. C’est très important. Que le premier ATACMS sous Trump soit lancé seulement trois mois après son arrivée. Que le premier ATACMS soit lancé contre un terrain d’entraînement qui symbolise l’invasion elle-même. Que le premier ATACMS soit lancé avec quatre missiles en simultané. C’est pas discret. C’est pas une tentative. C’est un statement. C’est une déclaration. C’est Trump qui dit à Poutine : je vais autoriser l’Ukraine à te frapper. C’est Trump qui dit à l’Europe : je soutiens l’Ukraine tactiquement. C’est Trump qui envoie un message à la Chine à l’Iran à la Corée du Nord : les États-Unis restent engagés. Le choix du terrain d’entraînement de Pogonovo c’est intentionnel aussi. Le choix de novembre dix-huit c’est le jour anniversaire de la première frappe ATACMS russe. Novembre dix-neuf deux mille vingt-quatre. Un an plus tard. Et maintenant ça recommence. Ça boucle. C’est cyclique. C’est comme si l’Ukraine remonte le temps. Revient aux moments clés. Frappe aux endroits symboliques. Et refuse de laisser la Russie oublier d’où vient la guerre.
Le symbolisme de Pogonovo. L’anniversaire. Le retour. C’est pas juste une attaque militaire. C’est un acte de mémoire. L’Ukraine rappelle d’où tout ça a commencé. Et frappé à nouveau à cet endroit.
La question des stocks et de la continuité de l'approvisionnement
Les stocks. C’est la grande question. L’Ukraine a reçu environ cinquante ATACMS. Elle en a utilisé pas mal en deux mille vingt-trois et deux mille vingt-quatre. Puis silence. De janvier à novembre. Dix mois. Pourquoi ce silence? Parce que l’Ukraine avait épuisé ses stocks. L’Ukraine avait utilisé tous les ATACMS qu’elle avait reçu. Et Biden refusait d’en envoyer d’autres. Et maintenant novembre deux mille vingt-cinq. Et l’Ukraine relance les ATACMS. Quatre missiles. Ça signifie quoi? Ça signifie que Trump en a envoyé. Ou qu’Ukraine en avait gardé en réserve. Ou qu’une nouvelle livraison est arrivée discrètement. Les experts ne sont pas sûrs. Les rapports disent que les stocks américains sont bas. Que l’armée américaine elle-même manque de ATACMS. Que les priorités américaines c’est PrSM. Le successeur. Le nouveau missile. Mais Trump semble disposé à sacrifier des stocks pour l’Ukraine. Trump semble voir les ATACMS comme une arme tactique de pressurisation. Pas comme une arme stratégique à épargner. Et donc Trump envoie. Ou permet à l’Ukraine d’utiliser ce qu’elle garde en réserve. Et Ukraine utilise immédiatement. Frappe immédiatement. Démontre l’efficacité immédiatement. C’est une logique de cascade. Trump débloque. Ukraine frappe. Russie reçoit le message. Et le calcul change.
La continuité des frappes et la stratégie future
Si Trump a débloqué les ATACMS maintenant. Si Trump permet maintenant. Est-ce que ça va continuer? Les quatre missiles du dix-huit novembre c’est le début d’une série? Ou c’est une frappe unique? Les experts sont divisés. Certains pensent que Trump va permettre des frappes occasionnelles. Seulement pour certains types de cibles. Seulement contre les installations militaires clairement définies. Pas contre les civils. Pas contre les villes. Pas contre les infrastructure civile. D’autres pensent que Trump va donner un blanc-seing. Que Ukraine peut frapper où elle veut. Tant qu’elle a des ATACMS. Et tant qu’elle peut les livrer sur cible. Les rapports militaires américains suggèrent que Ukraine va frapper d’autres bases aériennes. D’autres dépôts de munitions. D’autres installations logistiques profondes. L’idée c’est de dégradé la Russie. De réduire sa capacité. De frapper les points d’appui. Et l’Ukraine a la motivation. L’Ukraine a la cible. Maintenant Ukraine a peut-être les missiles aussi. C’est un changement de paradigme. C’est un tournant potentiel dans la guerre.
Est-ce que novembre dix-huit c’est l’exception ou le commencement? Est-ce que les quatre missiles du premier jour annonçent une pluie de missiles? Ou c’est juste un coup politique de Trump? J’aimerai know. Mais les signes pointent vers une continuation.
