Genève c’est pas un show ouvert. C’est pas une conférence. C’est un échange. Discrèt. Fermé. Les portes sont fermées. Les caméras ne sont pas autorisées. Les journalistes attendent dehors. Et à l’intérieur les deals se font. Les Américains négocient avec les Ukrainiens. Les Européens observent par vidéo. La Russie pense qu’elle est pas incluse mais elle est partout. Chaque point que les Américains enlèvent c’est une victoire potentielle pour la Russie. Chaque réduction c’est une concession potentielle. Et la Russie regarde. Observe. Attend. Poutine a dit que le plan pouvait servir de base. Poutine ne dit jamais non à l’avance. Poutine observe. Et si le plan devient plus simple si les points tombent si les exigences diminuent alors Poutine sera content. Et Poutine va dire oui. Ou peut-être Poutine va dire oui mais avec des conditions. Mais probablement Poutine va regarder le plan final. Et Poutine va dire : c’est acceptable. C’est même bon pour nous. Et alors? Alors le plan va être accepté. Vite. Trop vite. Et l’Ukraine va perdre. Vraiment perdre. Pas juste symboliquement. Réellement.
Le silence de Moscou et l’acceptation tacite
Moscou refuse d’être à Genève. Refuse de négocier directement. Mais Moscou n’est pas loin. Moscou observe. Le porte-parole du Kremlin dit que la Russie n’a pas reçu de rapports officiels. Mais la Russie a les médias. La Russie lit les articles. La Russie sait. Et Moscou calcule. Calcule si le plan réduit c’est mieux que le plan d’origine. Et probablement oui. Probablement c’est mieux. Probablement c’est plus facile à accepter. Et donc Moscou sourit. Moscou regarde les points disparaître. Et Moscou pense : voilà. Ça c’est du progrès. Ça c’est ce que nous voulions. Et Moscou attend juste la signature. Juste l’acceptation finale. Et ça va venir. Probablement cette semaine. Probablement avant le weekend. Et quand ça va venir Moscou va crier victoire. Va dire que la Russie a gagné. Va dire que l’Occident a capituler. Va dire que c’était inévitable. Et Moscou va avoir raison. Moscou va avoir gagné. Sans même avoir besoin de participer aux négociations. Juste en regardant. Juste en attendant. C’est ça le génie. C’est ça la stratégie. C’est ça comment Moscou gagne.
Moscou n’est pas à Genève mais Moscou contrôle les négociations. Poutine n’est pas dans la salle mais Poutine écrit le scénario. C’est comment les faibles pensent que leur négocient. C’est comment ils perdent.
L'accord qui satisfait tout le monde et n'aide personne
Le plan final va être un plan qui satisfait tout le monde. Trump va dire qu’il a gagné. Les Américains vont dire qu’il y a eu du progrès. Les Européens vont dire qu’ils ont influencé le résultat. Les Ukrainiens vont dire qu’ils ont limité les dégâts. Et la Russie va dire qu’elle a gagné. Et probablement tout le monde aura raison. Sauf Ukraine. Sauf les civils. Sauf les soldats. Le plan va probablement reconnaître la Crimée comme russe. Va probablement reconnaître le Donbas occupé comme russe de facto. Va probablement réduire les troupes. Peut-être pas à six cent mille. Peut-être à sept cent mille. Mais réduction quand même. Va probablement exiger que l’Ukraine accepte aucune alliance militaire. Peut-être pas l’OTAN spécifiquement. Mais aucune alliance militaire. Ce qui veut dire aucune protection. Va probablement demander des élections. Peut-être pas en cent jours. Peut-être en six mois. Mais élections quand même. Ce qui va créer le chaos interne. Va probablement amnistier tout le monde. Va probablement laisser les criminels de guerre de Russie s’en tirer. Et va probablement créer une illusion de paix. Une illusion que la guerre est finie. Mais ce ne sera pas fini. Ce sera juste une pause. Une pause avant la prochaine invasion.