Conclusion : les ATACMS changent la géométrie de la guerre
Les ATACMS reviennent. C’est un fact. C’est un changement. C’est une bascule. La géographie de la guerre vient de basculer. La Russie n’est plus à l’abri dans sa profondeur. Les bases aériennes ne sont plus protégées par la distance. Les dépôts de munitions ne sont plus sûrs loin du front. Les terrains d’entraînement peuvent être frappés à volonté. C’est une transformation. Une révolution tactique. Les ATACMS avec les cluster munitions transforment les règles de la guerre moderne. La Russie le sait. La Russie le sent. Et la Russie commence à adapter. Commence à disperser ses troupes. Commence à construire plus d’abris. Commence à abandonner certains endroits jugés trop vulnérables. C’est de l’adaptation forcée. C’est de la réaction à la menace. Et c’est inefficace. Parce que les ATACMS arrivent toujours. Les missiles arrivent toujours. Et il n’y a pas assez d’abris. Il n’y a pas assez de défenses. Il n’y a pas assez de solutions. La Russie essaie de nier. Essaie de prétendre que rien n’a changé. Essaie de maintenir l’image de puissance. Mais les vidéos disent le contraire. Les explosions disent le contraire. Les dégâts disent le contraire. Les quatre missiles du dix-huit novembre disent que la guerre vient de tourner.
L’avenir immédiat et les implications stratégiques
Que se passe-t-il maintenant? Ukraine frappe à nouveau? Trump envoie d’autres missiles? Ou c’était juste un coup politique destiné à montrer que Trump change d’approche? Les militaires ukrainiens disent qu’ils vont continuer. Qu’ils vont utiliser les ATACMS à nouveau. Que c’est juste le début. Qu’il y aura d’autres frappes. D’autres cibles. D’autres destructions. Les militaires américains sont plus réservés. Ils disent que c’est une frappe. Que d’autres frappes vont dépendre de la situation. Que Trump va décider cas par cas. C’est de la politique classique. C’est Trump qui garde ses options ouvertes. C’est Trump qui veut rester imprévisible. Et peut-être c’est stratégiquement intéressant. Peut-être que l’imprévisibilité force la Russie à dépenser des ressources. À se disperser. À se paralyser par l’incertitude. Et pendant ce temps l’Ukraine avance. Ou au moins l’Ukraine tient. Et tenir c’est suffisant pour maintenant. Les ATACMS reviennent. Et la guerre vient de changer. Pour la énième fois. Et probablement pas pour la dernière fois.
Les quatre missiles. C’est le signal que Trump envoie. Et la Russie va l’écouter. Ou elle va écouter les explosions. C’est du pareil au même à ce point.
Le rôle des munitions en cluster et les débats internationaux
Les munitions en cluster. C’est controversé. C’est polémique. Beaucoup de pays les interdisent. La Convention sur les armes à sous-munitions existe. Les États-Unis ne l’ont pas signée. La Russie ne l’a pas signée. L’Ukraine ne l’a pas signée. Et donc l’Ukraine peut utiliser les munitions en cluster. Et Ukraine le fait. L’Ukraine les utilise contre les concentrations de troupes russes. Contre les terrains d’entraînement. Contre les zones où les civils ne sont pas présents. C’est une tactique. C’est moralement compliquée. C’est légalement grise. Mais c’est efficace. Et en guerre l’efficacité c’est souvent ce qui prime. Les pays européens critiquent l’usage des munitions en cluster. Ils disent que c’est inhumain. Qu’il y a des risques pour les civils après la guerre. Que les restes vont contaminer le terrain. Les États-Unis répondent que l’Ukraine a le droit de choisir ses armes. Que c’est un conflit existentiel. Que les règles internationales ne s’appliquent pas en temps de guerre. C’est un débat éternel. C’est une tension entre moralité et efficacité. Et pour l’instant l’efficacité gagne. Les ATACMS avec les munitions en cluster frappent le Pogonovo. Et personne ne les arrête. Personne ne peut les arrêter.
Les munitions en cluster. C’est l’arme des désespérés et des puissants. l’Ukraine est désespéré. Et maintenant l’Ukraine a accès aux armes des puissants. C’est un mélange explosif.
Source : euromaidanpress
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