Les conséquences de long terme et la défaite programmée
Le plan va créer un Ukraine faible. Militairement faible. Diplomatiquement faible. Économiquement faible. Et une Ukraine faible ne peut pas se défendre. Une Ukraine faible va se soumettre. Une Ukraine faible va accepter les demandes russes. Une Ukraine faible va regarder la Russie prendre plus de territoire. Et la Russie va continuer. Va prendre plus. Va prendre toujours plus. Et dans dix ans on va regarder en arrière. Et on va dire : c’est commencé à Genève. C’est commencé quand les points ont disparu. C’est commencé quand neuf protections ont été enlevées. Et personne ne l’a vu venir. Ou plutôt tout le monde l’a vu. Mais personne n’a osé le dire. Personne n’a osé s’opposer. Et maintenant c’est trop tard. Maintenant c’est écrit. Maintenant c’est signé. Et les civils vont payer. Vont payer le prix. Vont payer de leurs vies. Vont payer de leur liberté. Vont payer du futur qu’on leur a volé. À Genève. Le lundi 24 novembre. Quand les points ont disparu.
Les conséquences d’une négociation rapide c’est une paix instable. Et une paix instable c’est pire qu’une guerre honnête. Pire parce que tu penses que c’est fini. Pire parce que tu baisse la garde. Pire parce que la Russie revient.
L'Europe et la tentative de contre-proposition
L’Europe proteste. L’Europe dit que certains points dépassent son autorité. L’Europe dit que les sanctions c’est l’affaire de l’UE. L’Europe dit que les actifs russes gelés c’est l’affaire de l’UE. Et l’Europe propose une contre-proposition. Une contre-proposition qui est moins brutale. Une contre-proposition que personne ne lit. Une contre-proposition que Trump ignore. Les leaders européens se réunissent. En Angola. En Afrique. Loin de Genève. Loin de Trump. Et ils discutent. Discutent de comment se défendre. Discutent de comment protéger l’Europe. Et l’Europe réalise qu’elle ne peut pas. Que l’Europe dépend de l’Amérique. Que si Trump abandonne Ukraine l’Europe ne peut rien faire. Et l’Europe se sent abandonnée. L’Europe se sent trahie. L’Europe réalise qu’elle va être seule. Et donc l’Europe hésite. L’Europe proteste mais sans conviction. L’Europe propose mais sans croyance. L’Europe sait qu’elle n’a pas le pouvoir. Et donc l’Europe accepte. Accepte ce qui vient. Accepte le plan. Accepte la défaite d’Ukraine. Parce que l’Europe n’a pas le choix.
La marginalisation de l’Europe et sa responsabilité future
L’Europe a abdiqué. L’Europe s’est marginalisée. L’Europe a dit à Trump : tu décides. Et Trump a décidé. Et maintenant l’Europe va payer. Parce que quand Ukraine tombera l’Europe sera exposée. Quand la Russie consolidera ses gains l’Europe verra la menace. Et l’Europe va devoir se défendre seule. Seule sans l’Amérique. Seule sans Ukraine. Seule avec la Russie à la frontière. Et l’Europe n’est pas prête. L’Europe ne s’est pas armée. L’Europe n’a pas augmenté les budgets. L’Europe a attendu. A espéré. A prié que Trump protège. Mais Trump n’a pas protégé. Trump a abandonné. Et maintenant c’est trop tard. Maintenant c’est l’Europe qui doit combattre. Maintenant c’est l’Europe qui doit mourir peut-être. Et c’est parce que l’Europe a cru à Trump. Cru à l’Amérique. Cru à une protection qui n’existait jamais.
L’Europe regarde Genève et réalise qu’elle n’est pas à la table. Réalise qu’elle n’est pas importante. Réalise qu’elle va être seule très bientôt. Et c’est terrifiant. Et c’est juste.
Conclusion : les points disparues et le futur qui arrive
Neuf points disparues. Ça représente quoi? Ça représente la vitesse de la diplomatie. La vitesse de la capitulation. La vitesse de la défaite programmée. Chaque point qui tombe c’est une protection qui disparaît. Chaque point qui disparaît c’est une victoire pour la Russie. Et les victoires s’accumulent. S’accumulent lentement. Progressivement. Inexorablement. Et bientôt le plan final va être signé. Et bientôt la paix va arriver. Une fausse paix. Une paix qui cache une défaite. Une paix qui prépare la prochaine guerre. Et les civils ukrainiens vont croire que c’est fini. Vont penser qu’ils peuvent vivre. Vont penser que demain c’est mieux. Mais demain ne sera pas mieux. Demain sera pire. Demain la Russie aura consolidé. Demain la Russie planifiera. Demain la Russie préparera la prochaine invasion. Et les civils ukrainiens découvriront que la paix qu’on leur a promise était une illusion. Une illusion négociée à Genève. Une illusion créée quand les points ont disparu. Une illusion qui coûtera des vies.
Le legs de la diplomatie rapide et la responsabilité historique
On va se souvenir de ce moment. On va se souvenir de Genève. On va se souvenir de 28 à 19. On va se souvenir des neuf points disparues. Et on va se demander : pourquoi? Pourquoi ça s’est passé si vite? Pourquoi personne n’a ralenti? Pourquoi personne n’a dit stop? Et les réponses vont être : parce que Trump était impatient. Parce que Trump voulait une victoire politique. Parce que Trump ne se souciait pas des détails. Parce que Trump abandonnait l’Ukraine pour d’autres objectifs. Et ça va être vrai. Ça va être la vraie réponse. Et ça va être enregistré dans l’histoire. Et les générations futures vont regarder et vont juger. Vont juger ceux qui ont laissé ça arriver. Vont juger ceux qui ont toléré. Vont juger ceux qui ont accepté. Et le jugement va être sévère. Le jugement va être que c’était de la lâcheté. Du cynisme. De l’abandon moral. Et c’est ce que ça va être. C’est ce que c’est déjà maintenant. Maintenant le lundi 24 novembre deux mille vingt-cinq. Maintenant à Genève. Maintenant quand les points disparaissent. C’est maintenant que l’Ukraine perd. C’est maintenant que le monde change. C’est maintenant.
Les générations futures vont poser la question : comment avez-vous laissé ça arriver? Comment avez-vous accepté ça? Comment avez-vous ignoré ça? Et je n’aurai pas de réponse qui les satisfait. Aucune réponse ne suffira jamais.
L'opportunité perdue et le moment où tout aurait pu être différent
Ce moment. Ce lundi. Ce plan réduit. C’était une opportunité. Une opportunité pour quelqu’un de dire non. De dire arrête. De dire que c’est pas assez. C’était l’opportunité pour un leader européen de se lever. Pour un leader ukrainien de marcher. Pour un leader américain de reconsidérer. C’était l’opportunité de sauver Ukraine. De sauver l’Europe. De sauver l’ordre international. Et personne ne l’a prise. Personne n’a dit non. Personne n’a marché. Et l’opportunité est passée. Et demain elle ne reviendra pas. Demain ce sera trop tard. Demain le plan sera signé. Demain la Russie sera en mouvement. Demain la défaite sera programmée. Et c’est dommage. C’est tragique. C’est inévitable probablement. Mais c’est aussi une faute. Une faute des leaders. Une faute de l’Occident. Une faute de l’humanité. Et ça va peser. Va peser sur les consciences. Va peser sur l’histoire. Va peser éternellement. Sur ce lundi. Quand les points ont disparu. Et quand personne n’a rien fait.
L’opportunité est passée. Et je savais qu’elle allait passer. Et je ne l’ai pas arrêtée. Et maintenant elle est partie. Et demain ce sera un nouveau monde. Un monde où la Russie gagne. Et où personne ne peut rien faire.
Source : united24media
Ce contenu a été créé avec l'aide de l'IA.